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mercredi 30 avril 2014

Dieu a crée l'homme

« En créant l’homme, Dieu a aussi créé le moyen de se révéler à lui, en définissant sa pensée et en déclarant ses intentions. Par ce livre chaque être humain, qui en a vraiment le désir, peut connaître la vérité sur Dieu et sur lui-même. Et ce livre s’appelle “La Bible” ».
Ralph Shallis,
Il faut beaucoup de foi pour être athée,
Éditions Farel.

mardi 29 avril 2014

Si Dieu existe, pourquoi le mal, la souffrance ? (partie 6)



Où est Dieu dans la souffrance ?
Car Dieu a une réponse à notre souffrance. Mais elle ne se pose pas en termes explicatifs et rationnels. La réponse divine à la souffrance, c'est une compassion et une consolation véritable, qui proviennent d'une identification et d'une espérance qui deviendront réalité. Dieu me comprend, m'écoute, a de l'empathie pour moi. Il sait ce que j'endure, connaît la profondeur de ma douleur, parce qu'il l'a expérimentée lui-même. Car ce Dieu si infini s'est un jour fait homme, avec toutes les limites et les faiblesses que cela comporte.
En Jésus-Christ il a choisi, pour s'identifier à nous et répondre à notre souffrance, de vivre pleinement notre tragédie. Il ne nous dévoile pas l'origine du mal, mais s'offre lui-même comme réponse à ce problème. En mourant sur la croix, Dieu a fait retomber sur lui tout le mal de la terre, de tous les temps : "Ce sont nos souffrances qu'il a portées ; c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé… Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités… Il s'est livré lui-même à la mort parce qu'il a porté les péchés de beaucoup d'hommes et qu'il a intercédé pour les coupables" (Livre du prophète Esaïe, ch. 53).
Ainsi, je peux connaître Dieu à travers ma souffrance et mes besoins, à condition que je les lui exprime. C'est aussi là (mais pas seulement) qu'il se révèle. La souffrance pleinement reconnue donne place à l'autre et à l'Autre. Dès lors j'entends à sa juste valeur les phrases de Jésus : "bien-heureux ceux qui pleurent car ils seront consolés" (Evangile de Matthieu 5:4). Ceux qui acceptent de pleurer, de dire leur incompréhension et leur révolte face au mal, et de le dire à Dieu en désirant sa présence, peuvent découvrir Sa consolation. C'est l'expérience de Job, le géant de la foi (livre de Job, Ancien Testament). Mais ceux qui ne pleurent pas, qui résistent à Dieu, qui veulent tout expliquer, ne connaissent pas cette consolation.
Dieu nous promet qu'il y aura, après la mort, un au-delà dépourvu de souffrance, sans mal, pour ceux qui se seront confiés en lui. Le croyant qui expérimente une relation vivante avec Dieu, a au fond de lui-même une ferme assurance de ce futur enfin heureux : "Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre…Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux et la mort ne sera plus. Il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu" (Apocalypse de jean 21:1,3-4) ; "Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés" (Evangile de Jean 5:6).
Ce récit idyllique peut paraître utopique. Pourtant, Dieu donne la certitude de sa réalité à tous ceux qui lui confient leur vie, au point que Paul disait : "nous marchons par la foi et non par la vue, mais nous sommes plein de confiance et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur" (Deuxième épîtres de Paul aux Corinthiens 5:7-8). Cette assurance est, pour quiconque passe par des moments difficiles, un grand réconfort qui aide à traverser l'épreuve et à en sortir grandi. L'espoir fait vivre, dit-on. Dieu donne à ceux qui viennent à lui plus qu'un espoir : une conviction qui apporte une joie et une paix profonde au sein de la tempête.
Source : A toi de voir

lundi 28 avril 2014

La résurrection de Jésus (partie 1)


