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vendredi 31 décembre 2010

Connaître le message de l'Evangile


Quelqu'un a dit : "Connaître le message de l'Evangile, le salut gratuit accordé à toute l'humanité par la mort de Jésus sur la croix, est bien. Cependant l'Evangile cesse d'être une théorie quand nous laissons Dieu entrer nos cœurs et nous transformer à l'image de Jésus-Christ. L'Evangile, c'est un message révolutionnaire qui change un être humain, une expérience de vie pour tout homme, toute femme qui le veut et qui se reconnait pêcheur et rebelle devant Dieu pour ne pas lui avoir laissé le contrôle de sa vie. Le voulez-vous ?"

jeudi 30 décembre 2010

La prière de la Reine



La reine Victoria d’Angleterre (19ème siècle) était connue pour sa foi authentique. Un jour elle rendit visite à une dame âgée dont la jeune nièce était aussi présente.
Très simplement, la reine se mit à tricoter tout en conversant aimablement avec la vieille dame.
Après le thé, la reine proposa de lire ensemble quelques paroles du chapitre 14 de l’Evangile de Jean. S’adressant à la jeune fille, la souveraine lui demanda :
Je me demande si vous êtes chrétienne ?Oh certainement !A quoi reconnaissez-vous que vous l’êtes ? reprit la reine.Mais Majesté, j’ai été baptisée et confirmée.La reine n’ajouta rien, mais elle proposa de prier ensemble. Elle pria en ces termes :
Seigneur, ouvre les yeux de cette chère jeune fille, montre-lui que sans un complet changement de son cœur, elle ne peut pas être une chrétienne, que les pratiques extérieures ne peuvent rien pour la sauver. Je te demande cela au nom de Jésus notre Sauveur.Plus tard, cette jeune fille en racontant cet incident, ajouta : « J’avais souvent chanté : Que Dieu sauve la reine (l’hymne national anglais). Mais je ne m’attendais pas à entendre la reine demander à Dieu de me sauver, moi ».Sa prière fut exaucée et cette jeune fille donna sa vie à Dieu.
Charles Rick

mercredi 29 décembre 2010

Une communion si riche avec Jésus

Jésus faisait tout le bonheur d'un chrétien anglais nommé Joseph ALLEINE (mort en 1668) aussi écrivait-il à des amis chrétiens : « Ma communion avec Christ est au-dessus de tous les autres biens : Christ est ma vie et ma paix, ma richesse et ma justice ; il est mon espoir et ma force, mon héritage et ma joie. Je prendrai mon plaisir en lui, je me glorifierai en lui à toujours. En lui, je m'estime le plus heureux, le plus riche, bien que par moi-même je ne sois rien ; en lui je puis me vanter sans orgueil et me glorifier sans vanité. Il n'y a pas ici à craindre d'être trop joyeux, et le chrétien ne peut pas trop exalter son bonheur et sa richesse en Christ. »
Il célébrait souvent l'amour du Sauveur, et invitait ainsi en lui-même et chez les autres une sainte obéissance.

mardi 28 décembre 2010

Une corde dans notre misère… (Paul Ettori)

La compassion divine est tout simplement l’amour en action. Jésus est Dieu courant au devant du pécheur perdu. Que de fois dans l’Évangile, au sein de la foule comme au milieu de la fête, le Sauveur ne remarque qu’une personne, et s’arrête pour répondre à son besoin. N’affirme-t-il pas, dans l'Évangile, que lui, le bon berger est prêt, s’il le faut, à abandonner tout le troupeau pour s’en aller chercher la "brebis égarée" ?
La miséricorde de Dieu est bien la "corde" qu’il jette dans la fosse de notre "misère". Cette corde, solide, efficace, est toujours en mouvement. Elle a un nom : Jésus !

lundi 27 décembre 2010

Servir Dieu

« Le Seigneur m’a montré que je pouvais faire toute chose mais il m’a dit qu’en dehors de lui, je ne pouvais rien faire. J’en conclus que tout ce que j’ai pu faire et peux encore faire sans lui n’est rien ! » - (La vie chrétienne normale) -
Watchman Nee, un chrétien chinois du 20éme Siècle

dimanche 26 décembre 2010

Non, merci !


Par un soir d'été, un chrétien distribuait des feuillets évangéliques aux promeneurs qu'il rencontrait. Il en présenta un à un homme déjà âgé, la mise correcte, qui, appuyé sur sa canne, regardait un groupe de paisibles pêcheurs à la ligne.
- Merci, je n'en veux pas, dit l'homme.
Puis, pour atténuer la sécheresse de sa réponse, il ajouta d'un ton léger :
- Je ne sais pas lire. Alors ce sera pour un autre.

