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jeudi 9 juin 2011

Jésus selon un croyant


" Le monde a fait de Jésus Christ: 
- un vainqueur devant les tentations; 
- un homme de douleur devant la méchanceté; 
- un bienfaiteur devant la misère. Mais à nous qui avons reçu la foi en son œuvre à la croix, Il est au-delà de cela notre Sauveur et notre Seigneur."
Auteur inconnu

mercredi 8 juin 2011

Espérer sans fin


"La promesse de Dieu", c'est le fondement de l'espérance des humains. (Osée 2)

"Une foi sans espoir est malade. Il n'y a pas de honte à espérer sans fin. Pourquoi devrions-nous avoir honte de notre espérance ? Ce n'est pas de nos espérances qu'un jour il faudra avoir honte, mais de notre misérable et craintif manque d'espoir, qui ne fait pas confiance à Dieu, qui - par fausse humilité - ne saisit pas les promesses, qui se résigne, et ne sait pas se réjouir de sa puissance éternelle et de sa souveraineté. Espérez donc! L'espérance ne trompe pas. Plus un homme ose espérer, plus il grandit avec son espérance".
(Dietrich Bonhoeffer)

mardi 7 juin 2011

La conviction de Robert Ingersoll


Robert Ingersoll (1833-1899)
Le Colonel Robert Ingersoll, qui était un activiste social, libre penseur et agnostique américain du 19ème siècle, parlait souvent contre Dieu, soulignant qu’il considérait absurde l’idée du jugement dernier. Une des fois où il donnait une conférence ayant pour but de prouver que l’enfer n’existait pas, il était interrompu par quelqu’un dans l’auditoire.
Au moment où il allait commencer son discours, un homme, visiblement ivre, se leva pour l’encourager, disant : ” Fais un discours puissant et convaincant, Bob, car il y a beaucoup de pauvres bougres comme moi qui comptent sur toi. Si tu as tort, nous sommes tous perdus. Alors, prouve-nous clairement que l’enfer n’existe pas !"

lundi 6 juin 2011

Un livre encore pertinent ?

Les livres des hommes font leur temps et tombent en oubli. La Parole de Dieu est comme lui-même "la même hier, aujourd'hui et éternellement".
Robert Payne Smith(1818 - 1895).
Il fut théologien et doyen de la Faculté de Canterbury.

dimanche 5 juin 2011

Précher Jésus


On rapporte cette parole de William Gladstone, illustre homme d'Etat anglais :
"L'essence même de toute prédication, son secret, sa substance, son vrai centre, c'est la personne du Seigneur, plus encore que ses actes". 
Un médecin chrétien, originaire des Indes, déclarait un jour : "Ce dont ce pays a besoin, ce ne sont pas des attaques contre la philosophie orientale, mais de la prédication de Jésus-Christ". 
Un dévoué serviteur du Seigneur disait, sur son lit de mort : "Je crois que, si je me rétablissais, je ne ferais plus jamais des prédications d'une heure, mais de vingt minutes seulement. Je me contenterais de présenter le Seigneur lui-même en quelques mots, aussi brefs et aussi simples que possible".

samedi 4 juin 2011

Pourquoi l'avenir est entre les mains de Dieu.


Le théologien calviniste écossais John Baillie (1886-1960) a dit :"La Bible nous montre que l'avenir est entre les mains de Dieu.
Si l'avenir du monde était en nos mains, nous en ferions une catastrophe.
Il n'est pas non plus entre les mains du diable, car alors il nous mènerait à la destruction.
L'avenir n'est pas à la merci de quelque déterminisme historique, car alors la vie n'aurait pas de signification.
Mais l'avenir est entre les mains de Celui qui prépare quelque chose de mieux que ce qu'aucun œil n'a jamais vu, qu'aucune oreille n'a entendu, ou qu'aucun cœur humain n'a jamais conçu".

vendredi 3 juin 2011

L'étonnement d'un scientifique



« Mieux nous comprenons la complexité de la structure atomique, la nature de la vie, ou de la marche des galaxies, plus nous trouverons de raisons de nous émerveiller devant les splendeurs de la création divine. »
Wernher von Braun (1912-1977), ingénieur allemand spécialisé en aéronautique.

jeudi 2 juin 2011

Y a-t-il un espoir ?

