Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
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jeudi 23 avril 2009
Comment gérer ses peurs ? (partie 3)
mercredi 22 avril 2009
La foi selon Martin Luther
«O! La foi est une chose vivante, active, puissante, de sorte qu'il est impossible qu'elle ne produise pas continuellement ce qui est bien. La foi ne demande pas s'il y a des bonnes œuvres à faire, mais avant qu'on puisse demander, la foi les a déjà faites.»
Martin Luther, (1483-1546), Réformateur protestant allemand Préface à l'épître aux Romains
mardi 21 avril 2009
Une proclamation spirituelle
lundi 20 avril 2009
Chungkai, le camp des survivants
Pour rompre le cycle de la haine
[ publié dans le magazine Croire et vivre n° 55 - avril 2007 ]
Deux solutions possibles
Changements d’attitude
1. | Film historique américano-britannique de David Cunningham sorti en 2001, avec Robert Carlyle, Kiefer Sutherland, Ciarán McMenamin… |
2. | Psaume 140.3 |
dimanche 19 avril 2009
L'homme a besoin de Dieu

L'Écriture qualifie d'insensé celui qui dit dans son cœur : « Il n'y a point de Dieu » (Psaume 14. 1). L'apôtre Paul déclare que les hommes sont inexcusables s'ils ne savent pas discerner, dans l'œuvre de la création, la puissance éternelle et la divinité de Dieu (Romains 1. 20). Mais cette connaissance ne suffit pas pour nous donner la paix.
Le grand Dieu créateur est aussi le Dieu sauveur. Il déclare lui-même : « Hors moi, il n'y a pas de Dieu ; de Dieu juste et sauveur, il n'y en a point si ce n'est moi. Tournez-vous vers moi, et soyez sauvés, vous, tous les bouts de la terre » (Ésaïe 45. 21-22).
Cette invitation de Dieu montre tout son amour : « Notre Dieu sauveur... veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité ; car il y a un seul Dieu et un seul médiateur entre Dieu et les hommes, l'homme Christ Jésus qui s'est donné lui-même en rançon pour tous » ( 1 Timothée 2. 4-6).
samedi 18 avril 2009
Dieu ne s'impose pas, il invite

Jésus lui dit : Parce que tu m'as vu, tu as cru ; bienheureux ceux qui n'ont pas vu et qui ont cru.
Jean 20. 29
Dieu ne s'impose pas, il invite
Il y a une phrase que l'on entend parfois et qui nous laisse pensifs : «Ne serait-ce pas plus simple si Dieu se révélait d'un coup à tout le monde ?»
vendredi 17 avril 2009
jeudi 16 avril 2009
Le second Adam
mercredi 15 avril 2009
mardi 14 avril 2009
Deux visions de la religion

lundi 13 avril 2009
dimanche 12 avril 2009
La sagesse humaine
samedi 11 avril 2009
L'éloge funébre d'un agnostique
Dans son éloge funèbre fait à l’occasion de la mort de son frère Ebon Clarke Ingersoll le 31 Mai 1879 , il dit :
« La vie est un voile étroit entre les sommets froids et nus de deux éternités. Nous nous efforçons de voir au delà des hauteurs. Nous crions, et la seule réponse, c’est l’écho de notre lamentation. Des lèvres sans voix de la mort là ne vient pas un mot; mais la nuit d'espoir de la mort voit une étoile et écouter l'amour peut entendre le bruissement d'une aile. Celui qui dort ici, alors qu’il mourait, prit l’approche de la mort pour le retour de la santé. Il dit : “Je vais mieux, maintenant.”
Il faut croire que, malgré les doutes et les dogmes, les larmes et les peurs, ces douces paroles peuvent se dire au sujet de tous les morts innombrables. Robert Ingersoll voulait croire au ciel.
vendredi 10 avril 2009
La foi de Georges Brassens

«J'ai le malheur de ne pas croire en Dieu. J'espère quand même, s'il existe, qu'il ne va pas tarder à me faire signe, parce que c'est long... Je le cherche dans mes chansons. Mon poète préféré, c'est tout de même le Christ; les Evangiles, c'est mon poème préféré.»
jeudi 9 avril 2009
Il est temps d'agir !

