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vendredi 15 mai 2009

Routine ou vie ?



« Ma participation aux activités de l'Eglise, mon engagement chrétien, ne contrebalanceront jamais le reste, tout ce qui est péché dans ma vie.
Si nous voulons construire un monde meilleur, il ne suffit pas de mettre toutes les bonnes volontés ensemble, ni de faire de son mieux, mais avant tout de crier régulièrement 'au secours' dans la bonne direction. Et le secours viendra : c'est la grâce de Dieu. C'est le cadeau immense et immérité de Dieu qui seul contient la capacité de nous tirer d'affaire. »
Christian Helmlinger, Du temps devant nous, p. 51

jeudi 14 mai 2009

Citations sur la volonté de Dieu (2)

" Dieu est prêt à assumer une responsabilité complète pour toute vie qui lui est entièrement soumise." 
Andrew Murray

mercredi 13 mai 2009

Une révélation biblique

Dieu est venu sous une forme humaine dans ce monde occupé par l'ennemi. L'abandon et l'humiliation parfaits ont été subis par le Christ : parfaits parce qu'il était Dieu, abandon et humiliation parce qu'il était homme .. En Christ est apparu un homme nouveau, et la vie nouvelle qui a commencé en Lui doit être mise en nous. 
C.S. Lewis, Les Fondements du Christianisme.  

God has landed on this enemy-occupied world in human form. The perfect surrender and humiliation was undergone by Christ: perfect because He was God, surrender and humiliation because He was man .. In Christ a new kind of man appeared: and the new kind of life which began in Him is to be put into us. 

C.S. Lewis, Mere Christianity, 1943 


mardi 12 mai 2009

Lire la vérité

Un pasteur a dit : "Le meilleur moyen de s'assurer de la vérité et de l'autorité de la Parole de Dieu, c'est de la lire".

lundi 11 mai 2009

Pardonnez et oubliez


Connaissez-vous Clarissa Harlowe Barton, dite Clara Barton (1821–1912) ? Elle fut une pédagogue américaine, et la fondatrice de la Croix Rouge américaine en 1881.
Il existe une merveilleuse anecdote à propos de Clara Barton. Un jour, une amie l’avait pris à partie et publiquement humiliée.
Des années après, une amie lui mentionna l’incident mais Clara semblait l’avoir oublié. Sidérée, son amie la questionna : « Tu ne t’en souviens pas ? ».
Clara répondit : « Non, je me souviens très bien de l’avoir oublié ».
D’évidence, Clara Barton n’avait pas seulement pardonné à son amie mais aussi délibérément d’oublier cette offense.
Dieu fait la même chose pour nous : quand nous confessons nos péchés, il nous pardonne et nous oublie tout.
Dieu vous donnera la grâce de pardonner et la capacité d’oublier.
Le pardon n’est pas un acte occasionnel, c’
est une attitude permanente.
Source : L'espérance, éditions Vida.

dimanche 10 mai 2009

Mieux vaut donner que recevoir


Êtes-vous du genre à consacrer toute votre énergie à vous tailler une réputation ou à ériger un monument à la gloire de vos idées personnelles ou vous dépouillez-vous selon ce que Dieu vous a demandé ? La vie n'est victorieuse que lorsqu'on la mène à contre-courant, à la manière du royaume. Elle ne réussit que lorsqu'on fait le contraire de ce qu'on a naturellement tendance à faire. Le renforcement à soi-même n'est pas seulement une belle métaphore: c'est une réalité, de la même manière que c'est par la combustion interne que fonctionnent les machines à moteurs. Mieux vaut donner que recevoir, que cela nous plaise ou non. Dieu a prévu que son royaume fonctionnerait de cette façon, et si nous n'observons pas ses règles, nous n'obtiendrons pas les résultats qu'il souhaite nous donner. 
Tommy Barnett, Une puissance insoupconnée

samedi 9 mai 2009

Remise en cause

” Dieu utilise les autres pour nous remettre sur la bonne voie. Nous ne pouvons pas grandir en dehors du corps de Christ, séparés de la communion et communauté du Saint-Esprit. De temps en temps, nous avons besoin d’être repris. Ceci est valable pour chacun d’entre nous. De ce côté-ci du ciel, nous avons tous besoin d’une guérison et d’un pardon permanents. Et nous avons tous nos aveuglements. Les apôtres ont eu les leurs et ils se sont repris les uns les autres. ” 
Leanne Payne, La prière d’écoute, page 204.

