Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
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jeudi 30 avril 2015
mercredi 29 avril 2015
L'aspiration du ciel
Nous
aspirons tous au ciel, là où est Dieu ; mais il est en notre pouvoir
d’être heureux avec Lui maintenant même. Être heureux avec Lui signifie
aimer comme Il aime, aider comme Il aide, donner comme Il donne, servir
comme Il sert, sauver comme Il sauve, être avec Lui 24 heures par jour,
Le reconnaître sous Ses déguisements étonnants.
Mère Térésa (1910-1997)
mardi 28 avril 2015
La réponse à l'énigme humaine
lundi 27 avril 2015
Une résurrection importante
Ce n'est qu'aux cinquième et sixième siècles qu'est apparu le premier crucifix et, pendant très longtemps, la figure du Christ qui y figurait n'était pas le Christ crucifié mais le Christ ressuscité d'entre les morts.
P. J. SMITH, CITÉ DANS THE JESUS BOOK, 1978
The story of Christ crucified was kept alive by word of mouth in the early Christian churches and homes.It was not until the fifth and sixth centuries that the first crucifix appeared, and then, for a very long time, the figure of Christ on it was not Christ crucified but Christ risen from the dead.
P. J. SMITH, QUOTED IN THE JESUS BOOK, 1978
dimanche 26 avril 2015
samedi 25 avril 2015
La nécessité de la prière
“ Tout homme qui admet l’existence de Dieu reconnaît la nécessité de la prière. S’il y a un Dieu créateur de ce vaste univers, il faut que l’homme l’adore, le remercie, le loue, reconnaisse son domaine, s’humilie devant lui pour ses fautes, lui demande miséricorde et assistance. Ainsi la prière, sous une forme ou sous une autre, doit tenir dans la vie de tout homme qui n’est pas athée, une place importante”
(auteur anonyme)
(auteur anonyme)
vendredi 24 avril 2015
Un objectif à atteindre avec l'aide de Dieu
"Vaincre Satan, résister à ses tentations, manifester la vigueur de la vie
chrétienne. Il nous faut pour cela être occupés du Seigneur."
jeudi 23 avril 2015
"Ni jugement dernier, ni enfer" : Robert Ingersoll
Un des agnostiques les plus célèbres de l'histoire américaine fut Robert Green Ingersoll (1833-1899). Il donnait des conférences retentissantes dans toutes les Etats-Unis, mettant en doute la Bible et l'existence de Dieu. Un soir, alors qu'il parlait dans une petite ville de l'Etat de New York, il proclama avec éloquence qu'il ne croyait pas au jugement à venir ni à l'enfer.
Quand il eut terminé, un vieil ivrogne se leva à l'arrière de la salle et lui dit d'une voix pâteuse : " J'espère que tu as raison, mon vieux Bob, je comptes bien que tu aies raison."
Pour certaines personnes, le fait que Dieu soit un Dieu d'amour impliquerait l'absence de jugement et de punition pour le péché, pour tous les actes que nous avons commis au cours de notre vie.
Dieu est certes un Dieu d'amour mais il est aussi un Dieu de miséricorde, de pardon, de grâce sans oublier un Dieu de justice qui jugera lors du retour de Jésus chaque homme et chaque femme sur sa vie terrestre.
(Auteur anonyme)
(Auteur anonyme)
mercredi 22 avril 2015
Alexandre Soljenitsyne parle de notre monde
Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne, (1918-2008) fut un romancier et dissident russe, auteur de L’Archipel du Goulag.
Prix Nobel de littérature, Alexandre Soljenitsyne, en 1985 déjà, a écrit :
« Les théories sociales qui avaient tant promis, ont fait la preuve de leur faillite et ne nous ont amenés qu’à une impasse. Toutes les tentatives pour sortir le monde actuel de son triste état seront vaines, à moins que, pris de repentir, nous ne rectifions l’orientation de notre conscience pour la tourner à nouveau, vers le Créateur de toutes choses. »
Citation tiré de "Sélection du Reader’s Digest"
Prix Nobel de littérature, Alexandre Soljenitsyne, en 1985 déjà, a écrit :
« Les théories sociales qui avaient tant promis, ont fait la preuve de leur faillite et ne nous ont amenés qu’à une impasse. Toutes les tentatives pour sortir le monde actuel de son triste état seront vaines, à moins que, pris de repentir, nous ne rectifions l’orientation de notre conscience pour la tourner à nouveau, vers le Créateur de toutes choses. »
Citation tiré de "Sélection du Reader’s Digest"
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Libellés :
réflexions sur notre monde actuel
mardi 21 avril 2015
AVEZ-VOUS LEVÉ L'ANCRE?
