Christ nous a placés dans la liberté en nous affranchissant ; demeurez donc fermes, et ne soyez pas retenus de nouveau sous un joug de servitude.
Galates 5. 1
Si donc le Fils (de Dieu) vous affranchit, vous serez réellement libres.
Jean 8. 36
Captif ou libre ?
L'homme se croit libre mais ne serait-il pas plutôt captif comme l'est un oiseau dans une volière ? Désobéissant à Dieu, il s'est placé sous la domination impitoyable de Satan.
Mais Jésus est venu dans ce monde pour détruire les œuvres du diable, pour proclamer aux captifs la liberté et aux prisonniers l'ouverture de la prison (Esaïe 61. 1). Se convertir, le recevoir comme Sauveur et Seigneur, n'est rien d'autre qu'un changement de maître. C'est appartenir à un Maître doux et humble, infiniment aimant et qui mérite d'être aimé sans partage (Matthieu 11. 28-30).
L'apôtre Paul et Silas, bien qu'emprisonnés à Philippes, en Macédoine, chantaient et priaient (Actes 16. 23-25). Leur foi triomphait de leurs souffrances. Traversées avec leur Maître, toutes les circonstances de leur vie deviennent source de paix et de joie ; c'est cela, la vraie liberté.
Pourtant, le texte biblique du jour nous invite à ne pas nous laisser asservir à nouveau par l'attrait des richesses, du pouvoir, d'une vie hyperactive, du sexe... Autant de pièges que nous tend Satan qui voudrait bien ruiner, non pas notre âme -- il ne le peut plus -- mais notre vie sur la Terre.
Un secret pour échapper : connaître la grâce de Dieu. «Elle nous forme pour que, ayant renoncé à l'impiété et aux convoitises mondaines, nous vivions dans le présent siècle sobrement, justement et pieusement» (Tite 2. 11-12).
1 commentaire:
Jésus ne nous force en rien dans notre vie : il ne modifie pas notre libre arbitre, il nous aide à y voir plus clair dans les erreurs à ne pas faire que d'autres font ce qui les précipite dans le tracas, la détresse, bref dans des états négatifs. Amen !
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