Nous avons espéré à l'avance dans le Christ.
Ephésiens 1. 12
Nous avons une ferme consolation, nous qui nous sommes enfuis pour saisir l'espérance proposée, laquelle nous avons comme une ancre de l'âme, sûre et ferme.
Hébreux 6. 18, 19

Ernest Gordon, prisonnier des Japonais pendant la seconde guerre mondiale, raconte dans son livre « Miracle sur la rivière Kwaï » comment certains de ses camarades d'infortune sont morts presque du jour au lendemain, sans avoir été vraiment malades. Ils n'avaient plus d'espoir et se laissaient mourir, alors que d'autres prisonniers atteints de paludisme, de dysenterie, de béribéri et autres infections s'en sont finalement sortis. Ce témoignage nous rappelle que l'espoir est vital pour l'être humain, non seulement en temps de guerre, mais aussi en temps de paix.

Alors y a-t-il encore un espoir pour le monde dont les problèmes augmentent d'année en année ? Y a-t-il un espoir pour ma vie si je l'ai gâchée par ma propre faute ? La réponse de Dieu à toutes ces interrogations est une personne : Jésus Christ. Lui seul établira une paix, une prospérité durables dans notre monde.

Lui seul peut nous faire prendre un nouveau départ, lorsque nous venons à lui tels que nous sommes. Il nous purifie, et fait de vies gâchées quelque chose de nouveau, quelque chose que Dieu peut approuver.

Il redonne l'espoir et une nouvelle chaleur au cœur. Jésus veut nous donner sa paix, nous faire goûter son amour au travers des tempêtes de la vie.

Il est notre seul espoir pour aujourd'hui et pour demain. Telle est l'expérience d'innombrables croyants de tous âges et de toutes conditions. Cette expérience peut devenir aussi la vôtre.

Source : La Bonne Semence (un calendrier chrétien)

mercredi 1 juin 2011

Un secret à partager


Un pasteur a dit : "L'argent et les plaisirs ne cicatrisent pas les blessures du coeur, tandis que le sang de Christ, plus précieux que l'or fin, offre la paix du coeur et de la conscience."

mardi 31 mai 2011

La science exclut-elle Dieu ?


Le Dieu de la révélation est le même que celui de la nature. La science ne tue point la foi, et la foi encore moins la science.  
Jean-Baptiste Dumas (1800-1884)

Chimiste français, fondateur de la chimie organique. Il découvrit l’alcool méthylique et ses dérivés.

lundi 30 mai 2011

Redresser le cœur humain


" La repentance est le moyen de Dieu pour redresser ce qui est biscornue."

Auteur inconnu

dimanche 29 mai 2011

La souffrance et ses bonnes conséquences.

Quelqu'un a écrit : "Les épreuves nous font réfléchir ; la réflexion nous rend sages ; la sagesse rend la vie profitable.

samedi 28 mai 2011

La dernière liberté de l'homme


La seule chose que vous ne pouvez pas m'enlever, c'est la façon dont je choisis de réagir à ce que vous me faites subir. La dernière liberté qui reste à un homme est de décider de son attitude dans n'importe quelle circonstance.
Victor Frankl

vendredi 27 mai 2011

Comment savoir la volonté de Dieu ?

"Dieu nous révèle sa volonté par les textes bibliques, par les circonstances, par nos jugements sanctifiés, par les convictions intimes produites par le Saint Esprit. Quand il y a harmonie entre ces différentes voix, nous pouvons être certains que Dieu a parlé."
Auteur anonyme

jeudi 26 mai 2011

L'importance de Pâques pour la foi chrétienne (3)

L’ange a roulé la pierre devant la tombe, non pour laisser le Christ vivant sortir, mais pour laisser entrer les incrédules.

Donald Grey Barnhouse (1895-1960), théologien anglais

mercredi 25 mai 2011

La vie chrétienne, c'est quoi ?


Le véritable défi de la vie chrétienne ne consiste pas à éviter toute circonstance pénible de la vie, mais en toute situation à placer notre confiance en la puissance, en la bonté, en la sagesse et en la souveraineté de notre Dieu.
John MacArthur (auteur chrétien actuel)
Certains groupes religieux actuels ont pour slogan : "Acceptez Jésus et le message de l'Evangile et tous vos problèmes disparaitront. Vous connaitrez une vie entière de prospérité." Or ils mettent trop l'accent sur un des aspects de la vie chrétienne tout en niant d'autres aspects du message Biblique pour la vie chrétienne.
D'autres groupes disent que la vie chrétienne est une vie qui doit bannir tout contact avec le monde et renoncer aux sentiments les plus naturels comme la joie, le bonheur, etc. Pour eux, le chrétien doit donc avoir une vie austère et toute sa vie ne doit être que souffrance. Une fois de plus, la Bible ne dit pas que la vie chrétienne n'est que souffrance.
Être chrétien, c'est vivre dans le monde (sans pour autant accepter sa mentalité) afin de montrer aux gens de ce monde comment Dieu agit dans la vie de chaque chrétien. L'apôtre Paul recommandait d'être toujours joyeux et Jésus demandait à ses disciples d'être des lumières dans ce monde.
Certes, le chrétien connaitra encore des difficultés après sa conversion mais Dieu y mettra fin. Ces difficultés temporaires sont suivis de grands moments de joie.
La vie chrétienne, c'est une vie basé sur la confiance en Dieu en tout temps, avoir une relation vivante avec Dieu à travers la lecture quotidienne de la Bible (pour découvrir ce que Dieu veut nous dire par sa Parole) et la prière régulière pour soi et les autres. C'est aussi aider les autres tout comme Jésus le faisait lorsqu'il était sur Terre.
Auteur inconnu