Figurez-vous la situation désespérée de deux matelots ivres qui voulaient traverser un bras de mer en Ecosse. C'était par une nuit sombre. Le détroit n'était pas large, et en temps ordinaire vingt minutes suffisaient pour le traverser. Au moment dont je parle, les deux matelots étaient fort pressés de rentrer chez eux.
Arrivés au bord de l'eau, ils montèrent dans leur embarcation et se mirent à ramer de toutes leurs forces, espérant atteindre l'autre rive plus vite que d'habitude. Cependant, malgré tous leurs efforts, jamais ce trajet ne leur avait paru si long.
En vain ramaient-ils à coups redoublés, le bateau restait toujours en pleine eau et l'on ne sentait jamais le léger choc de la proue lorsqu'elle touche la plage. Il n'y avait pas de courant dans le petit détroit; mais nos deux matelots, toujours sous l'effet de la boisson, s'imaginaient que la marée leur était contraire.
Ils redoublèrent donc d'énergie, ils rassemblèrent toute leur vigueur pour faire de nouveau force de rames ; néanmoins ils n'atteignaient pas le bord. Ils étaient hors d'eux. Certes, se disaient-ils, le bateau est ensorcelé, ou bien nous le sommes nous-mêmes!
— Les heures s'écoulaient, l'aube du jour commençait déjà à luire sur l'horizon, enfin la lumière croissante de l'aurore vint révéler à nos matelots, maintenant désenivrés, la cause de leur malheur. —
Hé ! camarade, s'écria l'un d'eux, en regardant vers l'avant du bateau, nous n'avons pas levé l'ancre!
C'était en effet vrai; maintenant ils savaient pourquoi toutes leurs peines avaient été inutiles.
La sottise des deux matelots vous fait rire; il y a de quoi, mais combien d'âmes sont dans le même cas ! Maint pauvre pécheur s'est efforcé de croire (quelque étrange que cela puisse paraître), mais tous ses efforts ont été vains : la paix du cœur est aussi éloignée que jamais. Tous les moyens de grâce n'ont apporté aucun secours; la prière n'a amené aucune réponse de joie. L'âme malheureuse, poussée au désespoir, jette la faute sur le diable, sur une chance fatale, sur n'importe quoi ; et quant à la véritable cause de son état, elle n'y songe pas, cela ne lui vient pas même à l'esprit.
Le cœur se cramponne à des espérances fondées sur une propre justice qu'on ne veut pas lâcher ; — il nourrit secrètement les choses qui le retiennent sous la puissance de la mort ; — il ne veut pas se laisser aller avec une confiance enfantine dans les bras de Jésus.
Et vous, cher lecteur, où en êtes-vous? Avez-vous levé l'ancre? Avez-vous fait l'abandon de vous-même? Si non, tous vos efforts sont vains, vos prières inutiles. Levez donc votre ancre ; détachez-vous de toute fausse confiance en tout ce qui vous a retenu jusqu'ici ; jetez-vous, tel que vous êtes, sans rames ni gouvernail, dans les bras de Jésus; et là vous éprouverez pour vous-même la réalité de cette parole : « Je ne mettrai point dehors celui qui vient à moi. » (Jean 6,37)
Et si quelqu'un n'accomplit pas d'œuvres mais place sa confiance en Dieu qui déclare justes les pécheurs, Dieu le déclare juste en portant sa foi à son crédit. (Romains 4, 5).
F. L.
Le cœur se cramponne à des espérances fondées sur une propre justice qu'on ne veut pas lâcher ; — il nourrit secrètement les choses qui le retiennent sous la puissance de la mort ; — il ne veut pas se laisser aller avec une confiance enfantine dans les bras de Jésus.