La résurrection de Jésus-Christ constitue le cœur de la foi chrétienne.
    La plupart des religions du monde sont basées sur des assertions philosophiques. Seulement quatre d'entre elles sont basées sur des personnages historiques (l'Islam: Mahomet, le Bouddhisme: Bouddha, le Judaïsme: Abraham, le Christianisme: Jésus-Christ). Et sur ces quatre religions basées sur des personnages historiques, seul le christianisme affirme que son fondateur est mort et ressuscité.
    Le fait de la résurrection est si important qu'un théologien (Théodosus Harnack) a dit: "En ce qui me concerne le christianisme tient ferme ou s'écroule avec la résurrection". La résurrection, c'est le sceau de la vérité et la confirmation des paroles du Christ selon lesquelles il devait être mis à mort, et qu'il ressusciterait le troisième jour. Si ce miracle ne prouve pas la divinité du Christ, du moins le confirme-t-il.
La foi dans la résurrection du Christ a toujours était le tenant central de l'église. Ceci n'est pas étonnant puisque l'apôtre Paul affirmait:
" S'il n'y a point de résurrection des morts, Christ non plus n'est pas ressuscité. Et si Christ n'est pas ressuscité, notre prédiction est donc vaine, et votre foi aussi est vaine. Et nous serions de faux-témoins à l'égard de Dieu... Et si Christ n'est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés. " 1 Corinthiens 15.14,17
Michaël Green a très justement observé: "la résurrection est le tenant du christianisme. Sans la foi dans la résurrection, il n'y aurait pas de christianisme du tout. L'église chrétienne n'aurait jamais commencé; le mouvement de Jésus se serait estompé comme de la vapeur en même temps que son exécution. Le christianisme subsiste ou s'écroule avec la vérité de la résurrection. Si vous pouvez prouver le contraire, vous pouvez compter le Christianisme pour rien...".
Source : http://www.unpoissondansle.net/faq/faq009.php

dimanche 27 avril 2014

Tension métaphorique

Ce n'est pas une tension métaphorique de dire que l'amour de Dieu et la colère de Dieu sont la même chose décrit de points de vues opposés. Comment nous devrions en faire l'expérience dépend de la manière dont nous nous y heurterons : Dieu ne change pas, c'est l'état moral de l'homme qui change. La colère de Dieu est une figure de style pour indiquer l'opposition inchangé de Dieu pour le péché, c'est Son juste amour opérant pour détruire le mal. Ce n'est pas le mal qui aura le dernier mot mais le bien, pas la peine mais la joie, pas la haine mais l'amour.
R. J. Campbell

It is no strain of metaphor to say that the love of God and the wrath of God are the same thing, described from opposite points of view. How we shall experience it depends upon the way we shall come up against it: God does not change; it is man's moral state that changes. The wrath of God is a figure of speech to denote God's unchanging opposition to sin; it is His righteous love operating to destroy evil. It is not evil that will have the last word, but good; not sorrow, but joy; not hate, but love.
R. J. Campbell

samedi 26 avril 2014

"Monsieur Barth, quelle est la plus grande des vérités que vous connaissiez ?"


Connaissez-vous Karl Barth, ce grand théologien suisse du 20éme Siècle ?
Pendant un de ses séjours aux Etats-Unis, un étudiant lui demanda :
"Monsieur Barth, quelle est la plus grande des vérités que vous connaissiez ?"
Les autres étudiants retiennent leur souffle pour ne rien perdre de la réponse qu'ils espèrent profonde et compliquée.
Le professeur leva lentement sa belle tête couronnée de cheveux blancs, regarda son interlocuteur et répéta la première ligne d'un cantique d'enfant :
"Jésus m'aime, je le sais car la Bible me le dit."

Article écrit par Samuel, un membre du GBU d'Orléans


vendredi 25 avril 2014

Trouver Dieu


« J'ai remercié Dieu pour les choses amères; elles ont été des amies de la grâce »:
Elles m'ont amenées des sentiers faciles jusqu'aux tempêtes.
Je le remercie pour les amis qui n'ont pas su combler les besoins les plus profonds de mon cœur; Ils m'ont menés au pied de mon Sauveur, a celui qui peut nous nourrir.
Je suis reconnaissant aussi pour tous les sentiers de la vie, que personne ne pouvait satisfaire;
Et ainsi j'ai trouvé en Dieu seul, ma richesse, en qui j'ai tout pleinement » (Berean Ambassador, June 1989, p.8)