vendredi 8 mai 2009

« Le Mal est là, donc Dieu n'existe pas ! »


Affirmation : "Je ne peux pas croire en Dieu, il y a tellement de malheur dans le monde !"
« Le Mal est là, donc Dieu n'existe pas ! » C'est ce que cache souvent la question « Si Dieu existe, pourquoi le Mal ? ». Cela veut dire : « Hé ! Réveillez-vous ! C'est pas possible que Dieu existe puisqu'il y a des guerres, des catastrophes naturelles, des enfants qui meurent de faim, etc. »

Réponse de Yohann Tourne Vraiment, au nom de tous les chrétiens, j'aimerais remercier tous les athées (qui ne croient pas en Dieu), agnostiques (qui ne savent pas si Dieu existe) ou sceptiques qui nous interpellent sur cette question ! Vraiment merci de nous ouvrir les yeux sur la réalité du monde parce que nous, dans nos grottes hermétiques, nous n'avions jamais remarqué le problème ! Pendant toutes ces années, nous avons cru en Dieu, mais devant des remarques aussi pertinentes, nous allons reconsidérer la question ! Derrière ce trait d'ironie se cache en fait la véritable question : « Vous prenez les chrétiens pour des crétins ? » Le commun des mortels a compris le problème de la co-existence d'un Dieu bon et du Mal qui sévit sur Terre alors les chrétiens sont-ils assez débiles pour croire en Dieu malgré tout ? Alors il n'y a pas 36 possibilités : soit les chrétiens n'ont pas vu que le mal existe (peu probable), soit leur foi est naïve et sans consistance (on parlera donc plutôt de crédulité), soit c'est une foi traditionnelle, sociologique (alors est-ce vraiment de la foi ?), soit ils ont une réponse qui tient la route (très très probable). Soyons sérieux : depuis 2000 ans la Littérature, la Philosophie ou les sciences comptent bien trop de chrétiens authentiques en leur rang pour ne pas aller plus loin que cette minuscule objection sur l'existence du mal ! Si des chrétiens intelligents croient en un Dieu Tout-Puissant et bon malgré le Mal qu'ils ne peuvent ignorer, c'est qu'ils doivent avoir des réponses pertinentes à apporter, non ? « Le Mal est là, donc Dieu n'existe pas ! » Pourquoi tant de gens se satisfont-ils de cette remarque tellement facile sans chercher à aller plus loin ? Veulent-ils vraiment une réponse à la question « Si Dieu existe, pourquoi le Mal ? » ou la sortent-t-ils tel un bouclier pour ne pas parler plus longtemps d'un Dieu qui les dérange trop ? Bien sûr, là aussi, cette question n'en est pas une ! 
Yohann Tourne 
http://www.questionsuivante.fr/souffrances-75.html

jeudi 7 mai 2009

Qui est Dieu ?



La vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ.
Jean 17. 3
Dieu, une personne
Peut-être envisagez-vous Dieu comme une puissance, une influence, un immense ensemble, ou l'univers lui-même ? Le Dieu du chrétien, celui qui s'est fait connaître dans sa Parole, la Bible, est une personne. Une personne est un être conscient, qui a des pensées, des sentiments, des projets, quelqu'un qui agit et qui a des relations actives avec les autres. On peut parler avec une personne, on obtient d'elle des réponses. On peut la connaître. Dans ce sens, la Bible nous révèle clairement Dieu comme une personne.
Dieu pense : “Moi je connais les pensées que je pense à votre égard, dit l'Éternel, pensées de paix et non de mal, pour vous donner un avenir et une espérance” (Jérémie 29. 11).
Dieu agit : “Au commencement Dieu créa les cieux et la terre” (Genèse 1. 1), et la Bible est remplie de ses actes en faveur de sa créature.
Dieu a des sentiments : “Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle” (Jean 3. 16).
Dieu communique : “Dieu... nous a parlé dans le Fils” (Hébreux 1. 2).
Il vaut la peine, il est même indispensable, de connaître cette personne. Ne vous contentez pas de ce qu'on peut vous dire sur Dieu. Cherchez-le, il se révélera à vous, car il veut vous adopter comme son fils ou sa fille. “Je serai pour vous un père, et vous, vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur, le Tout-puissant” (2 Corinthiens 6. 18).
Texte issue de "La Bonne Semence 2006".