Et vous, cher lecteur, où en êtes-vous? Avez-vous levé l'ancre? Avez-vous fait l'abandon de vous-même? Si non, tous vos efforts sont vains, vos prières inutiles. Levez donc votre ancre ; détachez-vous de toute fausse confiance en tout ce qui vous a retenu jusqu'ici ; jetez-vous, tel que vous êtes, sans rames ni gouvernail, dans les bras de Jésus; et là vous éprouverez pour vous-même la réalité de cette parole : « Je ne mettrai point dehors celui qui vient à moi. » (Jean 6,37)
Et si quelqu'un n'accomplit pas d'œuvres mais place sa confiance en Dieu qui déclare justes les pécheurs, Dieu le déclare juste en portant sa foi à son crédit. (Romains 4, 5).
F. L.
Source : Le salut de Dieu, bulletin chrétien, 1873
Libellés :
anecdotes qui font réfléchir
lundi 20 avril 2015
dimanche 19 avril 2015
C.S. Lewis parle du pardon
"Tout le monde dit que le pardon est une belle chose jusqu'au jour où ils ont à pardonner !"
Every one says forgiveness is a lovely idea, until they have something to forgive. C.S. Lewis
samedi 18 avril 2015
Dieu contrôle-t-il tout ?
Nous n'avons pas toujours
besoin de savoir où nous allons aussi longtemps que nous savons qui
nous suivons. Dieu contrôle tout. Même quand nous arrivons dans des
lieux étranges ou des circonstances inhabituelles, le Père n'est
pas pris par surprise.
Mike Clay
We don't always need to
know where we are going as long as we know whom we are following. God
is in control. Even when we wind up in strange places or unusual
circumstances, the Father is not caught by surprise.
Mike Clay
vendredi 17 avril 2015
jeudi 16 avril 2015
John Mason devant la mort
Sur son lit de mort, l’homme d’état anglais, John Mason disait : "Qu’ai-je appris pendant ma vie ? Que la foi chrétienne est le plus grand des bonheurs. Si je devais recommencer mon existence, j’échangerais la cour royale contre la solitude. A toutes les heures que j’ai passées dans le luxe des palais, je préfère une heure de communion intime avec mon Dieu. Je sens maintenant que tout m’abandonne, il ne me reste que mon Sauveur et ma foi".
Libellés :
les derniéres paroles d'hommes connus
mercredi 15 avril 2015
Etre une lumière dans ce monde
Si notre lampe donne toute sa lumière c'est toujours autant de ténèbres
en moins dans ce monde, quelque petit que soit le coin qu'elle éclaire.
Miss Wetherell
mardi 14 avril 2015
La bonté est-elle suffisante ?
Le message du
christianisme n'est pas une exhortation : efforce-toi d'être bon. Un
bon conseil mais il n'y a aucun Evangile qui sauve dans ce sens là.
Halford E. Luccock
The Christian message is
not an exhortation - try hard to be good. Good advice, but there is
no saving gospel in that.
Halford E. Luccock
lundi 13 avril 2015
Je veux être sauvé !
Dans une ville du nord de l'Allemagne vivait, dans les années 1860, un jeune homme élevé dans la religion catholique romaine. Il ne croyait cependant ni en cette religion, ni en aucune autre, vivant dans l'incrédulité la plus complète, éloigné de toute pensée de Dieu, et surpassant en dépravation les plus endurcis d'entre ses compagnons de vice. Et pourtant (oh! que merveilleuses sont les voies de Dieu !), comme David transperça Goliath avec la propre épée du géant, ainsi Dieu se servit de l'excès même de la perversité de ce jeune homme pour transpercer son âme d'une terreur soudaine. Repris dans sa conscience , se voyant tout à coup dans son vrai jour, une angoisse poignante s'empara de lui. Il eut horreur de lui-même et se dit : « II n'y a pas au monde de pécheur plus coupable que moi ! S'il est vrai que les méchants iront en enfer, et que le ciel n'est réservé qu'aux bons, mon sort n'est pas douteux; l'enfer m'attend, car si jamais homme a mérité la perdition éternelle, c'est bien moi.»