jeudi 24 avril 2014

Un commentaire de Tertullien sur le retour du fils prodigue


Je veux citer aussi ce père si tendre qui rappelle son fils prodigue et qui le voyant dénué de tout, mais repentant, l'accueille avec joie, immole le veau gras, célèbre sa joie par un festin. (...) — Que devons-nous comprendre que figure ce père ? Dieu évidemment.
Personne n'est père comme lui, ni tendre comme lui. Tu es son fils : même s'il t'arrive de dissiper ce que tu as reçu de lui, même si tu reviens nu, il te recevra, puisque tu reviens, et il se réjouira plus de ton retour que de toute la sagesse de son autre fils ; mais à condition que tu te repentes du fond de l'âme, que tu compares ta faim avec l'abondance dont jouissent les serviteurs de ton père, que tu abandonnes le troupeau des porcs immondes, et que tu ailles trouver ton père, si irrité soit-il, en lui disant : "Mon père, j'ai péché et je ne suis plus digne d'être appelé votre fils".
Avouer les fautes commises allège autant que de les dissimuler appesantit. Car l'aveu est le parti de la satisfaction ; la dissimulation, celui de la révolte.


Tertullien fut un théologien dans les premiers siécles du christianisme.

mercredi 23 avril 2014

Souvent, mais pas toujours


Dieu répond-t-il aux prières ? Souvent, mais pas toujours. Parce qu'il sait ce dont nous avons besoin. Il connait tout. En arrivant au ciel, nous le remercierons pour les les prières exaucées, mais il se peut que nous le remerciions bien davantage pour les prières non exaucées parce qu'alors nous pourrons voir les choses selon la perspective de Dieu. Nous constaterons que Dieu ne commet jamais d'erreurs.
Corrie Ten Boom, Reflets de la gloire de Dieu, page 42

mardi 22 avril 2014

Un Dieu digne de louanges

Adorer Dieu, c'est lui attribuer le mérite, car il en est digne.
R.G. Rayburn

lundi 21 avril 2014

Un péché qui tue

" L'inquiétude est le péché qui consiste à se méfier de la promesse et de la providence de Dieu, et pourtant c'est un péché dans lequel les chrétiens s'engagent peut-être plus souvent que tout autre."
John MacArthur

dimanche 20 avril 2014

Le juste juge

"Dieu est "le juge" parce qu'il ignore la foule et ne connaît que les individus"
[Sören Kierkegaard]

La Bible dit que Dieu est un juste juge qui nous jugera selon notre choix terrestre humain de le connaitre ou non via le message de l'Evangile, de marcher ou non selon sa volonté toute notre vie. C'est aussi un Dieu d'amour parce qui jugera avec équité chaque personne. Le désir de Dieu est que le plus grand nombre le connaisse. Lisez en plus sur l'Evangile sur ce blog et vous comprendrez pourquoi.
Auteur inconnu

samedi 19 avril 2014

Si Dieu existe, pourquoi le mal, la soufrance ? (partie 5)

Où est Dieu dans la souffrance ?

Certains maux, nous dit la Bible, sont malheureusement les conséquences directes de nos actes. "Celui qui sème l'injustice récolte l'injustice" (Proverbes 22:8). Ainsi, une mauvaise gestion économique, le mépris des ressources terrestres, des choix politiques ou sociaux malheureux sont lourds de conséquence. À nous la faute. Dieu ne peut pas en être reconnu coupable. Nous avons été créés libres, ce qui veut dire -par la même occasion - libres d'expérimenter le mal que nous faisons. Il y a injustice sur terre, mais parce que l'humanité n'est pas faite d'entités indépendantes les unes des autres.
Peut-être devrions-nous plus réfléchir à la présence du mal en nous et l'admettre enfin, au lieu de la nier ou de l'ignorer. Ce n'est qu'en prenant le taureau par les cornes qu'on gère les situations graves et qu'on prévient les catastrophes. À trop se voiler la face, il faut attendre qu'un drame survienne et (bien souvent) seulement alors nous agissons ! À nous donc de tirer les leçons de la vie et d'apprendre à être plus sages et moins égoïstes.
Cependant, d'autres tragédies restent inexplicables : les maladies (qui emportent parfois des bébés), les désastres climatiques ou terrestres (famine, tempêtes, tremblements de terre…). Pourquoi cela a-t-il lieu ? La Bible reste silencieuse sur ce sujet. Dieu ne nous en révèle pas l'explication.
Pourquoi ? Parce que Dieu, dans sa souveraineté, a fixé là la limite entre notre savoir et sa toute puissance. En effet, vouloir donner un pourquoi à la souffrance, au mal, c'est être finalement comme Dieu, connaître toute chose. Si je pouvais expliquer la souffrance, je pourrais aussi m'expliquer Dieu. Cela signifierait que Dieu est à ma mesure. Je contrôlerais tout moi-même. Mais le propre de l'être humain est d'être fini, fragile et limité. D'ailleurs je ne peux me comprendre moi-même totalement.
Cependant, Dieu n'est pas indifférent à ce qui m'arrive. Sur la croix, Jésus s'identifie pleinement à ma condition. C'est même au sein de cette condition qu'il se révèle à moi. Alors, dans la mesure où j'accepte l'incompréhension, je peux entendre la compassion réelle de Jésus et la solution qu'il me propose.