Et notre ami continua son chemin, méditant avec chagrin ces paroles. Elles avaient été lancées par pure plaisanterie, une manière ironique de formuler un refus. Peut-être venaient-elles d'un esprit cultivé. Mais, sans le savoir, cet homme venait de dire la vérité : il ne savait pas lire le langage de Dieu.
Car Dieu ne se révèle pas seulement par la nature, les merveilles de la création : il nous a aussi donné un livre. Heureux ceux qui savent lire et s'en nourrissent .
Source : Topchrétien

samedi 25 décembre 2010

Noël



«En réalité, Noël, c’est tous les jours de l’année. C’est là le cadeau inestimable que Dieu nous a fait en Jésus-Christ ».La nativité, David Jeremiah, Éditions ourania, page 135.

vendredi 24 décembre 2010

Chercher celui qui nous aime


Une chrétienne a écrit : ' C'est Dieu qui nous a aimés le premier. Son amour continuel nous pousse à le rechercher. Il nous a crées pour lui-même. Dés le commencement, nous avons été crées pour être à Lui et aimés de Lui. Il a tissé ce secret dans les fibres les plus intimes de notre âme; lorsque nous le cherchons avec tout le désir qu'il a mis en nous, nous finissons par découvrir que c'est Lui qui nous cherche, nous aimant en tout temps, en tout lieu.

jeudi 23 décembre 2010

Ce que n'est pas la foi


«Ne croire que ce qui est possible, ce n'est pas foi, mais simple philosophie.»

Thomas Browne (1605-1682)
Extait de Religio medici
Médecin et écrivain religieux britannique

mercredi 22 décembre 2010

La joie d'Hortense Day

 
Hortense Day a écrit : "Évidemment, il n'y a qu'un temps pour l'épreuve : c'est la vie. Ici-bas, le bonheur doit être l'exception, l'épreuve est la règle. Mais que d'exception Dieu nous accorde et que le temps d'expérience est souvent un temps de félicité ! Ayons du courage, et ne demandons pas à Dieu de changer notre destinée ; désirons seulement de porter joyeusement cette destinée qui nous purifie. La vie, la vie, mon Dieu qu'elle est belle ! Ah ! Plus j'avance, mieux je vois qu'elle est une œuvre d'amour, que le Dieu que nous servons ne nous afflige qu'alors que notre vie intérieure est en danger de périr et qu'Il nous comble de bonheur et de paix dès que le danger est passé. Je n'ai pas souffert une heure de trop ! Et la coupe de la douleur m'a été ôté à la première minute où en toute sincérité, j'ai senti que je plaçais la suprême volonté de Dieu au dessus de toute chose."

mardi 21 décembre 2010

"Vivre la volonté de Dieu"

"Vivre la volonté de Dieu, c’est assumer des choix, pas toujours faciles, mais qui contribuent à la joie de Dieu, et donc à la nôtre. Ceux qui jouent parfois avec les mots en souhaitant non seulement que la volonté de Dieu soit faite ( F A I T E), mais qu’elle soit aussi une fête (F E T E), ont raison.
Dieu souhaite que notre vie soit festive, pleine de passion.. Être enfant de Dieu, c’est savoir qu’il nous a créés, savoir qu’il est notre Sauveur, savoir qu’il est notre guide, savoir qu’il demeure une présence active, mais aussi assumer la confiance qu’il nous fait de voler de nos propres ailes, et finalement de faire nos propres choix, mais qui soient des choix en harmonie avec sa volonté..."

Gabriel Monet.

lundi 20 décembre 2010

Attrait matériel ou spirituel ?


Quelqu'un a écrit : " Quand l'attrait de Dieu et des richesses célestes s'éloignent au profit de choses trop matérielles, l'homme devient égoiste à un tel point qu'aider son prochain devient facultatif. Sa seule pensée devient de devenir plus riche et d'en sortir mieux que les autres. Mais du coup, il oublie une chose importante : quand on meurt, son compte en banque reste sur terre et son âme est perdu à jamais."

dimanche 19 décembre 2010

L'intervalle de la vie


La naissance et la mort, deux instants qu'on ne choisit pas. Et dans l'intervalle, on s'imagine avoir son mot à dire. 

Romain Guilleaumes, écrivain français actuel

vendredi 17 décembre 2010

Où habite votre maître ?







Lors d'une perquisition dans un couvent de jésuites pensant la Commune, Raoul Rigault (25 ans, communard, chef de la police), le procureur de la Commune, interroge un jésuite :
" - Profession ?
- Serviteur de Dieu, répond le jésuite.
- Où habite votre maître ? poursuit Rigault.
- Partout.
Rigault se tourne vers son secrétaire :
- Ecrivez : Ducoudroy, se disant serviteur d'un nommé Dieu, en état de vagabondage."

Comment réagissez-vous face à l'attitude de Raoul Rigault ?
Auteur inconnu

Un choix important

"Connaître Dieu donne un sens à notre vie, lui obéir donne un but à notre vie."
Auteur inconnu

jeudi 16 décembre 2010

L'univers selon la science


"La science prétend aujourd’hui que l’univers est vide et muet. Je ne crois pas que l’univers soit muet, je crois plutôt que la science est dure d’oreille."