mercredi 6 mai 2009

Un peu, beaucoup, à la folie !


Ne perds pas ton temps à te demander  si tu "aimes" ton voisin, agis comme si c'était le cas.

Tim Keller

mardi 5 mai 2009

La croisiére (partie 1)


Par une belle journée d’été, des touristes effectuaient une croisiere sur un lac suisse à bord d’un magnifique bateau de plaisance. Le temps était splendide, le paysage somptueux. Bref, tout était pour le mieux. Sur le pont, un groupe de jeunes chrétiens se mit à chanter des cantiques de louange en s’accompagnant d’instruments. Les gens écoutaient, souriaient, amusés mais parmi eux, il en était qu’un qui, par son attitude, montrait son mécontentement, n’approuvant pas ce genre de concert. Sans plus tarder, il se leva et alla à l’autre bout du bateau. Mais là encore, le bruit le poursuivait. Agacé à l’extrême, changeant sans cesse de place, n’arrivant pas à trouver la quiétude qu’il voulait avoir, il s’irrita alors. S’adressant à un membre d’équipage, il lui demanda s’il connaissait un endroit à l’abri des chants de ces chrétiens. 
« Oui, Monsieur, lui répondit le stewart, en enfer. » 
Cette flèche lui perça le cœur, il n’avait pas pensé à cela. 
Tiré d'un calendrier chrétien

lundi 4 mai 2009

Des oreilles pour entendre


John Wesley était un prédicateur anglais très connu du 18ème Siécle.
Comme John Wesley prêchait à Dublin, un certain personnage de la ville, très opposé à ses prédications, mais grand amateur de musique religieuse, résolut d'assister à l'une d'elles, mais seulement pour entendre les cantiques accompagnant la prédication. Décidé à ne rien écouter d'autre, il se boucha les oreilles, entre les chants.
Mais Dieu sait y faire pour briser les résistances humaines. Alors que notre homme se bouchait fermement les oreilles, une mouche se posa sur sa figure. L'homme gêné, leva la main pour chasser l'insupportable bestiole. A cet instant précis, Wesley prononça ces mots des Evangiles : "Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende". Effaré par l'à-propos de ces paroles, il continua d'écouter. Sa conscience fut réveillée par les paroles divines. Elle ne lui laissa plus de repos. Son passé - c’était un aubergiste enrichi, mais de mauvaise réputation - revenait sans cesse devant lui. Il suivit toutes les prédications de Wesley, jusqu'à trouver enfin le repos, en recevant Jésus comme Sauveur.
Source : Topchrétien
John Wesley
John Wesley

dimanche 3 mai 2009

Le vice suprême

C.S Lewis a écrit dans son livre « Les fondements du christianisme » (Éditions L.L.B.) : « Quiconque estime que les chrétiens considèrent l’impudicité comme le vice suprême a complètement tort. Les péchés de la chair sont mauvais mais ils sont les moindres de tous. Les pires jouissances sont toutes purement spirituelles et se caractérisent par le plaisir de mettre autrui dans son tort, de régenter, de patronner, de jouer les trouble-fête, de médire, de se complaire dans les plaisirs du pouvoir et de la haine. Car il y a deux pulsions en moi, le moi animal et le moi démoniaque qui rivalisent avec le moi humain que je m’efforce de devenir. Le moi démoniaque est le pire des deux. C’est pourquoi un prétendu vertueux, froid et imbu de lui-même, assidu aux cultes peut être bien plus prêt de l’enfer qu’une prostituée. Mais il vaut mieux n’être ni l’un ni l’autre. » 
Cela a un rapport avec la fait que en rapport avec cette attitude pharisienne que nous adoptons souvent, et qui nous fait haïr et pointer du doigt les péchés extérieurs des gens, sans nous préoccuper vraiment de leurs péchés intérieurs (qui ne paraissent pas).