Dès lors plus de repos; cette pensée terrible le poursuit et le torture nuit et jour. Comment s'en distraire ? En se replongeant plus profondément dans sa vie de péché. Mais le vice a perdu tout attrait. Oh ! si seulement il pouvait espérer qu'il y eût possibilité de salut.
Il se rappelle alors ce qu'on lui a raconté au sujet de pénitences, de prières, de couvents où, dit-on, des moines trouvent moyen d'expier leurs péchés par des œuvres méritoires et des mortifications excessives.
Il se rappelle alors ce qu'on lui a raconté au sujet de pénitences, de prières, de couvents où, dit-on, des moines trouvent moyen d'expier leurs péchés par des œuvres méritoires et des mortifications excessives.
Cette pensée lui rend quelque courage ; il sent que nul labeur, nulle macération ne lui coûteront, s'il peut obtenir par là au moins une vague espérance de pardon, et il se décide à se faire moine. Mais il demande, avant tout, où se trouve le couvent dont la règle est la plus sévère et les pénitences les plus dures; ce couvent se trouvât-il à l'extrémité de la terre, il ira et y passera le reste de sa vie dans la pénitence et la prière. Il apprend enfin que l'objet de ses recherches est un monastère de la Trappe, à environ quinze cents milles de sa demeure. Trop pauvre pour subvenir aux dépenses que nécessite ce voyage, il se résout à le faire à pied et à mendier sa subsistance en chemin. Cela déjà lui semble être un commencement de pénitence et un pas de gagné sur le chemin du ciel.
Le voyage fut long et pénible, sous un soleil brûlant, à travers des pays inconnus. Exténué, il parvient enfin en vue de l'antique monastère où il espère trouver le repos de son âme. Quant à son corps, il ne s'en embarrasse guère. Le voilà pourtant arrivé; il sonne; la porte lui est ouverte par un vieux moine, si faible et si infirme qu'il semble hors d'état de marcher.
« Vous êtes sauvés par la grâce, par la foi, et cela ne vient pas de vous; c'est le don de Dieu, non pas sur le principe des œuvres, afin que personne ne se glorifie. » (Éphésiens 8, 9.)
« Ils lui dirent : Que ferons-nous pour faire les œuvres de Dieu ? » Jésus répondit, et leur dit : « C'est ici l'œuvre de Dieu, que vous croyiez en Celui qu'il a envoyé. » (Jean 6, 28 et 29.)
— Que désirez-vous? demande le vieillard.
— Être sauvé, répond le voyageur. La crainte de l'enfer m'a poussé jusqu'ici pour y chercher le salut de mon âme.
Le vieux moine l'invite à entrer, et, le conduisant dans sa cellule :
— Maintenant, dit-il, expliquez-moi vos paroles ?
— Eh bien! voici ce qui m'amène :Vous voyez devant vous un pécheur perdu. Ma vie a été si indigne que je n'oserais vous la raconter. Il me paraît impossible qu'un misérable tel que moi puisse jamais être pardonné; et néanmoins me voici prêt à tout endurer et à tout tenter pour obtenir mon pardon. Si donc vous voulez me recevoir dans votre ordre, je me soumettrai, sans me plaindre, à toute pénitence que vous m'infligerez. Ne m'épargnez aucune souffrance ; dites-moi seulement ce que je dois faire pour être sauvé, et,quoi que ce puisse être, je le ferai.
Le vieux moine répondit :
— Vous dites que vous êtes prêt à faire tout ce que je tous dirai. Eh bien! retournez tout droit chez vous, car tout ce dont vous me parlez a été expié avant que vous vinssiez, et il ne vous reste plus rien à faire. Un autre a déjà souffert à votre place. Tout est accompli.
— Être sauvé, répond le voyageur. La crainte de l'enfer m'a poussé jusqu'ici pour y chercher le salut de mon âme.
Le vieux moine l'invite à entrer, et, le conduisant dans sa cellule :
— Maintenant, dit-il, expliquez-moi vos paroles ?