mercredi 8 avril 2009
mardi 7 avril 2009
La plus grande bataille de votre vie
“Christ est votre exemple, suivez Ses traces.” 1 Pierre 2.21
vous donnez le meilleur de vous-même.Vous pouvez l’emporter sur lui sans pour autant utiliser tout votre potentiel.
Pour donner le meilleur de vous-même vous devez apprendre à lutter contre vous-même : c'est la plus grande bataille que vous aurez à affronter au cours de votre vie. Même l’homme qui n’a connu que des échecs peut devenir un conquérant si, malgré eux, il parvient à se contrôler lui-même.
Et un conquérant s’avère un raté si, malgré ses victoires, il perd la bataille contre lui-même. Alexandre le Grand a conquis le monde, pourtant il n’a cessé de maudire son incapacité à contrôler ses mauvais penchants.
Le succès risque de vous rendre arrogant, assoiffé d’indépendance, plein de mépris pour les autres et parfois même cruel.
Ainsi ce ne sont pas les circonstances de la vie, les difficultés que nous rencontrons qui font la différence entre l’échec et la victoire, mais notre manière de les gérer. Celui qui cesse de mûrir spirituellement parce qu'il s’imagine être davantage versé dans les Ecritures que les autres, ou parce que son ministère connaît un succès retentissant, est encore loin d’avoir atteint le but que Christ a prévu pour lui.”
Source : Sa Parole pour Aujourd'hui du 7 Novembre 2007
lundi 6 avril 2009
Citations sur la volonté de Dieu (1)
dimanche 5 avril 2009
Boussole faussée
Un navire s'était échoué sur une côte rocheuse. Le pilote avait cru se diriger vers le port, mais son bateau n'avait cessé de se déporter vers les récifs, où il avait fini par se briser. L'armateur voulut rejeter la responsabilité du naufrage sur le personnel de bord. Mais il fut prouvé que ni le pilote très habile, ni le capitaine, ne pouvaient être soupçonnés de négligence ou d'incompétence. Le reste de l'équipage était, lui aussi, sans reproche. A la fin, on découvrit qu'un passager, voulant introduire en contrebande un certain nombre d'objets d'acier, en avait caché un poids considérable, dans sa cabine. La boussole se trouvait précisément au-dessus de sa cabine : l'attraction de l'acier fit dévier l'aiguille aimantée et la direction du navire s’en trouva faussée, d'où sa perte.
Il en est ainsi des péchés cachés dans nos cœurs. Ils causeront infailliblement le naufrage de notre vie.
samedi 4 avril 2009
vendredi 3 avril 2009
jeudi 2 avril 2009
Dieu veut nous parler
François Fénelon
mercredi 1 avril 2009
mardi 31 mars 2009
Finir la course
Nous n’avons qu’une seule vie à mener ici-bas, et il n’y a rien de plus tragique que d’arriver au terme de celle-ci en sachant que la course parcourue n’était pas la bonne.
lundi 30 mars 2009
Une définition anonyme de l'Evangile
"Qu’est-ce que l’Evangile ? C’est une magnifique justification du monde et de l’homme, parce que c’est la révélation de la vérité sur Dieu."
dimanche 29 mars 2009
PARDONNER A NOS ENNEMIS

Vous avec appris qu'il a été dit : 'Tu aimeras ton prochain et tu hairas ton ennemi. "Eh bien, moi je vous dis : Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent. Ainsi vous vous comporterez vraiment comme des enfants de votre Père céleste (Mt 5.43-45, La Bible du Semeur)
On trouve illustré, dans l'un des classiques de la littérature issue de la Deuxième Guerre mondiale, l'idéal chrétien du pardon. Dans l'incroyable récit d'Ernest Gordon, Miracle sur la rivière Kwai, il raconte sa capture alors qu'il s'échappait de Sumatra après la chute de Singapour. Avec d'autres prisonniers de guerre, il lui fallut marcher dans la jungle pour bâtir le célèbre pont sur la rivière Kwai. C'est là qu'un miracle eut lieu. Le Saint-Esprit remplaça la haine que ces hommes éprouvaient pour leurs ennemis par de la compassion, comme le décrit cet épisode :
Nous fumes dirigés sur une voie de garage pendant très longtemps. Nous nous trouvions sur la même voie que plusieurs wagons de Japonais blessés. Ils étaient seuls et sans soins. (...)
lls étaient en état de choc. Je n'avais jamais vu des hommes aussi sales. Leurs uniformes étaient incrustés de boue, de sang et d'excréments. Leurs blessures, gravement infectées et purulentes, grouillaient de vers. (. . .)
Les blessés nous regardaient tristement, assis avec la tête appuyée contre les wagons, attendant la mort avec fatalisme. (...)
Sans un mot, la plupart des officiers de ma section ouvrent leur sacs, sortent une part de leur ration et un ou deux chiffons et, leur gourde d'eau à la main, s'approchent du train japonais pour essayer de les aider. Nos gardiens veulent nous en empêcher, en hurlant : '' pas de pitié! Pas de pitié!", mais nous les ignorons et, nous mettant à genoux près de nos ennemis, nous leur donnons de la nourriture et de l'eau, nous les avons nettoyes et panses leurs plaies, nous les sourions et leur adressons un mot aimable. Lorsque nous les quittons, les cris d'"Arigatto'' (merci) résonnent à nos oreilles. - Ernest Gordon, Miracle on the River Kwai (Miracle sur la rivière Kwai) , Wm. Collins Sons & Co., Ltd., Londres, 1963, p. 132, 163.
Quel est l'antidote du Christ au désir de vengeance? Mt 5.38-42. Ernest Gordon regardait ses camarades avec étonne-ment. Dix-huit mois auparavant, ils se seraient volontiers unis pour détruire leurs ravisseurs si ces derniers étaient tombés entre leurs mains. " Maintenant, ces mêmes hommes soignaient les blessures de leurs ennemis. lls avaient fait l'expérience d'un moment de grâce, ici, dans ces wagons tachés de sang. Dieu avait abattu les barrières de leurs préjugés et leur avait donné le désir d'obéir à son commandement : " Tu aimeras ". - Miracle on the River Kwai. Wm Collins Sons & Co., ltd., Londres, 1963, p. 163, 164.
samedi 28 mars 2009
Changement en profondeur
vendredi 27 mars 2009
Les trois étapes de l'adoration