Hubert Reeves, astrophysicien canadien actuel

mercredi 15 décembre 2010

Nos âmes solitaires


L'âme ne le réalise pratiquement jamais, mais que l'on soit croyant ou non, la solitude est vraiment un mal du pays pour Dieu.
Hubert van Zeller
 
The soul hardly ever realizes it, but whether he is a believer or not, his loneliness is really a homesickness for God.
Hubert van Zeller

mardi 14 décembre 2010

Entrer dans un dialogue avec Dieu

Eugène Peterson écrit ceci : "Lire est la première chose à faire, simplement lire la Bible. Alors que nous lisons nous entrons dans un monde de mots nouveaux et nous nous retrouvons dans un dialogue où Dieu a le premier et le dernier mot. Nous réalisons très vite que nous sommes inclus dans ce dialogue. Nous ne nous y attendions pas. Mais c’est précisément ce que les générations les unes après les autres découvrent : la Bible n’est pas seulement écrite par rapport à nous, mais pour nous. Dans ses pages nous devenons les participants à un dialogue dans lequel Dieu par ses paroles nous modèle et nous bénit, nous enseigne et nous guide, nous pardonne et nous sauve".

lundi 13 décembre 2010

La peur dans le coeur


"Dieu peut ne pas nous libérer de notre peur, mais dans notre peur, il apporte le réconfort."

Christophe Blumhardt

dimanche 12 décembre 2010

Unir science et foi

Je suis devenu croyant à ma façon, par le microscope et par la contemplation de la nature, et mon désir est de contribuer de mon mieux à unir la science et la religion.
Jean-Marc Schleich, chirurgien

samedi 11 décembre 2010

Compte tes jours

Jehan Alain est né en 1911, à Saint Germain en Laye, près de Paris. Il devint vite évident qu'il avait un talent musical extraordinaire, et dès l'âge de 13 ans, il commença à assister son père en tant qu'organiste de leur église.

Plus tard, il remporta le premier prix au conservatoire national de Paris où il étudia avec plusieurs des plus grands compositeurs et artistes de ce monde. Lorsqu'il obtint son diplôme, il décrocha un poste prestigieux en tant qu'organiste et continua à composer. Mais la seconde guerre mondiale vint interrompre sa carrière. On le sollicita pour le service militaire et il mourut en plein combat le 20 juin 1940, alors qu'il défendait la ville de Saumur. Il avait 29 ans.

Il aurait facilement pu être l'un de ces milliers d'hommes, qui sont morts au combat et qui ont été oubliés. Cependant, sa réputation continue de croître encore de nos jours. Pourquoi ? En partie, parce qu'il n'a pas gaspillé ses capacités ou perdu le temps qui lui avait été donné, et ce, en achevant plus de 120 compositions.

Alain était motivé par une croyance ferme. Comme il l'écrivit dans son journal intime, le jour où il fut tué : "je crois en Christ et en Dieu". Il avait également compris l'importance de la foi. Il écrivit une fois sur les limites de la raison et les moments où nous n'avons pas "les mots pour implorer les grâces de Dieu". Dans de tels moments, nous devons continuer à rechercher Dieu "sans cesse et avec une foi forte". Il savait que "seule la foi pouvait aller plus loin".

La vie d'Alain nous rappelle tous que notre vie est courte. Dans le psaume 90, Moïse demanda à Dieu de l'aide afin que nous puissions "bien compter nos jours". Il demandait à Dieu de nous aider à profiter de chaque occasion et à investir nos vies dans des choses qui en valent vraiment la peine.

Aujourd'hui, assurez-vous que vous comptez bien vos jours. Passez votre temps à poursuivre des choses qui plaisent à Dieu. Ne laissez rien inachevé.

Source : http://www.topchretien.com/topmessages/view/5982/compte-tes-jours.html

vendredi 10 décembre 2010

Les deux aspects du péché

« Le péché est comme une montagne qui se présente sous deux aspects différents, selon qu'on la voit avant d'y être arrivé, ou après .»
Samuel Butler, écrivain anglais (1835-1902) - Carnets

jeudi 9 décembre 2010

Une question intéressante à se poser


Selon
Romain Guilleaumes, un écrivain français actuel, "L'idée de Dieu n'a pas encore péri sous les impitoyables coups de butoir de l'intelligence, de l'analyse, de la raison, de la critique et de la science. C'est un signe ! Oui, mais un signe de son existence ou de la constance du désespoir humain ?". 
Et toi, tu en penses quoi ?

mercredi 8 décembre 2010

Un cadeau divin

"Le pardon de Dieu n’est jamais une récompense, mais toujours un cadeau".
Auteur anonyme

mardi 7 décembre 2010

La satisfaction

On ne trouve pas le contentement lorsqu'on a tout mais lorsqu'on se satisfait de tout ce que l'on a.
Anonyme

lundi 6 décembre 2010

De quoi demain sera-t-il fait ?