samedi 2 mai 2009

Prier, c'est quoi ? (5)


"La prière est le plus grand rempart de l'âme"
« La prière est un élan affectueux vers Dieu » (Saint Augustin)

vendredi 1 mai 2009

Jésus a-t-il vraiment existé ? (partie 2)


Le témoignage juif
Tout d'abord, il y a le témoignage des premiers écrits talmudiques. Après avoir étudié soigneusement leur témoignage, Joseph Klausner, célèbre savant juif, déclara que les "premiers récits talmudiques sur Jésus confirment à la fois l'existence et le caractère général de Jésus" ("Jesus of Nazareth", p. 20). La contradiction porte sur les moyens des miracles mais pas sur les événements. Ils ne mettent pas en doute la naissance de Jésus mais le caractère miraculeux de celle-ci, ils ne nient pas les guérisons et attribuent à Jésus des pouvoirs miraculeux non de par Dieu, mais par magie.
Un historien juif du Ier siècle, Flavius Josèphe, signale la lapidation de "Jacques, frère de Jésus, nommé Christ" ("Histoire ancienne des Juifs", traduction d'Arnauld d'Andilly, livre XX, chapitre VIII, paragraphe 1). Dans le livre XVIII, chapitre IV, paragraphe 3, il est directement question de Jésus, en des termes très favorables. Certains doutent de l'authenticité de ce passage et ils affirment qu'il a été soit ajouté ultérieurement, soit embelli par les chrétiens. Toutefois, il est admis que les mots utilisés et le style sont fondamentalement ceux de Josèphe. De plus, ces quelques lignes figurent dans tous les manuscrits disponibles. D’ailleurs quiconque lit son ouvrage remarquera que Joseph donne force détails sur les personnages peu connus, et moins sur ceux pour qui il ne peut y avoir de confusion, ce qui est le cas de Jacques et Jésus.



jeudi 30 avril 2009

La fidélité dans les petites choses


La fidélité dans les petites choses nous amènera à des bénédictions dans les grandes choses.
Warren W. Wiersbe

Faithfulness in the small things will lead to blessing in the big things.
Warren W. Wiersbe

mercredi 29 avril 2009

Vie de star

Qu'est-ce que l'homme a de tout son travail, et de la poursuite de son cœur, dont il s'est tourmenté sous le soleil ?
Ecclésiaste 2. 22
Même dans le rire le cœur est triste ; et la fin de la joie, c'est le chagrin. Le cœur qui s'éloigne de Dieu sera rassasié de ses propres voies.
Proverbes 14. 13, 14

Vie de star



Dalida était une chanteuse de réputation internationale, adulée par les foules. Sa carrière professionnelle fut un immense succès, mais il y a vingt ans, elle mettait fin à ses jours en laissant le message suivant : «Pardonnez-moi ; la vie m'est insupportable». Comment comprendre une fin aussi triste pour une personne d'origine modeste qui était devenue une «star» et pour qui l'argent coulait à flots ?

La Bible nous révèle que l'homme sans Dieu ne peut jamais être réellement et durablement heureux. Nous sommes autre chose qu'un ensemble de molécules organisées ayant seulement besoin d'assouvir des besoins physiques comme la faim et la soif, à l'instar d'un animal. Non, le bonheur de l'homme dépend de la relation qu'il entretient avec son Créateur. Si je ne le connais pas, même si extérieurement tout va bien, mon cœur sera triste, vide de l'essentiel. En revanche, si j'ai découvert Jésus Christ, d'abord comme sauveur de mon âme, ensuite comme l'ami de chaque jour, ma vie en sera bouleversée.

Je connaîtrai alors une joie que personne ne peut ôter. Dieu ne veut pas me donner une vie «supportable», mais une existence riche de sens.