vendredi 18 avril 2014

S'ouvrir à l'amour de Dieu



Nous avons connu et cru l'amour que Dieu a pour nous. Dieu est amour, et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu et Dieu en lui.
1 Jean 4. 16
L'Éternel m'est apparu de loin : Je t'ai aimée d'un amour éternel ; c'est pourquoi je t'attire avec bonté.
Jérémie 31. 3
S'ouvrir à l'amour de Dieu
Un penseur chrétien a pu écrire : «Le noyau dur du péché, c'est de ne pas se laisser aimer par Dieu». Il n'y a d'ailleurs pas que les incroyants qui ont cette attitude de refus. N'est-ce pas souvent notre cas, à nous qui sommes chrétiens ? D'un côté, nous avons soif de l'amour de Dieu, nous désirons sa présence, qui est source d'une joie immense. Mais, d'un autre côté, nous nous tenons à distance de Dieu. Peut-être parlons-nous de lui, mais notre cœur est fermé à son amour. Prenons-nous du temps pour le rechercher vraiment, par la prière ou par l'écoute de sa Parole ? Sinon nos occupations, même religieuses, forment un écran qui nous cache son amour.
Si tel est notre cas, ne perdons pas courage, mais revenons à Dieu. Car Dieu est amour. Son amour est plus puissant que toute notre misère et peut faire fondre notre indifférence, si grande soit-elle. Dieu n'est pas loin de nous, et il veut nous attirer à lui. Par son Esprit, il met en nous ce désir de le rechercher vraiment, lui. C'est lui qui nous donne cette faim, cette soif de sa présence. C'est lui qui met en nous le désir de le prier, et de lire la Bible.
Dieu sait tout ce qui nous concerne, nos échecs, nos peines, nos reniements de sa personne. Mais son amour demeure toujours invariable. Apprenons à tout lui dire. Apprenons à nous laisser aimer par lui. Nous demeurerons dans son amour en gardant sa parole (Jean 14. 23 ; 15. 10).

jeudi 17 avril 2014

La générosité de Martin Luther.


Même lorsque sa bourse était vide, ou à peu près, Luther ne renonçait pas à assister les nécessiteux, si bien que sou épouse Catherine. malgré sa charité, trouvait parfois qu'il allait trop loin. Un jour que sa femme était en couches, un indigent vint implorer sa pitié ; il alla prendre les cadeaux que les parrains et marraines venaient d'offrir au nouveau-né à l'occasion du baptême et les lui donna. Catherine s'étant aperçue au bout de quelque temps que le petit trésor avait disparu, jugea à propos de sermonner un peu son mari. « Chère Catherine, lui répondit Luther avec calme, Dieu est riche, Il nous le, remplacera. »
Lorsqu'il n'avait pas d'argent, venait le tour des bijoux et d'autres objets précieux. Ainsi, pour procurer à quelqu'un un prêt dont il avait besoin. il mit en gage quatre gobelets d'argent. et lorsqu'un pauvre étudiant lui demanda, un jour, du secours, il saisit, malgré les coups d'œil que lui lançait sa femme et les protestations du jeune homme, une coupe de, vermeil que l'électeur venait de lui offrir, l'écrasa entre ses mains et la remit à l'étudiant en disant: «Je n'ai pas besoin d'une coupe d'argent ; tiens, porte-la chez l'orfèvre. »

Luther se promenant un jour avec le docteur Jonas. fit l'aumône à des pauvres qui passaient. Le docteur Jonas l'imita en disant : « Qui sait si Dieu me le rendra ? » Luther lui répondit : « Vous oubliez que Dieu vous l'a donné. »

(F. Luther.)

