Quelqu'un a dit : "Connaître le message de l'Evangile, le salut gratuit accordé à toute l'humanité par la mort de Jésus sur la croix, est bien. Cependant l'Evangile cesse d'être une théorie quand nous laissons Dieu entrer nos cœurs et nous transformer à l'image de Jésus-Christ. L'Evangile, c'est un message révolutionnaire qui change un être humain, une expérience de vie pour tout homme, toute femme qui le veut et qui se reconnait pêcheur et rebelle devant Dieu pour ne pas lui avoir laissé le contrôle de sa vie. Le voulez-vous ?"
Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
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- Ce site a pour but de vous faire découvrir qui est Dieu, Jésus, le christianisme, la foi, la Bible, et bien d'autres sujets encore.
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vendredi 31 décembre 2010
jeudi 30 décembre 2010
La prière de la Reine
La reine Victoria d’Angleterre (19ème siècle) était connue pour sa foi authentique. Un jour elle rendit visite à une dame âgée dont la jeune nièce était aussi présente.
Très simplement, la reine se mit à tricoter tout en conversant aimablement avec la vieille dame.
Après le thé, la reine proposa de lire ensemble quelques paroles du chapitre 14 de l’Evangile de Jean. S’adressant à la jeune fille, la souveraine lui demanda :
Je me demande si vous êtes chrétienne ?Oh certainement !A quoi reconnaissez-vous que vous l’êtes ? reprit la reine.Mais Majesté, j’ai été baptisée et confirmée.La reine n’ajouta rien, mais elle proposa de prier ensemble. Elle pria en ces termes :
Seigneur, ouvre les yeux de cette chère jeune fille, montre-lui que sans un complet changement de son cœur, elle ne peut pas être une chrétienne, que les pratiques extérieures ne peuvent rien pour la sauver. Je te demande cela au nom de Jésus notre Sauveur.Plus tard, cette jeune fille en racontant cet incident, ajouta : « J’avais souvent chanté : Que Dieu sauve la reine (l’hymne national anglais). Mais je ne m’attendais pas à entendre la reine demander à Dieu de me sauver, moi ».Sa prière fut exaucée et cette jeune fille donna sa vie à Dieu.
Très simplement, la reine se mit à tricoter tout en conversant aimablement avec la vieille dame.
Après le thé, la reine proposa de lire ensemble quelques paroles du chapitre 14 de l’Evangile de Jean. S’adressant à la jeune fille, la souveraine lui demanda :
Je me demande si vous êtes chrétienne ?Oh certainement !A quoi reconnaissez-vous que vous l’êtes ? reprit la reine.Mais Majesté, j’ai été baptisée et confirmée.La reine n’ajouta rien, mais elle proposa de prier ensemble. Elle pria en ces termes :
Seigneur, ouvre les yeux de cette chère jeune fille, montre-lui que sans un complet changement de son cœur, elle ne peut pas être une chrétienne, que les pratiques extérieures ne peuvent rien pour la sauver. Je te demande cela au nom de Jésus notre Sauveur.Plus tard, cette jeune fille en racontant cet incident, ajouta : « J’avais souvent chanté : Que Dieu sauve la reine (l’hymne national anglais). Mais je ne m’attendais pas à entendre la reine demander à Dieu de me sauver, moi ».Sa prière fut exaucée et cette jeune fille donna sa vie à Dieu.
Charles Rick
mercredi 29 décembre 2010
Une communion si riche avec Jésus
Il célébrait souvent l'amour du Sauveur, et invitait ainsi en lui-même et chez les autres une sainte obéissance.
mardi 28 décembre 2010
Une corde dans notre misère… (Paul Ettori)
La compassion divine est tout simplement
l’amour en action. Jésus est Dieu courant au devant du pécheur perdu.
Que de fois dans l’Évangile, au sein de la foule comme au milieu de la
fête, le Sauveur ne remarque qu’une personne, et s’arrête pour répondre à
son besoin. N’affirme-t-il pas, dans l'Évangile, que lui, le bon berger
est prêt, s’il le faut, à abandonner tout le troupeau pour s’en aller
chercher la "brebis égarée" ?