L'apôtre Paul écrit : “Ordonne à ceux qui sont riches dans le présent siècle... de ne pas mettre leur confiance dans l'incertitude des richesses, mais en Dieu… afin de saisir ce qui est vraiment la vie” (1 Timothée 6. 17-19).
Source : La Bonne Semence 2007

mardi 28 avril 2009

Bonne ou mauvaise alliance ?


Il ne faut pas traiter avec le diable, parce qu'il peut à tout moment réclamer un prix plus élevé que ce vous pouvez vous permettre. (auteur inconnu)

lundi 27 avril 2009

Puissant Jésus

« La plus merveilleuse découverte de la Bible est que Jésus-Christ est un Sauveur puissant. Il est parfaitement apte de répondre à tous nos besoins et à tous nos problèmes, tant émotionnel qu'intellectuels. »
George Verwer, Naviguer par la grâce, page 38

dimanche 26 avril 2009

La Bible est un message qui transforme des vies.


A San Francisco, un homme proposa un jour au pasteur Harry Ironside de débattre sur le thème « Agnosticisme et christianisme ».
L’agnosticisme est une autre forme d’incrédulité qui nie la vérité de la Parole de Dieu en affirmant que l’on ne peut savoir si Dieu existe. En pratique, il y a peu de différence avec l’athéisme.
Harry Ironside accepta, mais à une condition : l’agnostique devait d’abord fournir la preuve que sa pensée apportait un plus dans la vie des gens, sans quoi, cela ne valait pas la peine de la défendre.
Ironside lui proposa d’amener un homme connu pour avoir été un clochard ou un criminel, et une femme qui avait été prisonnière d’une vie dégradée (prostitution, par ex.), et de démontrer que ces deux personnes avaient été sauvées de leur vie dégradée après avoir embrassé la philosophie agnostique. Ironside quant à lui entreprit d’amener lors du débat 100 hommes et femmes qui avaient été glorieusement transformés après avoir cru à l’Evangile que l’agnostique se proposait de ridiculiser.
L’homme retira sa proposition d’organiser le débat.
Auteur inconnu

samedi 25 avril 2009

Le « Cristo redentor » à Rio de Janeiro




Si je suis élevé de la terre (sur une croix) , j'attirerai tous les hommes à moi-même.
Jean 12. 32
Il faut que le Fils de l'homme soit élevé (sur une croix) , afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu'il ait la vie éternelle.
Jean 3. 14-15
Le « Cristo redentor » à Rio de Janeiro

Dominant la baie de Rio de Janeiro, le monument du Christ rédempteur est une statue impressionnante de 30 mètres de haut, représentant le Christ ressuscité, les bras grands ouverts. Chacune de ses mains, qui porte la marque des clous, pèse 8 tonnes. D'une extrémité d'une main à l'autre, l'envergure est de 28 mètres. Ce monument a été conçu par un artiste brésilien et réalisé par le sculpteur français Paul Landowski.
Mais ce qui en fait tout l'intérêt, c'est sa position géographique. Placé sur un piton rocheux, en face du « Pain de sucre », il est visible de tous les quartiers de cette ville gigantesque d'environ dix millions d'habitants. Sans nous attacher à ce qui n'est que de la pierre, nous réalisons que chaque habitant de cette cité bruyante peut, s'il le désire, contempler le « Cristo redentor » qui se détache sur le ciel et penser alors à Celui qu'on a voulu représenter. Il lui suffit de lever la tête.
En parlant de sa mort sur la croix, élevé entre ciel et terre, exposé aux regards de tous, le Christ l'avait déjà annoncé : « J'attirerai tous les hommes à moi ». Il est mort. Il est ressuscité le troisième jour. Il a été élevé dans la gloire. Il est aujourd'hui vivant, et ses mains, qui portent pour toujours la marque des blessures faites par les clous, restent ouvertes, prêtes à bénir. Sommes-nous tellement habitués à ces choses que nous n'y faisons plus attention, comme sans doute beaucoup de Brésiliens qui ne remarquent plus leur immense statue ? Ou bien est-ce si difficile au milieu de notre vie trépidante de lever les yeux vers Jésus ?