mercredi 16 avril 2014

Si Dieu existe, pourquoi le mal, la souffrance ? (partie 4)

Où est Dieu dans la souffrance ?
Que nous soyons croyants ou non, la question de l'existence de Dieu surgit en nous lorsque nous pensons au mal. Pourquoi ? Si nous disons ne pas croire en Dieu, pourquoi nous interroger de la sorte ? Et si nous disons croire en Dieu, quelle réponse y donnons-nous ?
La Bible parle de notre vécu, ne le conteste pas, mais bien plutôt l'authentifie. Des grandes figures du passé ont souffert et exprimé leurs maux, leurs questions à Dieu, qui sont rapportés dans la Bible. La foi chrétienne refuse l'illusion et les doctrines qui nous séparent de la réalité de la vie (la douleur n'est pas une abstraction de la pensée ou ne peut pas "s'annihiler" par la pensée). Jésus souffre et ne dit pas que ce n'est rien ; il voit les gens mourir et il pleure.
Le christianisme ne fait pas non plus de masochisme et s'oppose au concept de "punition" derrière les événements (voir par exemple : Evangile de Luc ch. 13). Dieu ne prend pas plaisir à nous voir souffrir. Nous ne prouvons rien à travers la douleur, ni ne gagnons rien, contrairement à l'idée que certains mystiques ont véhiculée. Comment "expliquer" que Jésus ait dû souffrir de la faim, de la soif, de la fatigue, soit trahi, torturé, mis à mort, lui un homme parfait sur le plan moral et qui ne faisait qu'honorer Dieu ?
Source : A toi de voir

mardi 15 avril 2014

La foi d'Agassi


ANDRE AGASSI
Un des meilleurs joueurs de tennis, affirme lire beaucoup la Bible et que DIEU est la première de ses priorités. Il dit aussi : " Je n'aurai pas tant de foi en la Bible si son message ne se reflétait pas autant dans ma vie. Cela me donne par conséquent la conviction que cela est vrai."

lundi 14 avril 2014

Une pensée sur le ciel (3)


" Le ciel sera la perfection absolue de tout ce que la pensée infinie de Dieu pouvait concevoir et que son omnipotence pouvait créer. Ce que vous et moi connaîtrons dans le ciel est la libération complète de toute chaîne physique, émotionnelle et spirituelle qui nous entrave ici sur terre. " 
Charles F. Stanley

dimanche 13 avril 2014

Souffrance : si Dieu existe, pourquoi le mal, la souffrance ? (partie 3)

