André Denjean
Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
Qui êtes-vous ?
- Le Blog Bonne Nouvelle
- Ce site a pour but de vous faire découvrir qui est Dieu, Jésus, le christianisme, la foi, la Bible, et bien d'autres sujets encore.
Rechercher dans ce blog
Nombre total de pages vues
lundi 31 octobre 2011
La joie d'Alfred Boegner
André Denjean
dimanche 30 octobre 2011
Tout arrive-t-il par hasard ?
samedi 29 octobre 2011
le fondement de la foi chrétienne
vendredi 28 octobre 2011
Une vie avec de bons fondements
" Si on travaille sur le marbre cela va périr,
Si on travaille sur le brasse le temps va l’effacer,
Si on érige des temples, les années vont le réduire en poussière,
mais si on travaille sur les âmes immortelles des hommes,
Si on y imprègne le principe élevé de la crainte de Dieu,
ce sera une empreinte que le temps
ne peut effacer, empreinte de laquelle peut briller la gloire éternellement."
(Daniel Webster)
jeudi 27 octobre 2011
Deux vérités à comprendre
mercredi 26 octobre 2011
Un réconfort
mardi 25 octobre 2011
Ce qui compte le plus
lundi 24 octobre 2011
Le péché existe-t-il ?
Extrait de Dieu, ni silencieux, ni lointain, Schaeffer Francis, Ed. Telos
dimanche 23 octobre 2011
Une vie changée
(Jésus dit : ) Voici, je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu'un entend ma voix et qu'il ouvre la porte, j'entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi. Apocalypse 3. 20
samedi 22 octobre 2011
Aimer ses ennemis en tant de guerre : un récit authentique
Nous fumes dirigés sur une voie de garage pendant très longtemps. Nous nous trouvions sur la même voie que plunsieurs wagons de Japonais blessés. Ils étaient seuls et sans soins. (...)
lls étaient en état de choc. Je n'avais jamais vu des hommes aussi sales. Leurs uniformes étaient incrustés de boue, de sang et d'excréments. Leurs blessures, gravement infectées et purulentes, grouillaient de vers. (. . .)
Les blessés nous regardaient tristement, assis avec la tête appuyée contre les wagons, attendant la mort avec fatalisme. (...)
Sans un mot, la plupart des officiers de ma section ouvrent leur sacs, sortent une part de leur ration et un ou deux chiffons et, leur gourde d'eau à la main, s'approchent du train japonais pour essayer de les aider. Nos gardiens veulent nous en empêcher, en hurlant : '' pas de pitié! Pas de pitié!", mais nous les ignorons et, nous mettant à genoux près de nos ennemis, nous leur donnons de la nourriture et de l'eau, nous les avons nettoyes et panses leurs plaies, nous les sourions et leur adressons un mot aimable. Lorsque nous les quittons, les cris d'"Arigatto'' (merci) résonnent à nos oreilles.
Quel est l'antidote du Christ au désir de vengeance? Mt 5.38-42. Ernest Gordon regardait ses camarades avec étonne-ment. Dix-huit mois auparavant, ils se seraient volontiers unis pour détruire leurs ravisseurs si ces derniers étaient tombés entre leurs mains. " Maintenant, ces mêmes hommes soignaient les blessures de leurs ennemis. lls avaient fait l'expérience d'un moment de grâce, ici, dans ces wagons tachés de sang. Dieu avait abattu les barrières de leurs préjugés et leur avait donné le désir d'obéir à son commandement : " Tu aimeras ".
vendredi 21 octobre 2011
jeudi 20 octobre 2011
Catéchisme d'Heidelberg : Notre unique consolation
Introduction Question 1: Quelle est ton unique consolation dans la vie et dans la mort?
Q. 2: Combien de choses dois-tu savoir pour vivre et mourir bienheureux avec cette consolation?
Trois choses (Luc 24.46-48; 1 Corinthiens 6.11; Tite 3.3-7). Premièrement, combien sont grands mon péché et ma misère (Jean 9.41; 15.22). Deuxièmement, comment je suis délivré de tous mes péchés et de ma misère (Jean 17.3). Troisièmement, quelle reconnaissance je dois à Dieu pour cette délivrance (Ephésiens 5.8-11; 1 Pierre 2.9-10; Romains 6.12-13).
mercredi 19 octobre 2011
mardi 18 octobre 2011
Le "plus" de Dieu
Le théologien allemand Gunther Bornkamm a écrit : "Avoir la foi, c'est compter avec confiance sur le fait que la puissance de Dieu n'est pas au bout d'elle-même lorsque les possibilités humaines sont épuisées."