"Pourquoi veux-tu t'inquiéter au delà d'aujourd'hui et prendre sur toi le mal de deux jours ? Contente-toi de celui que ce jour t'impose, demain t'apportera autre chose."
Martin Luther

dimanche 5 décembre 2010

Grâce incompréhensible


Si, étant ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, ayant été réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie !
Romains 5. 10


Grâce incompréhensible

Le pasteur Son vivait à Soon-chun, en Corée, avec sa famille. En 1948, lors d'une émeute dans cette ville, des policiers et des hommes influents furent fusillés, mais aussi des chrétiens. Les deux fils de Son furent arrêtés. Alors que l'aîné allait être exécuté, le plus jeune s'offrit pour mourir à sa place. « Tuez-le aussi », hurla le chef du commando. C'est ainsi que les deux jeunes chrétiens tombèrent sous les balles. L'ordre fut néanmoins rétabli à Soon-Chun. C'était désormais au tour de ceux qui avaient participé au soulèvement d'être pourchassés et arrêtés. Parmi eux se trouvait un jeune homme nommé Chaisun qui avait pris part à l'exécution des fils du pasteur. Cela lui valut d'être condamné à la peine capitale.
Quand le pasteur eut connaissance du verdict, il envoya sa fille auprès de l'officier responsable de l'exécution avec ces mots : « Mon père vous supplie instamment de ne pas faire mourir ni de battre le jeune qui a tué mes frères. Et il vous demande la permission de l'adopter comme son fils ».
Son désir fut exaucé. Ainsi, l'assassin Chaisun fut adopté par le père de ses victimes et intégré dans leur famille. C'était un cadeau inespéré pour ce criminel, un pardon inouï.
Ce même cadeau, Dieu l'offre à tout être humain. Nous sommes co-responsables de la mort de son Fils Jésus Christ, car c'est à cause de nous qu'il a donné sa vie sur une croix. Mais voilà que Dieu veut nous pardonner et faire de nous ses enfants. Qui pourrait refuser une telle offre ?
Source : La Bonne Semence

samedi 4 décembre 2010

Dieu et l'homme


Tout homme est un livre où Dieu lui-même écrit.
Victor Hugo
Extrait de Les Contemplations

vendredi 3 décembre 2010

Foi et prière

La foi dans un Dieu qui écoute la prière rendra le chrétien  amoureux de la prière. 
Andrew Murray

Faith in a prayer-hearing God will make a prayer-loving Christian. 
Andrew Murray

jeudi 2 décembre 2010

Méthode divine

“Dieu ne dépose pas un fardeau sur notre dos pour nous briser la nuque, mais pour nous faire mettre à genoux”(Auteur inconnu)

mercredi 1 décembre 2010

"POURQUOI BENIR DIEU ?"


« C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités » (Psaume 103,verset 3).
Le psalmiste s’adresse à son âme, c’est-à-dire à lui-même. Nous avons besoin d’exhorter, d’être exhortés et de nous exhorter nous-mêmes. (cf. Psaume 103)
Nous devons bénir Dieu – dire du bien de lui – pour de multiples raisons, entre autres, le pardon de nos péchés.
Dieu les pardonne tous. Quand nous venons à Jésus crucifié et ressuscité, son sang nous purifie de tout péché. Il n’en est aucun qui puisse échapper à la victoire du calvaire. Ou Dieu pardonne, ou il ne pardonne pas. Ne permettons à personne de jeter le doute dans notre esprit. Si nous abandonnons le terrain de la foi, nous deviendrons des jouets entre les mains de l’adversaire. Ayons la foi dans ce que Dieu déclare, afin de sauver notre âme.
La Bible dit : « Si tu gardais le souvenir des iniquités, ô Eternel, qui pourrait subsister ? » La vie chrétienne n’est pas une vie sans difficultés, mais la certitude permanente du pardon de nos péchés nous communique une force et une paix invincibles.

Bénissons Dieu !

Pasteur Roger COPIN

mardi 30 novembre 2010

Victoire sur la mort

«L'homme ne pouvant vaincre la mort s'est avisé de n'y plus penser» (Pascal). Cela le conduit à diverses fuites : évasion dans le travail, le sport, les jeux vidéo, les voyages, ou dans mille autres directions. Un jour, la mort survient quand même, et pour l'homme qui n'avait pas été créé pour mourir, elle est une véritable tragédie dont la pensée révolte et terrifie. Mais «n'y plus penser» n'est évidemment pas une solution. Fermer les yeux devant l'accident inévitable n'empêche pas celui-ci de se produire. La sagesse élémentaire invite les humains à accepter la mort comme un événement incontournable, et à mener leur vie en connaissance de cause. Pour nous, chrétiens, quelle sécurité de savoir que la mort a été vaincue par Jésus Christ ressuscité, garantie de notre propre résurrection ! La mort nous introduit dans la présence de Christ, dans l'attente de la résurrection de notre corps.Les croyants auront finalement la réponse à tous leurs «pourquoi». N'est-ce pas une pensée consolante de savoir qu'un jour, au-delà de leurs perplexités, ils comprendront pleinement les voies de Dieu ? Ils seront alors remplis de joie et de louange en découvrant tout ce qu'Il a accompli dans leur vie. Il n'aura rien oublié de ce qui a été fait avec le secours de sa grâce.
Il vaut la peine de vivre aujourd'hui pour Lui.
Source : La Bonne Semence

lundi 29 novembre 2010

Prier en journée

Une journée vécue dans la prière n’est pas nécessairement une journée facile, mais une journée bénie. (www.topchretien.com)

dimanche 28 novembre 2010

Dieu est-il indifférent ?