Comment faire face à la souffrance ?
Il est possible de dépasser sa souffrance. Cela ne diminuera pas son intensité, mais de notre attitude face à elle pourront venir notre "délivrance" et notre croissance intérieure. Mal y répondre aura l'effet inverse : affaiblissement de notre être et amoindrissement de la beauté de notre caractère. Non pas que la souffrance soit une vertu en elle-même. Une telle conception cache un certain masochisme mystique. Mais nous pouvons choisir de bien réagir par rapport à la douleur, afin de grandir, de connaître, d'apprendre, de progresser. Du mal peut sortir le bien.
Comment ? Premièrement en prenant le temps de réfléchir et d'analyser ce qui se passe en nous. Être conscient de moi, de ce qui se joue en moi, de mes peurs, de mes frustrations : et si la souffrance était propice à une intériorité salutaire, si derrière les ténèbres perçait une lumière ?
Quelques fois, d'heureux changements de vie sont déclenchés par une épreuve terrible : comme pour ce jeune maghrébin d'un quartier difficile, emmuré dans sa délinquance, inconscient de sa situation, incapable de penser à se sortir de là. Maintenant, c'est un musicien doué, impliqué dans des groupes de la ville et dans une radio. Il a un métier qui le passionne, un avenir ouvert devant lui. Comment a-t-il opéré la métamorphose ? "Grâce", dit-il, "à l'accident" qui lui est arrivé. Il est en effet devenu aveugle, suite à une explosion qu'il avait provoquée. Il aurait pu s'enfoncer encore plus dans les ténèbres. Il en a fait un tremplin pour changer de vie. Bel exemple ! Beau courage !
Les évènements tragiques nous remettent en question, ébranlent nos idées reçues, disloquent les illusions ou les croyances erronées sur lesquelles reposent parfois nos vies. Et si ce qui me faisait mal était en vérité une atteinte à mon orgueil, à mon égoïsme ? Pour celui ou celle qui ose regarder la réalité en face et se remettre en question, le "déshonneur" peut devenir une chance. Quel épanouissement ce sera alors ! Quel bienfait pour lui (ou elle) et pour son entourage ! Ainsi, des menaces (et seulement des menaces) de divorce obligent-elles bon nombre de maris à revoir sérieusement leur comportement vis-à-vis de leurs proches. Pour celui qui souffre mais qui sait ouvrir les yeux sur lui-même, c'est un nouveau départ dans la vie, qui peut suivre.
Enfin, parler de sa plaie à quelqu'un d'autre est également nécessaire : lire, écouter, rechercher les conseils sages, dans une volonté d'échange et de partage. Dans la douleur, les gens se rapprochent les uns des autres. C'est une des conséquences bienheureuses de la souffrance. Celle-ci nous renvoie à notre humanité fragile et vulnérable. Nous (re)découvrons que nous avons besoin les uns des autres.
Nous comprenons mieux celui-là qui nous énervait auparavant, quand nous savons et expérimentons ce par quoi il est passé. Nous écoutons mieux celle-là qui souffre, parce que nous avons ressenti combien la seule écoute compréhensive était précieuse dans l'épreuve. Nous devenons plus humain, c'est-à-dire plus transparent, moins arrogant, plus abordable. Des masques tombent ; notre personnalité s'enrichit de compassion, c'est-à-dire d'un nouveau regard sur les autres, d'un nouveau désir d'aller vers l'autre. Notre égoïsme premier s'efface. La souffrance nous amène des amis. Et si c'était l'occasion d'apprendre un nouveau style de vie ? Pourquoi ne vivre cette proximité, ces relations retrouvées, qu'au travers de situations déplaisantes ?
La souffrance nous interpelle sur notre humanité : nous sommes faillibles, en fin de compte et l'existence est bien vite passée. Pour quoi, pour qui ? La souffrance est aussi peut-être l'occasion d'une rencontre de l'Autre…
Source : A toi de voir

samedi 12 avril 2014

Une doctrine qui réchauffe les coeurs humains

Aucune doctrine inventée par les hommes, hors celle de l'Évangile, ne pourra jamais réchauffer le monde.
Jean Montaurier

vendredi 11 avril 2014

Si Dieu existe, pourquoi le mal, la souffrance ? (Partie 2)

La souffrance peut-elle être expliquée ?
La souffrance a t-elle un sens ? Nous avons tous -et c'est normal- le désir d'interpréter, d'expliciter les choses, c'est-à-dire d'établir des relations causales, des liens, afin de donner un sens aux événements. Les situations deviennent ainsi moins illogiques ; elles entrent dans un tissu de continuité. La souffrance, elle, est vécue comme absurde, comme une rupture, une incohérence dans la logique de notre conception du monde. Dans son essence nous la percevons comme injuste.
Dans une certaine mesure, quand la souffrance est l'indicateur d'une anomalie modifiable, nous avons tout à gagner à en chercher la cause, afin de la traiter. Le fatalisme, qui consiste à accepter toute situation difficile sans rien dire, est de l'auto-annihilation. La souffrance n'a rien de bon en elle-même. Elle n'a pas de vertu curative ou pénitentielle. (Heureusement, dans le domaine médical, la situation est en train de changer par rapport à cela Il existe aujourd'hui une médication analgésique adéquate et efficace).
Toutefois, s'il est juste de se poser un minimum de questions, nous ne pouvons pas chercher les raisons à toutes les souffrances, sous peine de risquer de tomber dans le négationnisme ou de tenir des propos inacceptables. Ainsi, vouloir expliquer la douleur immense de l'holocauste, de la torture, d'une catastrophe climatique ou tellurique, risque de nous faire penser et dire n'importe quoi. Nous risquons d'avoir des propos vexatoires, humiliants, injustes ou discriminatoires. De plus, la douleur n'a plus de raison d'être entendue ni exprimée si elle est trop expliquée, trop rationalisée. Elle deviendrait alors partie intégrante des choses normales de la vie, au lieu d'être un indicateur d'anormalité. Ce n'est pas parce que je sais que j'ai un cancer incurable que je dois trouver ma douleur "acceptable" et que je n'ai plus besoin de l'exprimer.
Source : A toi de voir