lundi 17 octobre 2011
La résurrection de Jésus : du doute à la certitude (1)
1- Thomas Arnold
dimanche 16 octobre 2011
Humilité et Prière
Il est naturel pour l'homme, depuis sa tendre enfance, de crier au secours lorsqu'il se trouve dans une situation de danger ou de détresse, s'il suppose qu'il se trouve quelqu'un dans les environs qui entende ses cris et puisse venir le secourir. Ainsi, tout homme qui ressent sa propre dépendance d'avec Dieu, et son besoin des bénédictions que seul Dieu peut accorder, se jettera dans la prière à Dieu. Il sentira que la prière est non seulement un devoir mais aussi son plus grand privilège.
L'homme qui, de fait, refuse ou néglige de prier, qui considère la prière non comme un privilège, mais comme une tâche ennuyeuse et inutile, dit pratiquement d'une façon tout à fait sans équivoque : "Je ne suis pas dépendant de Dieu ; je ne veux rien de ce qu'Il peut donner ; et par conséquent, je ne viendrai pas à Lui, ni de demanderai rien de Ses mains. Je ne Lui demanderai pas de couronner mon travail de succès, car je suis capable - et j'y suis déterminé- d'être l'architecte de mon propre avenir. Je ne Lui demanderai pas d'être mon propre enseignant et mon guide. Je ne Lui demanderai pas de me fortifier et de me soutenir, car je suis fort par la vigueur et les ressources de ma propre volonté. Je ne Lui demanderai pas Sa protection, car je suis capable de me protéger moi-même. Je n'implorerai ni Sa miséricorde pleine de pardon, ni Sa grâce sanctifiante car je n'ai besoin ni de l'une ni de l'autre. Je ne réclamerai pas Sa présence et Son aide à l'heure de la mort. Car je suis capable de rencontrer et de saisir à bras le corps, sans soutien, le roi des terreurs, et d'entrer, intrépide et seul, dans n'importe quel monde inconnu où Il m'introduira." C'est là le langage tenu par tous ceux qui négligent la prière.
|
samedi 15 octobre 2011
Conseil pratique pour savoir la volonté de Dieu
Traduction de George Sweeting writes in How to Discover the Will of God: 'Often guidance in the will of God will come to us in the normal circumstances of life, through open and closed doors. But be careful not to give this area more consideration than it deserves. Satan can also open and shut doors of opportunity. Gather all the facts, and prayerfully seek the mind of God.'
vendredi 14 octobre 2011
jeudi 13 octobre 2011
Le bon Dieu
Qu'est-ce que les gens veulent dire quand ils disent: "Je n'ai pas peur de Dieu parce que je sais qu'Il est bon"?. Ceux qui disent ça ne sont donc jamais allés chez le dentiste ?
mercredi 12 octobre 2011
Dans une heure
Le jour même, il avait eu à sa table un homme politique qui lui demandait d'intervenir à la chancellerie de la Légion d'honneur pour faire obtenir la dignité de commandeur à un grand savant français.
" - Tout de suite, dit le président. Pendant que vous prenez votre café, je vais écrire la lettre.
- Oh ! Ce n'est tout de même pas si pressant ! dit son convive.
- On ne sait jamais, répliqua Paul Doumer, je peux mourir demain qui sait,même dans une heure. "
Il fit la lettre. Une heure après, le président tombait sous le couteau meurtrier.
Une heure ! Il a avait eu conscience que sa vie ne pouvait durer qu'une heure et n'avait pas voulu exposer à ce hasard la chose qui lui tenait à cœur.
Il reste l'affaire capitale à laquelle le président, hélas, ne pensait pas et à laquelle ne pensent point tant de ceux qui peuvent mourir en une heure, à savoir tous les hommes : être réconcilié avec Dieu. Ne tardez point d'une heure à croire en l'Evangile du Dieu sauveur.
Source : Journal chrétien Pentecôte Septembre 2010
mardi 11 octobre 2011
lundi 10 octobre 2011
Ce que n'est pas l'Evangile
Claude Parizet
dimanche 9 octobre 2011
Jésus pour résumer toutes les grâces
Pensée du matin, du pasteur Alfred Boegner 21 décembre 1879.