vendredi 24 avril 2009

La richesse incomparable de la Bible


Le docteur suisse Paul Tournier (1898-1986) a écrit dans un livre au titre significatif : "Bible et Médecine" ceci :
" Ma première découverte est celle de la richesse incomparable de la Bible. La Bible, c'est le livre du drame humain et pour nous , médecins, elle est d'un intérêt palpitant ... Ce qui nous saisit aussi dans la Bible, c'est son réalisme. Elle nous montre l'homme tel qu'il est, et tel que nous le connaissons, avec toutes ses misères et toutes sa grandeur, avec toutes ses convictions et tous ses doutes, avec tous ses élans et toutes ses turpitudes."

Source : Daniel Vernet, La Bible et la science.

jeudi 23 avril 2009

Comment gérer ses peurs ? (partie 3)



III. Le sens de la vie. Ce qui aide à gérer la peur, c’est de savoir que la vie a un sens.

A) La vision athée du monde. Le sens de la vie ne se résume pas à avoir un petit copain ou une petite copine vraiment. Ça ne se résume pas à faire des études brillantes et avoir un métier stable. Ça ne se résume pas à être entouré d’amis fidèles ou d’amis « tendance ». Ca ne se résume pas à cela.

B) La vision chrétienne du monde. Le sens de la vie, c’est Dieu qui le donne, et du coup, le but de la vie c’est se conformer à ce que Dieu veut pour être vraiment heureux. Et du coup, pour finir par la fin, ne pas mourir. C’est une proposition plutôt pas mal du christianisme, c’est que après la vie, il y a la vie. « Après la vie, les mouches, la mort », pour les athées. « Après la vie, la vie », pour les chrétiens. Et par rapport à cette angoisse pour la mort, là encore ca règle le problème pour tous ceux qui ont accepté Jésus dans leurs vies, qui l’ont accepté comme Fils de Dieu. Ils ne connaitront pas la mort, ils connaitront une éternité de bonheur, ce qui n’est pas plus mal que les mouches. Pour résumer, un athée doit tout gérer seul et a donc des raisons d'avoir peur tandis qu'un chrétien peut assumer ses limites et savoir qu'un Dieu aimant gère ! Donc vous voyez l’intérêt du christianisme pour gérer sa peur, c’est qu’on l’affronte pour de vrai. Bien sûr, tout n’est pas réglé en un jour. Bien sûr, ce n’est pas la panacée. Je pense qu'on a besoin de psychologues aussi mais par rapport aux questions existentielles, je pense qu’on a rien fait de mieux.

mercredi 22 avril 2009

La foi selon Martin Luther


«O! La foi est une chose vivante, active, puissante, de sorte qu'il est impossible qu'elle ne produise pas continuellement ce qui est bien. La foi ne demande pas s'il y a des bonnes œuvres à faire, mais avant qu'on puisse demander, la foi les a déjà faites.» 

Martin Luther, (1483-1546), Réformateur protestant allemand Préface à l'épître aux Romains

mardi 21 avril 2009

Une proclamation spirituelle

Dans chaque chaire d'église de notre pays, on doit faire retentir que Dieu est encore vivant, que Dieu reste attentif, règne encore. La foi est maintenant dans celui qui a été crucifié, elle est testé par le feu et il n'y a aucun lieu de repos fixe pour le cœur et l'âme qu'au trône de Dieu. Ce dont nous avons besoin désormais, comme jamais auparavant, est une démarche complète, positive et constructive pour aller devant la Bonté de Dieu.
Arthur W. Pink