La miséricorde de Dieu est bien la "corde" qu’il jette dans la fosse de notre "misère". Cette corde, solide, efficace, est toujours en mouvement. Elle a un nom : Jésus !
La miséricorde de Dieu est bien la "corde" qu’il jette dans la fosse de notre "misère". Cette corde, solide, efficace, est toujours en mouvement. Elle a un nom : Jésus !
lundi 27 décembre 2010
Servir Dieu
dimanche 26 décembre 2010
Non, merci !
Par un soir d'été, un chrétien distribuait des feuillets évangéliques aux promeneurs qu'il rencontrait. Il en présenta un à un homme déjà âgé, la mise correcte, qui, appuyé sur sa canne, regardait un groupe de paisibles pêcheurs à la ligne.
- Merci, je n'en veux pas, dit l'homme.
Puis, pour atténuer la sécheresse de sa réponse, il ajouta d'un ton léger :
- Je ne sais pas lire. Alors ce sera pour un autre.
Et notre ami continua son chemin, méditant avec chagrin ces paroles. Elles avaient été lancées par pure plaisanterie, une manière ironique de formuler un refus. Peut-être venaient-elles d'un esprit cultivé. Mais, sans le savoir, cet homme venait de dire la vérité : il ne savait pas lire le langage de Dieu.
Car Dieu ne se révèle pas seulement par la nature, les merveilles de la création : il nous a aussi donné un livre. Heureux ceux qui savent lire et s'en nourrissent .
Source : Topchrétien
samedi 25 décembre 2010
Noël
vendredi 24 décembre 2010
Chercher celui qui nous aime
Une chrétienne a écrit : ' C'est Dieu qui nous a aimés le premier. Son amour continuel nous pousse à le rechercher. Il nous a crées pour lui-même. Dés le commencement, nous avons été crées pour être à Lui et aimés de Lui. Il a tissé ce secret dans les fibres les plus intimes de notre âme; lorsque nous le cherchons avec tout le désir qu'il a mis en nous, nous finissons par découvrir que c'est Lui qui nous cherche, nous aimant en tout temps, en tout lieu.
jeudi 23 décembre 2010
Ce que n'est pas la foi
mercredi 22 décembre 2010
La joie d'Hortense Day
Hortense Day a écrit : "Évidemment, il n'y a qu'un temps pour l'épreuve : c'est la vie. Ici-bas, le bonheur doit être l'exception, l'épreuve est la règle. Mais que d'exception Dieu nous accorde et que le temps d'expérience est souvent un temps de félicité ! Ayons du courage, et ne demandons pas à Dieu de changer notre destinée ; désirons seulement de porter joyeusement cette destinée qui nous purifie. La vie, la vie, mon Dieu qu'elle est belle ! Ah ! Plus j'avance, mieux je vois qu'elle est une œuvre d'amour, que le Dieu que nous servons ne nous afflige qu'alors que notre vie intérieure est en danger de périr et qu'Il nous comble de bonheur et de paix dès que le danger est passé. Je n'ai pas souffert une heure de trop ! Et la coupe de la douleur m'a été ôté à la première minute où en toute sincérité, j'ai senti que je plaçais la suprême volonté de Dieu au dessus de toute chose."
mardi 21 décembre 2010
"Vivre la volonté de Dieu"
"Vivre la volonté de Dieu, c’est assumer des choix, pas toujours faciles, mais qui contribuent à la joie de Dieu, et donc à la nôtre. Ceux qui jouent parfois avec les mots en souhaitant non seulement que la volonté de Dieu soit faite ( F A I T E), mais qu’elle soit aussi une fête (F E T E), ont raison.
Dieu souhaite que notre vie soit festive, pleine de passion.. Être enfant de Dieu, c’est savoir qu’il nous a créés, savoir qu’il est notre Sauveur, savoir qu’il est notre guide, savoir qu’il demeure une présence active, mais aussi assumer la confiance qu’il nous fait de voler de nos propres ailes, et finalement de faire nos propres choix, mais qui soient des choix en harmonie avec sa volonté..."
Gabriel Monet.