Jésus pour la fin de l'année 1879. Jésus pour résumer toutes les grâces. Jésus pour effacer tous les péchés. Jésus comme preuve et comme manifestation de cet amour qui emporte tout péché, toute faute, tout mauvais souvenir dans l'abîme, qui permet d'oublier, de se reposer, plein de confiance, entre les bras du Père.
Et Jésus, comme mot d'ordre de cette année nouvelle.
Jésus, dans la grâce duquel il faut demeurer. C'est le premier devoir, l'essentiel. Etre assis à ses pieds, chaque matin recevoir sa grâce.
Jésus, qu'il faut apprendre à connaître, car en lui, nous avons vu Dieu. Le connaître, connaître Dieu, c'est lire dans son cœur. C'est connaître aussi les hommes et l'amour que Dieu a eu pour eux.
Jésus qu'il faut suivre jour après jour, toujours de plus près, comme un vrai disciple.
Jésus qu'il faut. apporter aux autres, tout entier, vivant. Non des livres, non des traités, non une doctrine, mais une personne vivante, Jésus.
samedi 8 octobre 2011
vendredi 7 octobre 2011
Le temps de la grâce
jeudi 6 octobre 2011
mercredi 5 octobre 2011
La doctrine de la Trinité est-elle importante pour moi ?
- « Une seule image, une seule représentation, un seul modèle ne peut suffire : il faut les trois modèles essentiels si nous voulons garder les lignes de base de notre compréhension chrétienne de Dieu.
Le premier modèle est celui d'un Dieu transcendant qui se trouve au-delà du monde dont il est la source et le Créateur.
Le deuxième est le visage humain de Dieu révélé dans la personne de Jésus Christ.
Le troisième est celui d'un Dieu immanent qui est présent et actif dans sa création. »
(Alistair McGrath, Understanding the Trinity)
- C'est le Dieu trinitaire qui répond aux besoins psychologiques de l'homme. En psychologie, on apprend que l'homme a trois besoins fondamentaux : il a besoin de repères (qui il est, d'où il vient et ou il va) ; il a besoin d'un modèle, il a besoin d'un auxiliaire pour y arriver. Pour les chrétiens, Dieu est le repère, Jésus un modèle et l'Esprit Saint notre auxiliaire. Ainsi la Trinité répond aux besoin psychologiques de tout être humain.
- La doctrine de la Trinité me concerne en ce qu'elle enseigne que tout acte de la révélation de Dieu a de façon inhérente un caractère triple, ce qui exige que nous pensions à la nature de Dieu en termes trinitaires. Dans le Nouveau Testament, pratiquement chaque doctrine (le baptême, la grâce, le salut, l'électuion, l'éthique, l'adoration, l'unité) est décrite en termes trinitaires. Si nous voulons comprendre Dieu et toutes les doctrines relatives à Dieu, il nous faut penser de cette manière.
Ce texte est extrait du livre "Sujets brûlants" utilisé dans le contexte des parcours Alpha : www.coursalpha.fr
mardi 4 octobre 2011
QUE CROYEZ-VOUS ?
Un jour, elle lui a demandé : « Que croyez-vous ? » Pris de court, il a rougi en bégayant : « Je n'en suis pas certain. » Quelques jours après, la dame est morte.
Curieux et mal à l'aise, le jeune médecin s'est rendu compte qu'il avait rejeté Dieu sans examiner comme il faut les preuves.
Il a donc commencé à lire la Bible et les écrits de l'auteur chrétien C. S. Lewis.
Un an plus tard, il est tombé à genoux et a donné sa vie à Jésus-Christ.
Le catalyseur ? Une question sincère posée par une dame âgée dont le cœur physique défaillait, mais dont l'amour pour les autres était très fort.
lundi 3 octobre 2011
"Que pensez-vous de Charles Spurgeon ?"
Un jeune homme était venu entendre Charles Spurgeon (1834-1892). Arrivé en retard, il ne trouva pas de place où s'asseoir. Un placeur lui céda son siège et lui demanda en retour une faveur: "J'aimerais que vous me disiez ce que vous pensez de mon pasteur, Charles Spurgeon". Après le message, alors que la foule se dissipait, le placeur trouva le jeune homme et lui demanda: "Eh, que pensez-vous de mon pasteur, Charles Spurgeon ?" Le jeune homme répondit: "Qui ?" Et le placeur de répliquer: "Charles Spurgeon, le grand prédicateur. Celui que vous venez d'écouter pendant près de deux heures". "Ah oui," dit-il, "Je ne me rappelle pas grand chose de lui. Il était tellement effacé par la présence de Jésus."