Un jour qu’un colporteur biblique offrait une Bible dans une famille, en France, le père l’accepta mais en déchira aussitôt une douzaine de pages et commença à allumer sa pipe avec l’une d’elles. Déçu, le colporteur s’en alla.
Quelques années plus tard, il revint dans cette région et visita de nouveau cette famille. Les parents avaient peu de temps avant, perdu un fils à la guerre et venaient de recevoir les quelques effets personnels du soldat tué.
Parmi ceux-ci, il y avait une Bible. Le colporteur la prit entre ses mains et reconnut celle qu’il avait donnée dans cette maison et dont bien des pages avaient été arrachées. Le jeune homme avait inscrit à l’intérieur : "Méprisée, profanée, mais finalement acceptée. Elle m’a apporté le salut".
Parmi ceux-ci, il y avait une Bible. Le colporteur la prit entre ses mains et reconnut celle qu’il avait donnée dans cette maison et dont bien des pages avaient été arrachées. Le jeune homme avait inscrit à l’intérieur : "Méprisée, profanée, mais finalement acceptée. Elle m’a apporté le salut".
2 commentaires:
N'ayez pas la réaction désinvolte et outrageante du père qui déchira des pages de la Bible sans la regarder (!) : c'est un cadeau unique au monde qu'elle renferme pour tout homme sur cette terre, le pont vers la vie éternelle. Amen !
La dernière phrase "Méprisée, profanée, mais finalement acceptée. Elle m’a apporté le salut" est une phrase qui démontre que la Bible parle toujours même au cœurs des personnes les plus réticentes. Ne négligez pas la puissance actuelle de la Bible.
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