— Eh bien! voici ce qui m'amène :Vous voyez devant vous un pécheur perdu. Ma vie a été si indigne que je n'oserais vous la raconter. Il me paraît impossible qu'un misérable tel que moi puisse jamais être pardonné; et néanmoins me voici prêt à tout endurer et à tout tenter pour obtenir mon pardon. Si donc vous voulez me recevoir dans votre ordre, je me soumettrai, sans me plaindre, à toute pénitence que vous m'infligerez. Ne m'épargnez aucune souffrance ; dites-moi seulement ce que je dois faire pour être sauvé, et,quoi que ce puisse être, je le ferai.
Le vieux moine répondit :
— Vous dites que vous êtes prêt à faire tout ce que je tous dirai. Eh bien! retournez tout droit chez vous, car tout ce dont vous me parlez a été expié avant que vous vinssiez, et il ne vous reste plus rien à faire. Un autre a déjà souffert à votre place. Tout est accompli.
- Tout est accompli, dites-vous?
- Oui, tout. Ne savez-vous pas dans quel but le Sauveur est venu dans ce monde ? Il est venu pour endurer à notre place le châtiment que nos péchés nous ont attiré. Après être mort pour nos offenses, il est ressuscité pour notre justification, ayant achevé l'œuvre que le Père lui avait donnée à faire. Il ne pouvait pas se reposer avant de l'avoir achevée. Elle est accomplie ; et maintenant il est retourné auprès de son Père; il s'est assis à sa droite, et il nous prépare des places, afin que là où il est, nous y soyons aussi; et nous jouirons éternellement de sa gloire. Il ne vous reste donc rien à faire que de louer et remercier sans cesse notre Sauveur, et de vous réjouir dans la pensée que vous le rejoindrez et serez fait participant de sa gloire comme vous êtes actuellement l'objet de sa grâce. Et maintenant allez, retournez chez vous, débarrassé de toute crainte, et souvenez-vous que Christ a dit : « C'est accompli !»
Le voyageur reprit son bâton et rebroussa chemin tout joyeux, le cœur débordant de reconnaissance.
Et toi, lecteur, que vas-tu faire? Avez-vous accepté comme lui la quittance de votre dette, écrite avec le sang de Christ, ou bien vous efforcerez-vous encore de la payer avec de fausses pièces que Dieu ne saurait accepter? Si vous voulez être sauvé, croyez seulement. Celui qui croit a la vie éternelle, et il est passé de la mort à la vie. Ce n'est point une espérance, c'est une certitude pour l'âme qui croit.- Oui, tout. Ne savez-vous pas dans quel but le Sauveur est venu dans ce monde ? Il est venu pour endurer à notre place le châtiment que nos péchés nous ont attiré. Après être mort pour nos offenses, il est ressuscité pour notre justification, ayant achevé l'œuvre que le Père lui avait donnée à faire. Il ne pouvait pas se reposer avant de l'avoir achevée. Elle est accomplie ; et maintenant il est retourné auprès de son Père; il s'est assis à sa droite, et il nous prépare des places, afin que là où il est, nous y soyons aussi; et nous jouirons éternellement de sa gloire. Il ne vous reste donc rien à faire que de louer et remercier sans cesse notre Sauveur, et de vous réjouir dans la pensée que vous le rejoindrez et serez fait participant de sa gloire comme vous êtes actuellement l'objet de sa grâce. Et maintenant allez, retournez chez vous, débarrassé de toute crainte, et souvenez-vous que Christ a dit : « C'est accompli !»
Le voyageur reprit son bâton et rebroussa chemin tout joyeux, le cœur débordant de reconnaissance.
« Vous êtes sauvés par la grâce, par la foi, et cela ne vient pas de vous; c'est le don de Dieu, non pas sur le principe des œuvres, afin que personne ne se glorifie. » (Éphésiens 8, 9.)
« Ils lui dirent : Que ferons-nous pour faire les œuvres de Dieu ? » Jésus répondit, et leur dit : « C'est ici l'œuvre de Dieu, que vous croyiez en Celui qu'il a envoyé. » (Jean 6, 28 et 29.)
Source : le salut de Dieu, bulletin chrétien, 1873
dimanche 12 avril 2015
Des sportifs parlent de Jésus (4)
Kevin JOHNSON
Joueur professionnel de Basket NBA, Star de l'équipe UCLA, All Star NBA.