jeudi 10 avril 2014

Dernières paroles de Dwight Moody

L'évangéliste Dwight Moody, était couché sur son lit de maladie. Installé à son chevet, son fils l'entendit prononcer ces paroles à mi-voix :
- La terre se retire, le ciel s'ouvre devant moi.
Il chercha à l'éveiller, pensant qu'il rêvait :
- Non mon fils, ce n'est pas un rêve. C'est merveilleux, admirable. Si c'est la mort, alors elle est belle. Ici pas de sombre vallée. Dieu m'appelle, je dois aller.
Puis, ayant réglé, avec ses proches et ses amis, différents points concernant la poursuite de l'œuvre, il redevint silencieux comme contemplant à travers le voile, l'éternité bienheureuse qui l'attendait. Soudain il s'écria encore :
- C'est un jour de triomphe et de couronnement. Je l'attendais depuis de longues années.
Plus tard, il s'endormit paisiblement dans la paix de son Dieu.
Source : Topchrétien
Dwight Moody

mercredi 9 avril 2014

Le Pain de vie


"Le Christ lui-même s'est fait le Pain de la Vie. Il voulait se donner à nous d'une façon singulière, d'une façon simple et tangible car il est difficile aux êtres humains d'aimer un Dieu qu'ils ne peuvent pas voir."
Auteur anonyme

mardi 8 avril 2014

Une lettre de Dieu aux hommes

Qu'est-ce que l'Écriture sainte, sinon une sorte de lettre de Dieu tout-puissant à sa créature? 
Grégoire de Nysse

lundi 7 avril 2014

Si Dieu existe, pourquoi le mal, la souffrance ? (partie 1)

La souffrance frappe tout le monde, sans exception, n’importe quand, n’importe où. A t-elle un sens ? Dieu est-il vraiment tout puissant, bon et juste ?...
La plupart du temps, nous courons après des distractions diverses pour échapper aux heurts de la vie, ou nous nous réfugions dans le travail. Surtout, nous cherchons à ne pas penser. Comme si le fait même de penser à notre vie, à celle des autres, faisait mal. C'est qu'effectivement, à des degrés divers, nul n'échappe à la souffrance...
Pourquoi moi ?
Lorsque nous vivons un drame, une pensée nous vient parfois à l'esprit : "pourquoi moi ?". Nous avons un sentiment d'injustice. Dans un magazine, quelqu'un posait un jour une autre question : quand j'entends parler d'une souffrance quelconque dans le monde, pourquoi est-ce que je ne me dis jamais "pourquoi pas moi ?".
Autrement dit, puisque la souffrance affecte tous les êtres humains, puisqu'elle existe depuis la nuit des temps, puisque ni le progrès, ni la science, ni aucun système politique ou social ne l'ont jamais éradiquée, pourquoi s'étonner que cela nous arrive aussi à nous individuellement ? Pourquoi ne pas plutôt s'estimer heureux quand notre souffrance semble dérisoire par rapport à ce que certains endurent dans d'autres coins du globe ?
Cela fait effectivement réfléchir… De fait, beaucoup de personnes trouvent dans ce raisonne-ment le secret de leur bonheur. Satisfaits et positifs, ils prennent la vie du bon côté. Nous connaissons tous l'affliction, mais chacun a aussi sa part de bonheur dans la vie. Considérons que les choses pourraient être pires. Dans beaucoup de situations , cela devrait être notre attitude. Nous serions moins râleurs et plus aimables…
Mais cette réflexion est une bien piètre consolation quand nous souffrons profondément. Si nous nous posons instinctivement la question "pourquoi moi ?", c'est parce que nous avons tous en nous cette pensée: la souffrance est une erreur ! Elle ne devrait pas exister ! Le mal est une anomalie. Si encore nous étions "punis" lorsque nous faisons le mal, cela serait juste. Mais non. La souffrance est aveugle et apparemment arbitraire : même si nous faisons le bien, cela ne nous met pas à l'abri d'elle. Elle n'a apparemment pas de cause, et c'est ça qui en fait le drame. Pas de cause, donc pas de remède, pas d'échappatoire !
Source : A toi de voir

dimanche 6 avril 2014

Comblé(e)

Texte gravé dans un institut de réadaptation à New York :