" Dieu n'est pas spectateur. Le seul Dieu est sans cesse impliqué dans le drame miraculeux et contradictoire de la création."

David Herbert Lawrence, écrivain anglais du 20ème Siécle

samedi 27 novembre 2010

Connexion céleste

L'adoration est la communion formelle entre Dieu et son peuple. Dieu parle à l'homme et l'homme à Dieu.
Augustus H. Strong

vendredi 26 novembre 2010

James IRWIN parle de Jésus

Astronaute américain (1930-1991), l'un des 12 hommes qui ont marché sur la lune.

"La plus grande chose dans l'histoire de l'humanité, ce n'est pas l'homme qui a marché sur la lune, mais c'est Dieu qui a marché sur la terre en la personne de Jésus-Christ."
"Ce qui meurt en dernier en nous, c'est l'amour-propre."
Au sujet de James Irwin cité ci-dessus, il faut noter que "cet exploit scientifique changea considérablement la vie spirituelle de ce voyageur de l'espace. Devant un auditoire parisien très attentif à ses propos [le jeudi 17 octobre 85], le colonel Irwin avoua : J'ai senti que j'étais plus proche de Dieu après avoir effectué ce vol.. Lorsque l'on sait que James Irwin est chrétien, il n'y a rien d'étonnant à ce qu'il rende témoignage de sa foi en Jésus-Christ aux hommes de la Terre en multipliant ses conférences [...] Le scientifique avoua avoir laissé sur la lune une Bible avec l'automobile lunaire. Longuement applaudi par l'assistance pour ce geste symbolique, James Irwin dédicaça son livre paru aux éditions EBV : James Irwin, Plus que de simples témoins" (BIA, nov. 1985).

jeudi 25 novembre 2010

Résurrection de Jésus : une réalité historique


Selon l'approche historique, la résurrection est un évènement qui a eu lieu dans une dimension temps-espace définie. Wilbur Smith, célèbre écrivain et professeur, remarque (Smith, Wilbur M. Therefore Stand: Christian Apologetics. Grand Rapids: Baker Book House, 1965):
"La signification de la résurrection est une question théologique, mais la réalité de la résurrection est une question historique; la nature du corps ressuscité peut être un mystère, mais la disparition du corps est une réalité qui doit être déterminée par des preuves historiques. La situation géographique du lieu est connue, le propriétaire de la tombe vivait durant la première moitié du premier siècle; la tombe fut taillée dans un rocher provenant d'un coteau, près de Jérusalem, un lieu précis, et n'était fait de gaze mythologique, ni de nuage. Les gardes postés devant la tombe n'étaient pas des êtres imaginaires du mont Olympe; le Sanhédrin était un groupe d'homme qui se réunissait fréquemment à Jérusalem. Comme de nombreux écrits nous le disent, Jésus était une personne vivante, un homme parmi les hommes entre autre, et les disciples qui allèrent prêcher le Christ crucifié étaient des hommes ordinaires, qui mangeaient, buvaient, dormaient, souffraient, travaillaient, et sont morts. En quoi ceci est 'doctrinal'? C'est un sujet historique" (page 386).
"Mais disons simplement que nous en savons plus sur les circonstances de la mort de Jésus, à Jérusalem et dans ses alentours, que celles de n'importe quelle autre personne dans le monde antique" (page 360).

mercredi 24 novembre 2010

Dans ma vie, comment puis-je connaître la volonté de Dieu?

Question

Dans ma vie, comment puis-je connaître la volonté de Dieu?

Réponse
Le grand homme de foi, George Muller, raconte comment il s’assurait de la volonté de Dieu.
Voici comment :
1 « Pour une question donnée, je cherche d’abord à mettre mon cœur dans une disposition telle que je n’ai plus de volonté personnelle.
2 Je ne laisse pas le résultat à un sentiment ou à une simple impression. Car si je faisais ainsi, je risquerais de me faire de grandes illusions.
3 Je cherche la volonté de l’Esprit de Dieu dans la Parole de Dieu. L’Esprit et la Parole doivent être conjugués. Car si j’écoutais seulement l’Esprit sans la Parole, je me dirigerais
droit vers de grandes illusions. Si le Saint Esprit nous garde complètement, Il va le faire selon les Ecritures.
4 Je ne tiens pas compte des circonstances providentielles.
5 Dans mes prières, je demande à Dieu de me révéler personnellement Sa volonté.
6 Ainsi, c’est en priant Dieu, en étudiant Sa Parole et après réflexion que je prends une décision avisée au mieux de mes capacités et de mes connaissances. Si alors mon esprit est en paix et continue à l’être, je mets en action ce que j’ai décidé. »
Dans Proverbes 3 :5-6, nous lisons : « Confie-toi en l’Eternel de tout ton cœur, et ne t’appuie pas sur ta sagesse ; reconnais-le dans toutes tes voies, et il aplanira tes sentiers ».