mardi 24 mai 2011

Un dilemme biblique (2)

John Stott poursuit : « Car s'il est vrai que « Dieu est amour », n'oublions jamais que son amour est « un amour saint », un amour qui lui inspire la plus grande compassion envers les pécheurs et en même temps la plus grande répulsion à l'égard de leur péché. Comment Dieu allait-il donc répondre aux exigences de son amour saint ? Comment satisfaire les souhaits de son amour - pardonner aux pécheurs - sans étouffer les protestations de sa sainteté ? Et comment s'acquitter des impératifs de sa sainteté - en jugeant les pécheurs, - sans frustrer son amour ? Comment, en présence du mal commis par les hommes, Dieu pouvait-il demeurer fidèle à sa nature d'amour saint ? »

Comment Dieu pouvait-il simultanément traduire sa sainteté dans un jugement, et son amour dans un pardon ? Cela n'était possible qu'en trouvant un substitut divin au pécheur;...» Le substitut étant celui qui devait subir le châtiment et permettre au pécheur d'obtenir le pardon. »

lundi 23 mai 2011

Un dilemme biblique (1)

La Bible nous parle de l'amour, de la miséricorde et de la grâce divine. Il ne veut pas nous punir. Il doit traiter le péché comme il convient, mais il ne veut pas nous punir, à cause de l'amour qu'il a pour nous. Énorme dilemme, direz-vous.

John Stott dans son livre La Croix de Jésus-Christ résume, ainsi, ce dilemme :
« Nous avons vu les obstacles au pardon : la gravité du péché et la majesté de Dieu, ou en d'autres mots, ce que nous sommes et ce que Dieu est. ... Le problème n'est pas extérieur à Dieu; il est lié à sa nature même. Puisqu'il ne peut y avoir de contradiction en Dieu, il doit rester égal à lui-même et « se satisfaire » lui-même, en agissant en pleine harmonie avec les exigences de perfection de son Être.

...Cette nécessité interne ne signifie pas que Dieu doive être fidèle à une parcelle de lui-même (sa loi, sa justice ou son honneur seulement), ni qu'il doive donner la prééminence à l'un de ses attributs (la sainteté ou l'amour) au détriment des autres; Dieu doit rester totalement et invariablement égal à lui-même dans la plénitude de son Être moral. «...Il agit constamment en conformité avec l'ensemble de ses attributs...

dimanche 22 mai 2011

La preuve de l'existence de Dieu, selon un philosophe

«Pour moi, la principale preuve de l'existence de Dieu est la joie que j'éprouve à penser que Dieu existe.»
René Le Senne (1882-1954)
Philosophe français

samedi 21 mai 2011

"LES FAIBLES COMMENCEMENTS"


« Il ne faut pas mépriser la petitesse des premiers travaux » (Version Bible français courant). Un ancien d’une église s’approcha, un dimanche matin, de son pasteur et lui dit avec tristesse, mais fermeté : Il y a surement quelque chose qui ne va pas dans votre prédication ou dans votre œuvre pastorale, car nous n’avons gagné à l’église qu’un seul membre cette année, et ce n’est qu’un jeune garçon ! Le vieux pasteur prêcha ce jour-là le cœur serré, et finit son discours avec des larmes dans les yeux. Il aurait souhaité prêcher pour la dernière fois et se coucher pour le dernier sommeil, sous les cyprès du vieux cimetière. Il s’attarda dans sa chère église, cherchant la solitude, lorsqu’un jeune garçon, celui qui avait été baptisé cette année-là, s’approcha le visage ému. 
- Te voilà Robert, dit le pasteur. 
- L’enfant demanda : Croyez-vous qu’en travaillant beaucoup, je pourrais arriver à prêcher l’Évangile ? 
- À prêcher l’Évangile ? répondit étonné le vieux pasteur. 
- Oui, peut-être même devenir missionnaire ! Insiste l’enfant. Long silence, des larmes baignaient les joues du pasteur, et la blessure de son cœur était guérie. 
- Robert dit-il, je vois la main de Dieu, que le Seigneur te bénisse, mon garçon. Oui, je pense que tu prêcheras l’Évangile. 