From every pulpit in the land it needs to be thundered forth that God still lives, that God still observes, still reigns. Faith is now in the crucible, it is being tested by fire, and there is no fixed resting place for the heart and mind but in the Throne of God. What is needed now, as never before, is a full, positive, constructive setting forth of the Godhood of God.
Arthur W. Pink

lundi 20 avril 2009

Chungkai, le camp des survivants

Pour rompre le cycle de la haine

[ publié dans le magazine Croire et vivre n° 55 - avril 2007 ]
Le titre anglais de ce grand film-choc (1) (entièrement basé sur le récit autobiographique du major Gordon) est «To end all wars», ce qui veut dire «pour finir toutes les guerres». Voilà ce qui s’appelle un vœu pieux! Comme dit la Bible, les hommes méchants «méditent de mauvais desseins dans leur coeur, et sont toujours prêts à faire la guerre!» (2) Mais l’expérience de la servitude peut faire réfléchir. C’est ce qui arrive à ces prisonniers écossais (et un soldat américain, interprété par Kiefer Sutherland) retenus par les Japonais au cœur de la jungle birmane. Obligés de construire, dans des conditions atroces, un chemin de fer dans la forêt vierge, ces forçats sont confrontés à un choix.

Deux solutions possibles

La première option est défendue par le major Campbell. Pour lui, la seule logique qui vaille est celle de la vengeance. Il n’a qu’un objectif, s’échapper et tuer ses geôliers, en qui il ne voit que des ennemis à abattre. L’autre option, proposée par le chrétien Dusty Miller, est inverse. Il observe que l’évasion, au milieu de la jungle, n’a aucun sens. Et que haïr les Japonais ne fera qu’ajouter au malheur. Suivi par le jeune Ernest Gordon et une partie des prisonniers, Dusty fonde dans le camp une petite Église, complétée par une école.

Changements d’attitude

D’abord très méfiants, les Japonais finissent par accorder leur sympathie au projet, lorsqu’ils s’aperçoivent que l’attitude des prisonniers s’améliore. Campbell prend Dusty et Ernest pour des doux dingues… Jusqu’au jour où, après une tentative d’évasion ratée, Campbell doit être exécuté. Ce jour-là se produit quelque chose d’incroyable: Dusty propose aux Japonais (qui acceptent) de mourir à la place de Campbell, à l’image de Jésus-Christ mort à la place des pécheurs. Pendant un temps, on croit toucher là au comble de l’absurde. C’est pourtant ce sacrifice qui va permettre, in extremis, un retournement final tendu et salvateur. Dans la fureur de la guerre et de ses suites, Campbell va découvrir la seule force capable de «mettre fin à toutes les guerres»: l’Évangile pratiqué. Cette force pousse à pardonner et à voir dans l’autre un frère, mettant fin au cycle de la haine et de la destruction par la force de l’espérance pascale.

http://www.croireetvivre.com/?p=journal&sp=article&num_art=248


1. Film historique américano-britannique de David Cunningham sorti en 2001, avec Robert Carlyle, Kiefer Sutherland, Ciarán McMenamin…
2. Psaume 140.3

dimanche 19 avril 2009

L'homme a besoin de Dieu

Les journées mondiales de la jeunesse en septembre 1997 ont eu un tel succès qu'un éditorialiste de renom les a ainsi commentées :« L'homme a besoin de Dieu. Il lui faut sortir de lui-même. Il rêve de ciel, de salut, d'au-delà. C'est ce que n'ont pas compris les princes du matérialisme. La société sans Dieu que l'on nous prépare est une société de fantômes ». 
L'Écriture qualifie d'insensé celui qui dit dans son cœur : « Il n'y a point de Dieu » (Psaume 14. 1). L'apôtre Paul déclare que les hommes sont inexcusables s'ils ne savent pas discerner, dans l'œuvre de la création, la puissance éternelle et la divinité de Dieu (Romains 1. 20). Mais cette connaissance ne suffit pas pour nous donner la paix.
Le grand Dieu créateur est aussi le Dieu sauveur. Il déclare lui-même : « Hors moi, il n'y a pas de Dieu ; de Dieu juste et sauveur, il n'y en a point si ce n'est moi. Tournez-vous vers moi, et soyez sauvés, vous, tous les bouts de la terre » (Ésaïe 45. 21-22).
Cette invitation de Dieu montre tout son amour : « Notre Dieu sauveur... veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité ; car il y a un seul Dieu et un seul médiateur entre Dieu et les hommes, l'homme Christ Jésus qui s'est donné lui-même en rançon pour tous » ( 1 Timothée 2. 4-6).
Source : La Bonne Semence

samedi 18 avril 2009

Dieu ne s'impose pas, il invite


(Jésus dit : ) Voici, je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu'un entend ma voix et qu'il ouvre la porte, j'entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi.
Apocalypse 3. 20
Jésus lui dit : Parce que tu m'as vu, tu as cru ; bienheureux ceux qui n'ont pas vu et qui ont cru.
Jean 20. 29