mardi 23 novembre 2010

Martin Luther et la grâce de Dieu

Comment l'homme sera-t-il juste devant Dieu ? Job 25. 4 On est justifié gratuitement par sa grâce, au moyen de la rédemption qui est dans le Christ Jésus. Romains 3. 24
Martin Luther et sa découverte
Nous sommes à Wittenberg en l'an 1509. Un soir, très tard dans la nuit, la lumière brillait encore dans une cellule monacale du couvent. Le jeune frère Martin préparait une série de sermons sur les Psaumes.
Il réfléchissait au premier verset du Psaume 31 : « En toi, Eternel, j'ai placé ma confiance... délivre-moi dans ta justice. »
Comment Dieu pourrait-il le délivrer dans sa justice ? Luther savait bien qu'il n'avait pas réglé ses comptes avec le Dieu vivant. Même s'il n'avait pas mené une vie immorale, il éprouvait « un sentiment de culpabilité inexplicable ».
Comment dans ces conditions un homme pourrait-il être juste devant Dieu ? Luther se mit à lire l'épître de Paul aux Romains.
Et, tout à coup, comme un éclair, la lumière jaillit. Si la justice de Dieu s'obtient par la grâce, alors elle ne se fonde pas sur nos œuvres, toujours insuffisantes, mais sur l'œuvre de Christ, parfaitement suffisante.
C'est par la grâce qu'elle est mise à notre compte et c'est par la foi que nous nous l'approprions : Lui nous a aimés et a envoyé son Fils pour expier nos péchés (1 Jean 4. 10).
A ceux qui demandaient à Jésus quelles étaient les œuvres qu'ils devaient accomplir pour plaire à Dieu, il répondait : « L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé » (Jean 6. 28, 29).
Croire en Jésus, c'est lui faire confiance et lui obéir, le laisser diriger ma vie, mes pensées, ma volonté, prendre possession de mon cœur.

lundi 22 novembre 2010

Une histoire de foi


« La foi ne peut opérer dans un vide intellectuel. Dieu ne demande jamais une foi aveugle; il n'y a que le diable pour réclamer une telle foi. »
« Le Dieu de la vérité biblique est aussi le Dieu des vérités historique et archéologique. L'un ne contredit jamais l'autre »
Floyd C. McElveen

dimanche 21 novembre 2010

Une pensée sur l'Evangile


" Il n’y a aucun art de l’orgueil humain qui puisse effacer les traces de Dieu sur la terre."

"Jésus est venu dans le monde pour parler aux hommes de la part de Dieu. Il est maintenant au ciel pour parler à Dieu en faveur des siens."

"Le même soleil durcit l’argile et fond la cire. De la même manière, le message de l’Évangile endurcit le cœur des orgueilleux et fait fondre le cœur des humbles."
Auteur inconnu

samedi 20 novembre 2010

Tu es aimé tel que tu es !


L'amour de Dieu signifie : je t'estime ! 
L'amour de Dieu signifie : je t'honore ! 
L'amour de Dieu signifie : je suis avec toi ! 
L'amour de Dieu signifie : je pense à toi ! 
L'amour de Dieu signifie : je parle avec toi ! 
L'amour de Dieu signifie : je t'écoute ! 
Tu es aimé - telle que tu es ! 
Tu es aimé - tel que tu es !
Auteur inconnu

vendredi 19 novembre 2010

Comment mourut Tolstoї


Léon Tolstoï, le célèbre écrivain russe, mourant, demanda qu'on lui fasse la lecture. On apporta des journaux :
"Non, pas ça !"
On prit la Bible et on lui lut le sermon sur la montagne. La lecture terminée, il la fit recommencer, puis il s'écria :
"Jésus ! Jésus ! Toi seul demeures, toi seul es debout, toi seul es fort, Jésus, soutiens ma faiblesse par ta force !"
Puis, il ferma les yeux, ses lèvres remuèrent, il priait...