J'ai demandé à Dieu la force pour atteindre le succès ;
Il m'a rendu faible afin que j'apprenne humblement à obéir.
J'ai demandé la santé pour faire de grandes choses ;
Il m'a donné l'infirmité pour que je fasse des choses meilleures.
J'ai demandé la richesse pour pouvoir être heureux ;
Il m'a donné la pauvreté pour pouvoir être sage.
J'ai demandé la puissance pour obtenir l'estime des hommes ;
Il m'a donné la faiblesse pour que j'éprouve le besoin de Dieu.
J'ai demandé un compagnon afin de ne pas vivre seul ;
Il m'a donné un cœur afin que je puisse aimer tous mes frères.
J'ai demandé à Dieu toutes les choses qui pourraient réjouir la vie,
J'ai reçu la vie afin que je puisse me réjouir de toutes choses.
Je n'ai rien eu de ce que j'avais demandé, mais j'ai reçu tout ce que j'avais espéré.
_____________________
"La vie ne se compare pas à un petit bout de chandelle.
La vie est un flambeau splendide que je veux voir brûler aussi brillamment que possible avant de le passer à la prochaine génération."
George Bernard Shaw

samedi 5 avril 2014

Poéme sur les promesses de Dieu

Dieu fait une promesse;
La foi y croit;
l'espérance en jouit d'avance;
la patience l'attend.
Citation Anonyme

vendredi 4 avril 2014

Avec ou sans Lui pour son oeuvre ?

"Supposer que tout ce que Dieu nous demande, nous avons le pouvoir de le faire par nous-mêmes, revient à rendre sans  aucun effet la croix et la grâce de Jésus Christ." 
John Owen

"To suppose that whatever God requireth of us that we have power of ourselves to do, is to make the cross and grace of Jesus Christ of none effect." 

John Owen 

jeudi 3 avril 2014

Prier avec la Bible

« La prière et la Parole de Dieu sont inséparables et peuvent toujours être jumelés au cours de ces moments que nous passons seuls avec Dieu. Par sa Parole, Dieu me parle; par la prière, je parle à Dieu. Pour qu’une véritable communication soit établie entre Dieu et moi, il doit y avoir une participation des deux parties. Si je ne fais que prier sans utiliser la Parole de Dieu, j’ai de fortes chances de m’inspirer de mes propres paroles et de mes propres pensées. Ce qui donne toute sa puissance à la prière, c’est le fait que je peux puiser dans les pensées de Dieu, dans sa Parole et ensuite me présenter devant Dieu avec ses pensées. C’est à partir de ce moment que je suis en mesure de prier selon la Parole de Dieu et selon sa volonté. Ô combien la Parole de Dieu est indispensable à toute prière véritable! » (auteur inconnu)

mercredi 2 avril 2014

Affirmation fantaisiste ?

André FROSSARD a écrit : " Si l’homme était bon par nature, il lui suffirait de libérer tous ses instincts pour être parfait, ce que personne n’a jamais osé soutenir."   

mardi 1 avril 2014

La fiabilité des Evangiles selon un historien


Certaines personnes disent que Jésus n’a jamais existé, qu’il n’est en réalité que le fruit de l’imagination de quelques hommes du Ier siècle. 

Répondant à ces sceptiques, Will Durant, un historien assez connu, a déclaré que les écrits des évangiles sont fiables. Voilà ce qu'il leur a dit : "Qu’une poignée de gens très simples aient imaginé, au cours d’une seule génération, une personnalité si puissante et si attirante, une éthique si élevée, la vision d’une fraternité humaine si riche en inspirations, serait un miracle plus incroyable qu’aucun de ceux que racontent les Evangiles"

That a few simple men should in one generation have invented so powerful and appealing a personality, so lofty an ethic, and so inspiring a vision of human brotherhood, would be a miracle far more incredible than any recorded in the Gospels. 

WILL DURANT (WILLIAM JAMES DURANT) (1885–1981) 

AMERICAN HISTORIAN AND PHILOSOPHER 

Un ouvrage d’histoire (The Historians’ History of the World) fait remarquer : “Les activités de Jésus ont eu, même d’un point de vue strictement profane, une portée historique bien plus considérable que les exploits de n’importe quel autre personnage historique. Les principales civilisations reconnaissent que sa naissance a inauguré une ère nouvelle.”