Ce jeune garçon était Robert Moffat qui, plus tard, ajouta à l’Église une région nouvelle, traduisit la Bible dans la langue des « indiens » et enrichit le monde de découvertes géographiques. Gérard FO

Moffat (Robert), missionnaire né à Ormiston (Écosse) le 21 décembre 1795, mort à Leigh (Kent) le 9 août 1883. D'abord jardinier, il fut expédié au Cap par la Société des missions de Londres, évangélisa les Boers et Hottentots, puis les Betchouanas autour de Kourouman, rédigea une grammaire, un dictionnaire, des livres scolaires et cantiques betchouanas, finit par leur traduire la Bible. En 1870, il revint en Angleterre. Une de ses filles épousa David Livingstone et l'accompagna jusqu'à sa mort, en 1852.
Robert Moffat vers la fin de sa vie

vendredi 20 mai 2011

L'Evangile et nous


Dans un livre écrit par Steven Curtis Chapman, le chanteur et son pasteur, Scotty Smith, il est écrit ceci:
« Au travers l'Évangile, nous découvrons que nous sommes bien pires que nous le pensions et beaucoup plus aimés que nous ne l’avons jamais rêvé. »

jeudi 19 mai 2011

La cantique d'un aviateur.


Le lieutenant Marcel Lugrin (1891 - 1915) un des plus sympathiques aviateurs de l'armée suisse, s'est tué au cours d'un vol à Zurich, à l'âge de vingt-quatre ans, le jeudi 24 juin 1915. Il est mort au service de son pays.
Le hardi pilote était chrétien. On a retrouvé dans sa vareuse, après sa mort, une feuille portant le cantique :
Mon cœur joyeux, plein d'espérance,
S'élève à toi, Jésus, mon Rédempteur...

avec cette mention de sa main : « Pour chanter quand je suis dans les airs. » Aux obsèques solennelles qui lui furent faites à Lausanne le 28 juin, au temple d'Ouchy, en présence de nombreux officiers supérieurs et d'une foule énorme, M. le pasteur Jules Amiguet, un ami du défunt, a raconté le fait suivant:

« Le lieutenant Lugrin espérait en ce ciel, à ses sublimes promesses, auxquelles il croyait fermement. A un ami qui s'étonnait de la fermeté de sa foi et de sa confiance religieuse, il répondit, il n'y a pas longtemps : « Quand on est aviateur, on doit toujours être prêt ! » Il était prêt.




mercredi 18 mai 2011

Je ne vis plus pour moi-même !

Quelqu'un a écrit : "La présence du Seigneur dans le cœur est le seul secret pour s’oublier soi-même." 

mardi 17 mai 2011

Le sang de Jésus-Christ nous purifie.


Martin Luther (1483-1546) était malade. Pendant une nuit de fièvre, il crut voir Satan en personne entrer dans sa chambre et se poster au pied de son lit. Il avait en mains, un rouleau de papier d'une grandeur prodigieuse qu'il se mit à dérouler avec un sourire de maligne satisfaction sur les lèvres. Le malade, fixant sur le papier ses yeux étonnés, fut consterné en y 'lisant l'énumération de tous ses péchés. Péchés de sa jeunesse et de son âge mûr, fautes cachées et fautes manifestes, négligences et transgressions, tout y était inscrit en caractères aussi noirs qu'il sentait que les péchés eux-mêmes l'avaient été et aussi distincts qu'ils devaient l'être, si Dieu les mettait devant la clarté de sa face. Il sentit son cœur défaillir; ce cœur brave et intrépide qui ne faiblissait jamais devant aucun homme, s'agite; cet œil courageux, qui regardait en face des évêques et des cardinaux, des princes et des empereurs, se trouble en se fixant sur le terrible rouleau. Ses iniquités avaient surpassé sa tête, elles étaient comme un pesant fardeau.