http://www.topchretien.com/topmessages/view/2155/comment-mourut-tolsto1111.html

jeudi 18 novembre 2010

Choix matinal


Celui qui fuit Dieu le matin le trouvera difficilement le reste de la journée. 
John Bunyan

mercredi 17 novembre 2010

Dans la tempête


Dieu est notre refuge et notre force, un secours dans les détresses, toujours facile à trouver. C'est pourquoi nous ne craindrons point, quand la terre serait transportée de sa place, et que les montagnes seraient remuées et jetées au cœur des mers. Tenez-vous tranquilles, et sachez que je suis Dieu.
Psaume 46. 1, 2, 10
Dans la tempête
Dibaj avait passé près de neuf ans dans une prison d'Iran quand il fut libéré en 1994, ... pour être assassiné six mois plus tard.
Voici quelques-unes de ses paroles :
« Je ne craindrais pas d'avoir le monde entier contre moi pourvu que je sache que le Dieu tout-puissant est avec moi, et que j'aie l'approbation du Dieu de gloire. »
« Mes accusateurs me disent de « revenir ». Mais à qui puis-je revenir en quittant les bras de mon Dieu ? Est-il juste d'accepter ce que le monde m'offre au lieu d'obéir à Dieu ? J'ai marché avec le Dieu des miracles pendant 45 ans. Sa bonté envers moi est comme une ombre qui me protège et je lui dois tout. »
« Je remercie mon Dieu qui m'a jugé digne d'être ici en prison depuis plus de huit ans à cause de ma foi. Je remercie mes frères et mes sœurs chrétiens qui m'ont soutenu par leurs prières afin que la victoire appartienne au Seigneur. »
« Plus la nuit est noire, plus l'aube est proche. Plus les nuages sont sombres, plus les pluies qui donnent la vie sont abondantes. Plus le chemin est étroit, plus le secours de Dieu est sans limites. Bien que les vagues de la mer soient de plus en plus hautes, cela ne peut troubler le calme des profondeurs. Bien que la tempête soit violente, elle ne peut déplacer les montagnes. Celui qui vit à l'ombre du Tout-Puissant ne sera pas ébranlé. »
Source : la Bonne Semence 2001

mardi 16 novembre 2010

J.P. Morgan parle du salut de Dieu

La grâce de Dieu qui apporte le salut est apparu à tous les hommes. Tite 2. 11 Dieu ne fait pas de considération de personnes. Actes 10. 34
Un salut pour tous
Quand J.P. Morgan, financier américain gérant une immense fortune, mourut, on découvrit dans son testament un article concernant “une affaire” qu'il considérait comme capitale.
Voici ce qu'il en disait :«Je remets mon âme entre les mains de mon Sauveur, dans la pleine assurance que, m'ayant sauvé et lavé de mes péchés dans son sang précieux, il me présentera sans tache devant le trône de son Père. Je conjure mes enfants de maintenir et de défendre, en toute occasion, la doctrine de l'entière expiation des péchés par le sang de Jésus Christ qui s'est offert une fois pour toutes.»
Pour ce qui concernait le salut de son âme, cet homme richissime était aussi dépendant de la grâce de Dieu qu'un pauvre mendiant ou que le brigand sur la croix (Luc 23. 43). Ce salut est offert à tous les hommes sans aucune distinction sociale, ethnique ou autre. Si nous pouvons parfois constater erreurs et failles dans l'accomplissement de la justice humaine, il n'en est rien de la justice divine.
La Bible déclare : “Il n'y a pas de différence, car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu” (Romains 3. 22, 23).
Mais si la Bible condamne tous les humains, elle nous présente les ressources divines mises à la disposition de chacun.
Jésus est révélé comme Sauveur, car sa mort sur la croix a entièrement satisfait le Dieu saint.
Dieu peut, de ce fait, pardonner à des personnes coupables comme vous et moi. Aucun humain n'est trop mauvais pour recevoir le salut de Dieu par Jésus Christ.
Source : La Bonne Semence

lundi 15 novembre 2010

« Abraham Lincoln, notre libérateur »


En Christ, parce qu’il s’est offert en sacrifice, nous avons été délivrés et nous avons reçu le pardon de nos fautes.
 
Éphésiens 1.7

Un soir, le pasteur allemand Wilhelm Busch fut invité à une conférence à Harlem, le quartier noir de New York. En sortant, il remarqua la statue d’un blanc. S’adressant à un jeune Noir, il lui demanda : « Qui est cet homme ? » Le jeune homme s’arrête devant la statue, la contemple et dit, comme en prière, sur un ton solennel : « C’est Abraham Lincoln, notre libérateur ». Les mains croisées sur la poitrine, il reste là, répétant toujours à nouveau : « Abraham Lincoln, notre libérateur ».

Busch se dit alors : « Que c’est étrange ! Quelqu’un a lutté un jour dans une bataille. Ce jeune homme n’y était pas. Il n’était même pas encore né. Mais s’il peut aujourd’hui se tenir là en homme libre, le visage levé, il le doit à ce combat et à cet homme. »

Le pasteur s’éloigne lentement. Le jeune n’a pas bougé… Le pasteur poursuit sa réflexion : « Une autre pensée s’impose à moi : C’est ainsi que nous, chrétiens, nous nous tenons devant la croix. Nous n’y étions pas lorsque le Fils de Dieu a mené son combat solitaire à Golgotha. Nous n’étions pas encore nés. Nous n’avons pas participé à sa bataille. Cependant, nous pouvons à présent nous tenir la tête haute devant le Père, vivre délivrés de l’esclavage du monde, de Satan et de la mort, grâce à Jésus, notre Libérateur.

