John Stott poursuit : « Car s'il est vrai que « Dieu est amour », n'oublions jamais que son amour est « un amour saint », un amour qui lui inspire la plus grande compassion envers les pécheurs et en même temps la plus grande répulsion à l'égard de leur péché. Comment Dieu allait-il donc répondre aux exigences de son amour saint ? Comment satisfaire les souhaits de son amour - pardonner aux pécheurs - sans étouffer les protestations de sa sainteté ? Et comment s'acquitter des impératifs de sa sainteté - en jugeant les pécheurs, - sans frustrer son amour ? Comment, en présence du mal commis par les hommes, Dieu pouvait-il demeurer fidèle à sa nature d'amour saint ? »
Comment Dieu pouvait-il simultanément traduire sa sainteté dans un jugement, et son amour dans un pardon ? Cela n'était possible qu'en trouvant un substitut divin au pécheur;...» Le substitut étant celui qui devait subir le châtiment et permettre au pécheur d'obtenir le pardon. »
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