Soudain une pensée consolante traversa son esprit. Se dressant sur son séant et étendant les bras vers le funeste rouleau, il s'écria avec force: « Tu as oublié une chose, tout cela est vrai, trop vrai, mais tu as oublié une chose : Le sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché ! » A peine l'eut-il dit que Satan disparut avec son lugubre rouleau.

lundi 16 mai 2011

La certitude du proche retour de Jésus Christ



John Blanchard a dit : " La certitude du proche retour de Christ devrait nous toucher et imprégner chaque aspect de notre comportement quotidien."
George Whitefield (1714-1770) disait : "Je m'attends chaque jour au retour du Fils de Dieu."

dimanche 15 mai 2011

Le véritable défi de la vie chrétienne


" Le véritable défi de la vie chrétienne ne consiste pas à éviter toute circonstance pénible de la vie, mais en toute situation à placer notre confiance en la puissance, en la bonté, en la sagesse et en la souveraineté de notre Dieu. "
John MacArthur 

samedi 14 mai 2011

Le Salut par la Foi


"Toutes les bénédictions que Dieu a répandues sur l'homme viennent de sa pure grâce, de sa bonté ou de sa faveur; faveur libre, non méritée, complètement gratuite; l'homme n'ayant aucun droit au plus petit des bienfaits du Seigneur. Ce fut la grâce gratuite qui forma «l'homme de la poudre de la terre et souffla en lui une âme vivante», ce fut elle qui grava sur cette âme l'image de Dieu et «mit toutes choses sous ses pieds». La même libre grâce qui continue aujourd'hui dans nos vie, qui nous donne la vie, la respiration et toutes choses; car quoi que ce soit que nous soyons, que nous ayons ou que nous fassions, rien en nous ne peut mériter la plus petite faveur des mains de Dieu. C'est toi, ô Dieu ! qui as fait toutes nos oeuvres en nous. Elles sont donc autant de preuves de plus d'une miséricorde, et toute justice qui peut se trouver en l'homme est aussi un don de Dieu."
John Wesley, pasteur méthodiste du 18ème Siécle

vendredi 13 mai 2011

Comment Dieu nous pardonne

À l’école, il ne se trouvait aucun volontaire pour passer au tableau, le jour de la dictée. En effet, ce qu’appréhendait tout élève désigné pour cet exercice périlleux, c’était le moment de la correction, si redouté de tous. Après le "point final" qui concluait notre effort, dans un soulagement général, nous échangions notre cahier avec celui du voisin. Pendant ce temps, les panneaux pivotaient, accompagnés d’un grincement sinistre, pour laisser apparaître la dictée d’un malheureux. Déjà le maître brandissait l’instrument de torture : la redoutable craie rouge. Chaque faute, chaque demi-faute et chaque quart de faute étaient impitoyablement sanctionnés, soulignés en rouge et exposés à la risée des camarades. Et quand la classe entière pouffait de rire parce que la faute était grossière, la honte s’emparait du supplicié. Mais venait l’instant - ô combien doux et agréable au souvenir - où l’instituteur, saisissant l’éponge humide, se mettait à effacer. Alors, en quelques secondes, la dictée et les fautes qui la peuplaient, disparaissaient pour toujours ! Le divin Maître est venu ôter toutes les fautes de nos cœurs, gravées par le burin du péché. Quand il pardonne à celui qui se repent, tout est effacé ! http://www.topchretien.com/topmessages/view/6110/comment-dieu-nous-pardonne.html

jeudi 12 mai 2011

Benjamin Franklin parle de Jésus

«Combien respectent la naissance de Jésus-Christ ! Combien respectent ces enseignements ! Je suppose qu’il est plus facile de se souvenir des dates de vacances que de commandements !»
Benjamin Franklin (1706-1790)
Scientifique et homme politique américain Inventeur du paratonnerre

mercredi 11 mai 2011

Prendre garde aux petites choses (Paul Ettori)


On raconte qu’à leur arrivée en terre australienne, les Britanniques ne purent trouver un seul chardon. Un Écossais nostalgique - la plante est l’emblème de l’Écosse - fit venir un peu de semence de sa patrie. Il s’empressa de la jeter dans son jardin. Quand les chardons levèrent, le vent s’affaira à emporter les nouvelles graines. Puis le temps se chargea du reste : aujourd’hui, tout le pays en est couvert. Il en est de même de la moindre désobéissance, du plus petit péché. Ne pas y prendre garde, le laisser subsister dans notre cœur, c’est lui permettre de se multiplier…
L’insensé méprisera la taille dérisoire de la semence, au point de vouloir ignorer que les petites choses sont d’une importance capitale. Ainsi ce brave grand-père, qui avoua, pour se justifier aux yeux de son petit-fils : "Je ne fume pas beaucoup : un petit peu seulement". Alors, l’enfant inspiré sut répondre : "Papy, tu vas mourir d’un petit cancer…"
Auteur inconnu.