"Si Christ est ma priorité et si je le suis fidèlement avec l'aide de la bible, si je fais ce qu'il dit et le cherche lui d'abord de tout mon cœur, tout prendra sa juste place"
Mary-Jo FERNANDEZ
Joueuse professionnelle de tennis, finaliste de l'Open d'Australie en 1990 et 1992, deux médailles d'or aux JO de Barcelone 92 et Atlanta 96.
"Maintenant, quoique je fasse, je vise à mettre Jésus au centre de ma vie, tout le temps."
Joueur professionnel de Basket NBA, Star de l'équipe UCLA, All Star NBA.
"Si Christ est ma priorité et si je le suis fidèlement avec l'aide de la bible, si je fais ce qu'il dit et le cherche lui d'abord de tout mon cœur, tout prendra sa juste place"
Mary-Jo FERNANDEZ
Joueuse professionnelle de tennis, finaliste de l'Open d'Australie en 1990 et 1992, deux médailles d'or aux JO de Barcelone 92 et Atlanta 96.
"Maintenant, quoique je fasse, je vise à mettre Jésus au centre de ma vie, tout le temps."
samedi 11 avril 2015
vendredi 10 avril 2015
Écrit sur le mur de la cellule
Tout ce qui a été écrit auparavant l'a été... afin que... par la consolation des Écritures, nous ayons espérance.
Romains 15. 4
La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton cœur.
Romains 10. 8
J'ai caché ta parole dans mon cœur.
Psaume 119. 11
Écrit sur le mur de la cellule
Pendant la deuxième guerre mondiale, en avril 1943, Donald Caskie (1902-1983), jeune pasteur écossais vivant en France, est jeté en prison pour avoir aidé des prisonniers de guerre alliés à fuir la France.
“C'était, dira-t-il dans un livre, une expérience frustrante, affreusement humiliante, qui pouvait aisément conduire un homme au désespoir. Mais ma connaissance de la Bible m'a sauvé.” Un jour, sa Bible lui est enlevée.
“Mais ce livre, je l'avais dans ma tête et dans mon cœur, et il a soutenu ma foi et mon équilibre mental.”
Transféré dans une autre prison, il découvre, gravés sur les murs de sa nouvelle cellule, les noms de nombreux prisonniers.
Mais lui, il allait graver des paroles de la Bible : “Ainsi dit l'Éternel... Ne crains point car je t'ai racheté, je t'ai appelé par ton nom, tu es à moi. Quand tu passeras par les eaux, je serai avec toi, et par les rivières, elles ne te submergeront pas. Quand tu marcheras dans le feu, tu ne seras pas brûlé” (Ésaïe 43. 1, 2). Caskie pria que le Saint Esprit utilise ces mots pour un détenu qui aurait besoin de la paix de Dieu.
Plus tard, dans une autre prison, quelqu'un lui raconte son histoire, le désespoir qu'il a connu : “J'étais sur le point d'en finir avec la vie pour échapper à la torture quand je vis des paroles sur le mur qui m'arrêtèrent net, des paroles de réconfort et de force. Je ne les oublierai jamais”. Et il se mit à réciter le texte d'Ésaïe que Caskie avait gravé. La Parole de Dieu avait, une nouvelle fois, montré sa force, et la prière de Donald Caskie avait été exaucée.
Auteur inconnu
jeudi 9 avril 2015
Des pensées déterminantes
Si nous restons
concentrés sur Dieu, Sa paix gouvernera les affaires entretenues par
notre esprit. Si, de l'autre côté, nous autorisons notre esprit à
s'éterniser dans les soucis de ce monde, la paix de Dieu sera
éloignée de nos pensées.
Woodrow Kroll
If our minds are stayed
upon God, His peace will rule the affairs entertained by our minds.
If, on the other hand, we allow our minds to dwell on the cares of
this world, God's peace will be far from our thoughts.
Woodrow Kroll
mercredi 8 avril 2015
Pourquoi Dieu nous aime-t-il ?
« Le chrétien ne
pense pas que Dieu nous aime parce que nous sommes bon mais que Dieu
nous rend bon car il nous aime. Tout comme le toit d'une cabine en
plein soleil n'attire pas le soleil car il est brillant mais il
devient brillant car le soleil brille sur lui. »
C.S. Lewis
"The Christian does
not think God will love us because we are good, but that God will
make us good because He loves us; just as the roof of a sunhouse does
not attract the sun because it is bright, but becomes bright because
the sun shines on it."