Dieu souhaite que notre vie soit festive, pleine de passion.. Être enfant de Dieu, c’est savoir qu’il nous a créés, savoir qu’il est notre Sauveur, savoir qu’il est notre guide, savoir qu’il demeure une présence active, mais aussi assumer la confiance qu’il nous fait de voler de nos propres ailes, et finalement de faire nos propres choix, mais qui soient des choix en harmonie avec sa volonté..."
Gabriel Monet.
lundi 20 décembre 2010
Attrait matériel ou spirituel ?
Quelqu'un a écrit : " Quand l'attrait de Dieu et des richesses célestes s'éloignent au profit de choses trop matérielles, l'homme devient égoiste à un tel point qu'aider son prochain devient facultatif. Sa seule pensée devient de devenir plus riche et d'en sortir mieux que les autres. Mais du coup, il oublie une chose importante : quand on meurt, son compte en banque reste sur terre et son âme est perdu à jamais."
dimanche 19 décembre 2010
L'intervalle de la vie
La naissance et la mort, deux instants qu'on ne choisit pas. Et dans l'intervalle, on s'imagine avoir son mot à dire.
vendredi 17 décembre 2010
Où habite votre maître ?
Lors d'une perquisition dans un couvent de jésuites pensant la Commune, Raoul Rigault (25 ans, communard, chef de la police), le procureur de la Commune, interroge un jésuite :
" - Profession ?
- Serviteur de Dieu, répond le jésuite.
- Où habite votre maître ? poursuit Rigault.
- Partout.
Rigault se tourne vers son secrétaire :
- Ecrivez : Ducoudroy, se disant serviteur d'un nommé Dieu, en état de vagabondage."
Comment réagissez-vous face à l'attitude de Raoul Rigault ?
Auteur inconnu
jeudi 16 décembre 2010
L'univers selon la science
mercredi 15 décembre 2010
mardi 14 décembre 2010
Entrer dans un dialogue avec Dieu
Eugène Peterson écrit ceci : "Lire
est la première chose à faire, simplement
lire la Bible. Alors que nous lisons nous
entrons dans un monde de mots nouveaux et
nous nous retrouvons dans un dialogue où Dieu
a le premier et le dernier mot. Nous
réalisons très vite que nous sommes inclus
dans ce dialogue. Nous ne nous y attendions
pas. Mais c’est précisément ce que les
générations les unes après les autres
découvrent : la Bible n’est pas seulement
écrite par rapport à nous, mais pour nous.
Dans ses pages nous devenons les participants
à un dialogue dans lequel Dieu par ses paroles
nous modèle et nous bénit, nous enseigne
et nous guide, nous pardonne et nous sauve".
lundi 13 décembre 2010
La peur dans le coeur
dimanche 12 décembre 2010
Unir science et foi
Je suis devenu croyant à ma façon, par le
microscope et par la contemplation de la nature, et mon désir est de
contribuer de mon mieux à unir la science et la religion.
Jean-Marc Schleich, chirurgien
Jean-Marc Schleich, chirurgien
samedi 11 décembre 2010
Compte tes jours
Jehan Alain est né en 1911, à Saint Germain en Laye, près de Paris. Il devint vite évident qu'il avait un talent musical extraordinaire, et dès l'âge de 13 ans, il commença à assister son père en tant qu'organiste de leur église.
Plus tard, il remporta le premier prix au conservatoire national de Paris où il étudia avec plusieurs des plus grands compositeurs et artistes de ce monde. Lorsqu'il obtint son diplôme, il décrocha un poste prestigieux en tant qu'organiste et continua à composer. Mais la seconde guerre mondiale vint interrompre sa carrière. On le sollicita pour le service militaire et il mourut en plein combat le 20 juin 1940, alors qu'il défendait la ville de Saumur. Il avait 29 ans.
Il aurait facilement pu être l'un de ces milliers d'hommes, qui sont morts au combat et qui ont été oubliés. Cependant, sa réputation continue de croître encore de nos jours. Pourquoi ? En partie, parce qu'il n'a pas gaspillé ses capacités ou perdu le temps qui lui avait été donné, et ce, en achevant plus de 120 compositions.