On peut reconnaître trois étapes qui nous font passer de la sécheresse de nos vies à une expérience bénie de la présence de Dieu. Comme le propose John Piper, nous les mentionnerons dans l'ordre inverse.
- Etape finale : « Nous expérimentons une joie pure devant les multiples perfections de Dieu : la joie de la reconnaissance, de l'étonnement, de l'espérance, de l'admiration. A ce niveau, nous nous sentons comblés par l'excellence de Dieu, et nous débordons de la joie de sa communion. »
- Deuxième étape : Nous n'éprouvons pas encore un sentiment de plénitude et d'abandon mais « seulement celui du désir et de l'aspiration ». Nous savons, peut-être pour l'avoir déjà expérimentée, combien la communion avec Dieu est une expérience riche et profonde. Nous nous encourageons à désirer sa présence, même si dans l'immédiat nous avons l'impression que notre cœur reste froid.
- Première étape : C’est le temps de la sécheresse. Nous avons de la peine à trouver quelque attrait dans la prière et la méditation de l’Ecriture. Pourtant, même alors Dieu nous travaille. Il ouvre nos yeux sur la pauvreté de notre condition et de notre manque d'amour. Ne soyons pas indifférents à ces « soupirs » de notre âme. Ils sont l'œuvre de l'Esprit qui voudrait nous faire entrer dans une communion renouvelée avec Dieu.
jeudi 26 mars 2009
La Bible est un message qui transforme des vies. (2)
mercredi 25 mars 2009
« Que veux-tu ? »
Je me souviens de l'histoire d'un jeune soldat qui avait été jugé par une cour martiale et condamné à mort. Le cœur du père et de la mère fut brisé à cette nouvelle. Ils avaient une petite fille. Elle connaissait Abraham Lincoln de nom et de réputation et elle se dit : « Si Lincoln Président de la République des États-Unis, savait combien mon père et ma mère aiment leur fils, il ne laisserait pas fusiller mon frère. » Elle supplia son père d'aller à Washington pour tâcher d'obtenir la grâce du condamné. Mais le père dit : « Ce n'est pas la peine ; la loi doit suivre son cours. On a déjà refusé plusieurs grâces, et le président a déclaré qu'il n'interviendrait plus, que les sentences des cours martiales seraient désormais exécutées. » Le père et la mère ne croyaient pas que leur fils pût être gracié.
Mais la petite fille ne perdit pas l'espoir, elle prit le train qui la conduisit du Vermont à Washington. Quand elle arriva à la Maison-Blanche, les soldats voulurent l'empêcher de passer, mais elle raconta la lamentable histoire, et on lui ouvrit le passage. Le secrétaire particulier du président Lincoln refusa de l'introduire auprès de celui-ci, mais la petite fille commença son récit, et le cœur du secrétaire fut touché ; il l'introduisit devant le président. Quand elle entra dans le cabinet de Lincoln, il y avait là des sénateurs, des généraux, des gouverneurs, des hommes politiques, tous occupés des grandes affaires du moment ; l'enfant n'osait avancer, mais le président la vit, debout près de la porte. « Que veux-tu ? » lui demanda-t-il, et l'enfant raconta son histoire, dans son simple langage. Il était père, et des larmes coulèrent bientôt sur les joues du grand Lincoln. Il écrivit un télégramme pour faire venir à Washington le jeune condamné. Quand il fut arrivé, le président le gracia, lui donna trente jours de congé et l'envoya chez lui avec la petite fille pour réjouir le cœur du père et de la mère.
Voulez-vous savoir comment aller à Christ ? Exactement comme cette enfant alla auprès de Lincoln. Peut-être avez vous un triste récit à faire. Racontez tout, ne gardez rien sur la conscience ! Si Lincoln eut pitié de la petite fille, écouta sa requête et l'exauça, croyez-vous que le Seigneur Jésus n'écoutera pas votre prière ? Croyez-vous qu'Abraham Lincoln, ou tout autre homme ici-bas, ait jamais eu autant de compassion que Christ ? Il est miséricordieux quand tous sont lassés de l'être ! Il a pitié de ceux que tous jugent indignes de pitié. Allez à lui, confessant vos péchés, et il vous sauvera.
Source : http://www.regard.eu.org/Livres.12/Cle_du_bonheur/02.html