C.S. Lewis
mardi 7 avril 2015
Des images du péché
Le péché, c'est manquer
la cible, s'égarer du chemin, une déviation du giron. Le péché
est un cœur endurci et un coup raide. Le péché est aveugle et
sourd. Il est à la fois le dépassement de la ligne et l'échec pour
l'atteindre, à la fois une transgression et un défaut. Le péché
est une bête tapi à la porte. Dans le péché, les gens vont contre
l'appel divin ou néglige l'appel divin. Ces images et d'autres
images encore suggèrent la déviance naturelle : même quand il est
familier, le péché n'est jamais normal … Par dessus tout, le
péché dérange et fait de la résistance à la relation humaine
vitale avec Dieu.
Cornelius Plantinga, Jr.
Sin is the missing of a
target, a wandering from the path, a straying from the fold. Sin is a
hard heart and stiff neck. Sin is blindness and deafness. It is both
the overstepping of a line and the failure to reach it - both
transgression and shortcoming. Sin is a beast crouching at the door.
In sin, people attack or evade or neglect their divine calling. These
and other images suggest deviance; even when it is familiar, sin is
never normal...Above all, sin disrupts and resists the vital human
relation to God.
Cornelius Plantinga, Jr.
lundi 6 avril 2015
Une autre vision
« Celui qui aime
l'argent n'est pas rassasié par l'argent, et celui qui aime les
richesses n'en profite pas. C'est encore là une vanité. »
Ecclésiaste 5,9
« Et Dieu peut vous
combler de toutes sortes de grâces, afin que, possédant toujours en
toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez
encore en abondance pour toute bonne œuvre »
2 Corinthiens 9,8
Un commentateur a écrit : «
Non, l'argent n'a pas réponse à tout. Il existe tout un
enseignement biblique sur le travail, le don de soi, le
réinvestissement des gains pour un développement durable. Les païens disaient : 'Mangeons et buvons, car demain nous mourrons'.
Mais le chrétien sait que la vie a un sens, il poursuit un but, qui
n'est pas seulement limité à un horizon terrestre. Il travaille
aussi pour ses enfants, la génération future, le salut éternel des
âmes ».
dimanche 5 avril 2015
samedi 4 avril 2015
La réponse à nos pourquoi
Maintenant, sur la terre, c'est le moment des « pourquoi » ; dans le ciel, ce seront les « parce que ».
Auteur anonyme
vendredi 3 avril 2015
jeudi 2 avril 2015
Le credo de Luther
Je crois que Dieu m'a
crée ainsi que d'autres personnes. Il m'a donné un corps, une âme,
des yeux, des oreilles et d'autres parties de mon corps, un esprit et
tous les sens, ils les préservent tous. Il me donne des vêtements et
des chaussures, à boire et à manger, une maison et un pays, une
femme et des enfants, des champs, des animaux et tout ce que je possède. Chaque jour, il me donne abondamment tout ce dont j'ai
besoin pour nourrir ce corps et cette vie. Il me protège contre tout
danger, me défend avec son bouclier contre tout mal. Il fait tout
cela car sa bonté est pure, celle d'un père et divin dans sa grâce,
pas simplement parce que je l'ai gagné ou mérité. Pour tout cela,
je dois Le remercier, le louer, le servir et Lui obéir. Oui, c'est
vrai !
Martin Luther
I believe that God
created me, along with all creatures. He gave to me: body and soul,
eyes, ears and all the other parts of my body, my mind and all my
senses and preserves them as well. He gives me clothing and shoes,
food and drink, house and land, wife and children, fields, animals
and all I own. Every day He abundantly provides everything I need to
nourish this body and life. He protects me against all danger,
shields and defends me from all evil. He does all this because of His
pure, fatherly and divine goodness and His mercy, not because I've
earned it or deserved it. For all of this, I must thank Him, praise
Him, serve Him and obey Him. Yes, this is true!
Martin Luther
mercredi 1 avril 2015
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