Alain était motivé par une croyance ferme. Comme il l'écrivit dans son journal intime, le jour où il fut tué : "je crois en Christ et en Dieu". Il avait également compris l'importance de la foi. Il écrivit une fois sur les limites de la raison et les moments où nous n'avons pas "les mots pour implorer les grâces de Dieu". Dans de tels moments, nous devons continuer à rechercher Dieu "sans cesse et avec une foi forte". Il savait que "seule la foi pouvait aller plus loin".
La vie d'Alain nous rappelle tous que notre vie est courte. Dans le psaume 90, Moïse demanda à Dieu de l'aide afin que nous puissions "bien compter nos jours". Il demandait à Dieu de nous aider à profiter de chaque occasion et à investir nos vies dans des choses qui en valent vraiment la peine.
Aujourd'hui, assurez-vous que vous comptez bien vos jours. Passez votre temps à poursuivre des choses qui plaisent à Dieu. Ne laissez rien inachevé.
Plus tard, il remporta le premier prix au conservatoire national de Paris où il étudia avec plusieurs des plus grands compositeurs et artistes de ce monde. Lorsqu'il obtint son diplôme, il décrocha un poste prestigieux en tant qu'organiste et continua à composer. Mais la seconde guerre mondiale vint interrompre sa carrière. On le sollicita pour le service militaire et il mourut en plein combat le 20 juin 1940, alors qu'il défendait la ville de Saumur. Il avait 29 ans.
Il aurait facilement pu être l'un de ces milliers d'hommes, qui sont morts au combat et qui ont été oubliés. Cependant, sa réputation continue de croître encore de nos jours. Pourquoi ? En partie, parce qu'il n'a pas gaspillé ses capacités ou perdu le temps qui lui avait été donné, et ce, en achevant plus de 120 compositions.
Alain était motivé par une croyance ferme. Comme il l'écrivit dans son journal intime, le jour où il fut tué : "je crois en Christ et en Dieu". Il avait également compris l'importance de la foi. Il écrivit une fois sur les limites de la raison et les moments où nous n'avons pas "les mots pour implorer les grâces de Dieu". Dans de tels moments, nous devons continuer à rechercher Dieu "sans cesse et avec une foi forte". Il savait que "seule la foi pouvait aller plus loin".
La vie d'Alain nous rappelle tous que notre vie est courte. Dans le psaume 90, Moïse demanda à Dieu de l'aide afin que nous puissions "bien compter nos jours". Il demandait à Dieu de nous aider à profiter de chaque occasion et à investir nos vies dans des choses qui en valent vraiment la peine.
Aujourd'hui, assurez-vous que vous comptez bien vos jours. Passez votre temps à poursuivre des choses qui plaisent à Dieu. Ne laissez rien inachevé.
Source : http://www.topchretien.com/topmessages/view/5982/compte-tes-jours.html
vendredi 10 décembre 2010
Les deux aspects du péché
« Le péché est comme une montagne qui se présente sous deux aspects différents, selon qu'on la voit avant d'y être arrivé, ou après .»
Samuel Butler, écrivain anglais (1835-1902) - Carnets
jeudi 9 décembre 2010
Une question intéressante à se poser
Selon Romain Guilleaumes, un écrivain français actuel, "L'idée de Dieu n'a pas encore péri sous les impitoyables coups de butoir de l'intelligence, de l'analyse, de la raison, de la critique et de la science. C'est un signe ! Oui, mais un signe de son existence ou de la constance du désespoir humain ?".
mercredi 8 décembre 2010
mardi 7 décembre 2010
La satisfaction
On ne trouve pas le contentement lorsqu'on a tout mais lorsqu'on se satisfait de tout ce que l'on a.
Anonyme
Libellés :
réflexions sur notre monde actuel
lundi 6 décembre 2010
De quoi demain sera-t-il fait ?
dimanche 5 décembre 2010
Grâce incompréhensible
Si, étant ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, ayant été réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie !
Romains 5. 10
Grâce incompréhensible
Le pasteur Son vivait à Soon-chun, en Corée, avec sa famille. En 1948, lors d'une émeute dans cette ville, des policiers et des hommes influents furent fusillés, mais aussi des chrétiens. Les deux fils de Son furent arrêtés. Alors que l'aîné allait être exécuté, le plus jeune s'offrit pour mourir à sa place. « Tuez-le aussi », hurla le chef du commando. C'est ainsi que les deux jeunes chrétiens tombèrent sous les balles. L'ordre fut néanmoins rétabli à Soon-Chun. C'était désormais au tour de ceux qui avaient participé au soulèvement d'être pourchassés et arrêtés. Parmi eux se trouvait un jeune homme nommé Chaisun qui avait pris part à l'exécution des fils du pasteur. Cela lui valut d'être condamné à la peine capitale.
Quand le pasteur eut connaissance du verdict, il envoya sa fille auprès de l'officier responsable de l'exécution avec ces mots : « Mon père vous supplie instamment de ne pas faire mourir ni de battre le jeune qui a tué mes frères. Et il vous demande la permission de l'adopter comme son fils ».
Son désir fut exaucé. Ainsi, l'assassin Chaisun fut adopté par le père de ses victimes et intégré dans leur famille. C'était un cadeau inespéré pour ce criminel, un pardon inouï.
Ce même cadeau, Dieu l'offre à tout être humain. Nous sommes co-responsables de la mort de son Fils Jésus Christ, car c'est à cause de nous qu'il a donné sa vie sur une croix. Mais voilà que Dieu veut nous pardonner et faire de nous ses enfants. Qui pourrait refuser une telle offre ?
Source : La Bonne Semence
samedi 4 décembre 2010
vendredi 3 décembre 2010
jeudi 2 décembre 2010
mercredi 1 décembre 2010
"POURQUOI BENIR DIEU ?"
« C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités » (Psaume 103,verset 3).
Le psalmiste s’adresse à son âme, c’est-à-dire à lui-même. Nous avons besoin d’exhorter, d’être exhortés et de nous exhorter nous-mêmes. (cf. Psaume 103)
Nous devons bénir Dieu – dire du bien de lui – pour de multiples raisons, entre autres, le pardon de nos péchés.
Dieu les pardonne tous. Quand nous venons à Jésus crucifié et ressuscité, son sang nous purifie de tout péché. Il n’en est aucun qui puisse échapper à la victoire du calvaire. Ou Dieu pardonne, ou il ne pardonne pas. Ne permettons à personne de jeter le doute dans notre esprit. Si nous abandonnons le terrain de la foi, nous deviendrons des jouets entre les mains de l’adversaire. Ayons la foi dans ce que Dieu déclare, afin de sauver notre âme.
La Bible dit : « Si tu gardais le souvenir des iniquités, ô Eternel, qui pourrait subsister ? » La vie chrétienne n’est pas une vie sans difficultés, mais la certitude permanente du pardon de nos péchés nous communique une force et une paix invincibles.
Bénissons Dieu !
Pasteur Roger COPIN
Le psalmiste s’adresse à son âme, c’est-à-dire à lui-même. Nous avons besoin d’exhorter, d’être exhortés et de nous exhorter nous-mêmes. (cf. Psaume 103)
Nous devons bénir Dieu – dire du bien de lui – pour de multiples raisons, entre autres, le pardon de nos péchés.
Dieu les pardonne tous. Quand nous venons à Jésus crucifié et ressuscité, son sang nous purifie de tout péché. Il n’en est aucun qui puisse échapper à la victoire du calvaire. Ou Dieu pardonne, ou il ne pardonne pas. Ne permettons à personne de jeter le doute dans notre esprit. Si nous abandonnons le terrain de la foi, nous deviendrons des jouets entre les mains de l’adversaire. Ayons la foi dans ce que Dieu déclare, afin de sauver notre âme.
La Bible dit : « Si tu gardais le souvenir des iniquités, ô Eternel, qui pourrait subsister ? » La vie chrétienne n’est pas une vie sans difficultés, mais la certitude permanente du pardon de nos péchés nous communique une force et une paix invincibles.
Bénissons Dieu !
Pasteur Roger COPIN
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