“Un remède agit quand on le prend. Pour un malade, le fait d'en
connaître la composition, la présentation, le dosage et les effets ne
sert à rien. Il faut qu'il se l'applique à lui-même pour en
ressentir les effets. Il en est de même de la foi chrétienne. C'est
seulement quand je reçois Jésus comme Sauveur que son sang me purifie de
tout péché. C'est au moment où il devient mon Seigneur
que je trouve un sens à ma vie”.
Voilà ce qu'écrivait Jean Hoffmann dans son livre “Matière à réflexion”.
Voilà ce qu'écrivait Jean Hoffmann dans son livre “Matière à réflexion”.
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Beaucoup de personnes aujourd'hui connaissent certaines choses sur Jésus, mais n'ont jamais eu de contact personnel avec lui. Des philosophes, des historiens, des théologiens même ont écrit des pages entières sur Jésus Christ, mais ne le connaissent pas. Je peux savoir, par exemple, qu'il est mort sur une croix, mais tant que je n'ai pas reconnu, accepté, que c'est par amour pour moi qu'il l'a fait, cela reste théorique et sans effet sur ma vie. Je peux connaître des chrétiens et apprécier leur conduite, mais cela n'influe en rien sur la mienne.
Oui, le sang versé par Jésus Christ pour le pardon des péchés est le remède préparé et proposé par Dieu – le seul remède efficace. Mais pour être guéri, il faut se reconnaître malade, inexorablement condamné à la mort éternelle à cause de ses péchés, et saisir le pardon en acceptant Jésus comme son Sauveur. Celui qui l'a accepté peut alors dire comme l'aveugle que Jésus avait guéri : “J'étais aveugle, et… maintenant je vois” (Jean 9. 25).
Extrait du calendrier La Bonne Semence
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