Dieu ne s'impose pas, il invite

Il y a une phrase que l'on entend parfois et qui nous laisse pensifs : «Ne serait-ce pas plus simple si Dieu se révélait d'un coup à tout le monde ?»
La Bible nous apprend que Dieu peut tout. Il pourrait imposer sa présence. Mais il ne le fait pas aujourd'hui, il veut nous parler d'une autre manière.
Lorsque Jésus a été arrêté par les soldats, des anges auraient pu venir à son secours, mais il ne l'a pas voulu. Après sa résurrection, Jésus aurait pu apparaître triomphalement et confondre ses détracteurs. Il n'en a rien fait. Il ne s'est fait connaître qu'aux siens, sans attirer l'attention.
Ses disciples Pierre et Jean croient en sa résurrection quand ils voient son tombeau vide. Marie Madeleine reconnaît Jésus à sa voix. Deux autres disciples comprennent que Jésus est devant eux lorsqu'il partage le pain.Nous avons tout ce qu'il faut pour croire en Jésus, si nous lisons les évangiles avec l'esprit et le cœur ouverts, prêts à accepter la vérité.
Un miracle spectaculaire de Jésus ne changerait rien pour celui qui ne veut pas croire. Il en a fait un grand nombre alors qu'il était sur la terre, et a souvent rencontré l'incrédulité.
Dieu nous invite à une relation de confiance avec lui. Il ne nous y contraint pas. Il ordonne aux hommes que tous, en tous lieux, ils se repentent.
Croire en Dieu, ce n'est pas seulement croire qu'il existe ni même qu'il intervient dans ce monde. C'est aussi croire en son amour. L'amour ne s'impose pas ; il se reçoit. Dieu nous attend. Il nous appelle.

vendredi 17 avril 2009

Son bon plaisir


" La grâce est le bon plaisir de Dieu qui l'incite à déverser sa faveur sur des être indignes."
A.W. TOZER

jeudi 16 avril 2009

Le second Adam



James I. Packer a dit que si l’on peut arriver à surmonter les objections intellectuelles à l’idée que Jésus est Dieu dans la chair, on pourra accepter sans difficulté toute autre vérité du Nouveau Testament. Il écrit :
" Les chrétiens affirment (…) quelque chose d’absolument stupéfiant : Jésus de Nazareth était devenu le second Adam (1 Co 15.47) (…) ; il revêtait notre humanité sans perdre sa divinité ; Jésus de Nazareth était à la fois véritablement et pleinement Dieu et homme.
(…) “La Parole a été faite chair” (Jn 1.14). Dieu s’est fait homme , le Fils de Dieu s’est fait Juif, le Tout-Puissant est apparu sur la terre comme un bébé sans défense, qui ne savait que dormir dans son berceau, ouvrir de grands yeux, s’agiter et pleurer, et qui avait besoin d’être nourri, changé et entouré d’affection, comme n’importe quel autre enfant. L’enfance du Fils de Dieu fut inscrite dans la réalité et, en tant que telle, ne fut source d’aucune illusion ni d’aucune déception. Plus on y réfléchit, plus tout cela semble stupéfiant. (…) Les problèmes que soulèvent certains points de l’Évangile trouvent généralement leur origine dans l’incrédulité, ou du moins dans le manque de foi, qui accueille l’idée de l’incarnation. Mais une fois admise la réalité de l’incarnation, ces difficultés s’évanouissent."
Citation tiré de "Connaître Dieu"(Mulhouse : Éditions Grâce et Vérité, 2e éd. 1994), 54-55.