Et, comme ce jeune Noir devant la statue de Lincoln, je me tenais en esprit devant la croix de Golgotha : Jésus, notre Libérateur ! »1

Alfred Kuen

1 D’après W. Busch, Leben ohne Alltag .

dimanche 14 novembre 2010

Où était Dieu à ce moment là ?

L’article suivant est librement adapté d’un texte de Greg Koukl, sur le site Stand to Reason : What Should God Do? 




Lorsque surviennent des événements tragiques, certaines personnes demandent aux chrétiens : “Où était Dieu à ce moment là ?”. “Qu’auriez-vous attendu de Lui au juste ?” peut-on répondre. “Si vous aviez été à sa place, qu’auriez-vous fait ? Si vous aviez pu utiliser ses ’super-pouvoirs’, auriez-vous condamné les méchants ou auriez-vous plutôt empêché le malheur d’arriver ?” Quelque soit la réponse apportée à ces questions, il est possible de poursuivre la réflexion ainsi… L’une des raisons qui poussent Dieu à ne pas détruire le mal immédiatement est que cette alternative serait pire que le mal. On le démontre facilement en posant cette simple question : Si Dieu entend votre prière et décide d’éliminer le mal et de détruire tous les méchants à minuit ce soir, où serez-vous à minuit-une ? C’est une réalité embarrassante que de constater que les actes mauvais ne peuvent être dissociés de ceux qui les commettent. Chacun est coupable d’en avoir commis, et chacun en est conscient. Voilà le problème. Toute décision de justice que Dieu prendrait aujourd’hui nous condamnerait tous, car quand Dieu élimine le mal, il le fait complètement. C. S. Lewis fit l’observation suivante : “je me demande si les gens qui pressent Dieu d’intervenir directement et ouvertement dans notre monde réalisent ce à quoi ressemblera son intervention quand elle aura effectivement lieu. Quand l’acteur montera en scène la pièce se terminera.” Non, Dieu n’a pas encore banni le mal de son royaume. La Bible décrit un temps où il essuiera toute larme et où il rétablira tout ce que le mal a tordu dans ce monde. Les hommes ne subiront plus les ravages de la méchanceté et ne seront plus les victimes d’un mal incontrôlable. Personne ne posera plus jamais la question : “Où était Dieu à ce moment là ?” En attendant, Dieu a choisi une autre stratégie, il a un meilleur plan. Un plan qui prévoit de s’occuper du mal en temps voulu, mais qui laisse actuellement place … à la grâce. http://cms.unpoissondansle.net/?p=631

samedi 13 novembre 2010

Un chemin divin pour freiner le mal


Le pardon est le chemin que Dieu trace pour éviter que le mal ne s'étende. En pardonnant, nous cassons le progrès du mal, la spirale de la vengeance
Extrait du calendrier chrétien La Bonne Semence 2002

vendredi 12 novembre 2010

C'est ainsi que l'on échappe à la condamnation...


DIEU JUGERA LE MONDE


"Car l'Éternel vient pour juger la terre ; il jugera le monde avec justice et les peuples avec équité"
Psaume 98/9

Un homme disait : "L'être humain est une créature merveilleuse, car il y a en lui un potentiel pour faire des choses remarquables. Dommage qu'il fasse plutôt ce qui est mal !". Mais quelqu'un dira : qu'est-ce qui est mal ?

Celui qui donne la bonne réponse à cette question c'est Dieu lui-même et il le fait : "Or, les œuvres de la chair sont évidentes ; ce sont la débauche, l'impureté, le dérèglement, l'idolâtrie, la magie, les rivalités, les querelles etc. et les choses semblables. Je vous dis d'avance comme je l'ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n'hériteront point le royaume de Dieu" (Galates 5/19-20)

Toute ces choses avilissent non seulement l'être humain mais aussi son entourage, oui, ces choses doivent être jugées. Notre société permissive, n'est pas capable de le faire. Mieux que cela, elle les approuve et dans certains cas elle les encourage.

Ecoutez cette parole : "Car il (Dieu) vient pour juger la terre; il jugera le monde avec justice et les peuples avec équité" (Psaume 98/9). Dieu a déjà jugé et il le dit : "Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur" (Romains 6/23). Mais Dieu qui aime ses créatures, a décidé de sauver les pécheurs et il le prouve : "Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous" (Romains 5/8). En effet, par sa mort sur la croix, Christ a expié nos péchés, il est le Sauveur du monde. C'est pour cela que l'écriture dit "Dieu use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance" (2 Pierre 3/9).

Voilà le chemin sur lequel chaque pécheur doit s'engager, se repentir de ses péchés, accepter le pardon de Dieu et sa grâce.
C'est ainsi que l'on échappe à la condamnation et que Dieu nous accorde la vie éternelle.

Charles Gisquet
Trésor quotidien samedi 22 septembre 2007