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mercredi 13 mars 2013

Un scientifique qui croit en Dieu




Le professeur Cecil Boyce Hamann, membre des facultés de Greenville College, de l'Université du Kentucky et de l'Ecole Médicale de l'Université de St. Louis, enseigne actuellement la biologie au Asbury College. C'est un scientifique possédant une croyance ferme en Dieu. Hamann a exprimé sa croyance ainsi : « Dans quelque domaine de la science que je me tourne, se trouvent des preuves de conception, de loi et d'ordre – venant d'un être suprême... Oui, je crois en Dieu. Je crois en un Dieu qui n'est pas seulement une Divinité toute-puissante qui a créé et qui maintient l'univers, mais un Dieu qui est concerné par la voûte de Sa création, à savoir l'homme. »

mardi 12 mars 2013

Le cerf-volant dans les nuages



Quand on demandait à un pasteur connu comment il pouvait être certain que Dieu existe, il racontait l’histoire du petit garçon qui jouait avec un cerf-volant.
Il avait bien choisi son jour car un vent fort poussait de grands nuages menaçants à travers le ciel. Le cerf-volant montait, montait jusqu'à être caché par les nuages.
« Que fais-tu ? », demanda un passant.
« Je joue au cerf-volant », répondit l’enfant.
« Vraiment, tu joues au cerf-volant ? » dit l’homme. « En es-tu sur ? Tu ne peux voir ton cerf-volant. »
« Je ne peux pas le voir », fut la réponse. « Mais à chaque instant, je sens un tiraillement sur la ficelle et cela me prouve qu’il est bien là. »
Article écrit par Samuel, membre du GBU d'Angers

lundi 11 mars 2013

"Pourquoi je ne crois pas en Dieu ?" par un philosophe français

"Si je ne crois pas en Dieu, c'est aussi, et peut-être surtout, parce que je préférerais qu'il existe. C'est le pari de Pascal, si l'on veut, mais inversé. Il ne s'agit pas de penser le plus avantageux - la pensée n'est ni un commerce ni une loterie-, mais le plus vraisemblable. Or Dieu est d'autant moins vraisemblable qu'il est davantage désirable : il correspond tellement bien à nos désirs les plus forts qu'il y a lieu de se demander si nous ne l'avons pas inventé pour cela. (...) La foi nous arrange trop pour n'être pas suspecte".
André COMTE-SPONVILLE
(XXe siècle), Pensées sur l'athéisme, Albin Michel, 1999
Philosophe français

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dimanche 10 mars 2013

Le cambrioleur et la Bible



Éternel ! tu m'as sondé, et tu m'as connu. Tu connais quand je m'assieds et quand je me lève, tu discernes de loin ma pensée ; tu connais mon sentier et mon coucher, et tu es au courant de toutes mes voies.
Psaume 139. 1-3
Caché sous le lit
La scène se passe au Brésil. Un cambrioleur s'est introduit un soir dans une maison. Entendant du bruit, vite il se glisse sous un lit. A son grand effroi, tous les membres de la famille se rassemblent dans la chambre où il est caché. Et voilà que le père s'assied justement sur ce lit, prend un livre, en lit une page à sa femme et à ses enfants. Ce sont de magnifiques paroles : jamais notre voleur n'en a entendu de pareilles. La lecture terminée, toute la famille se met à genoux pour la prière. Le père semble s'adresser à un ami présent. Jamais notre homme n'aurait pensé qu'on puisse parler à Dieu avec autant de confiance et de liberté.
Puis la famille se retire et la maison devient silencieuse. Chacun s'est endormi. Alors l'intrus rampe hors de sa cachette et, encore tout tremblant, quitte précipitamment la maison sans emporter rien d'autre que... le mystérieux livre noir resté sur la table. C'est une Bible qu'il se met à lire avec assiduité. Au fur et à mesure qu'il lit, une conviction s'affirme en lui : le secret du véritable bonheur est dans ce livre ! Des mois s'écoulent, et un jour il s'approche de Dieu par Jésus Christ, lui confesse ses péchés et obtient le pardon.
Que lui reste-t-il à faire ? A rapporter la précieuse Bible à ses propriétaires en leur racontant son histoire. Alors, dans la même chambre, à genoux, le père de famille et le voleur remercient le Seigneur ensemble d'avoir fait d'eux des frères en Jésus Christ.

samedi 9 mars 2013

Notre vie futur


«Le futur vient à chacun de nous au rythme de 60 minutes par heure, qui que vous soyez et quoi que vous fassiez.»
[ Clive Staples Lewis ]

vendredi 8 mars 2013

Le chrétien au ciel

“Dans le ciel, il n’y aura pas de porteurs de couronne qui n’aient été des porteurs de croix sur la terre.”
Charles Spurgeon

jeudi 7 mars 2013

Reflexion sur la prière



" Prier, c'est beaucoup plus qu'articuler des mots ou réfléchir. C'est l'homme qui se met au diapason de Dieu. Un réajustement grandiose et essentiel. C'est pour cela qu'il n'est pas facile de prier sans être profondément touché, que ce soit par des circonstances dérangeantes ou par un amour débordant envers Dieu."
Georges L. Carpenter (1872-1948), un responsable de l'Armée du Salut de 1939 à 1946

mercredi 6 mars 2013

UN SCIENTIFIQUE MET LA BIBLE A L'EPREUVE...




Un Scientifique éprouve les livres saints des principales religions - par Hugh Ross.

http://www.ilyaplus.com

" J’ai décidé de devenir astrophysicien à l’âge de huit ans. Je m’y suis préparé en lisant tous les livres de physique et d’astronomie de la section enfant de ma bibliothèque. Ma famille encourageait mon appétit vorace pour la connaissance. Cependant, mes professeurs craignaient que je sois devenu trop spécialisé. Ils m’assignaient de nombreux projets parascolaires en sciences sociales, qui en fait ont initié ma quête spirituelle.
Dans ma dernière année de secondaire, pendant l’un de ces projets supplémentaires, j’ai étudié la Guerre de Trente Ans. Pourquoi les Catholiques et les Protestants avaient-ils versé autant de sang pour une simple question de doctrine ? Je m’interrogeais. J’ai posé des questions difficiles à mon professeur, qui comme à son habitude, les évitait et m’envoyais à la bibliothèque pour lire des livres afin de comparer les religions.
J’ai vite découvert que toutes les principales religions du monde sont basées sur des livres saints, venant supposément de Dieu. Cependant, j’étais sceptique. Comme les astronomes de mon temps, je m’étais attaché à la théorie de la création par le «Big Bang ». Je croyais que Dieu devait être impersonnel et indifférent à la condition de vulgaires êtres humains. Donc, ces livres saints devaient être frauduleux, des produits de l’imagination humaine. Vitalisé par ma fierté de jeunesse, j’ai décidé de le prouver. Mes critères seraient les faits historiques et scientifiques.
J’ai étudié chaque livre saint, un à un. Je cherchais des déclarations sur la nature et l’histoire, puis les éprouvaispour voir s’ils étaient exacts. Premièrement, je me suis occupé des Vedas hindous, vieux de 3 000 ans. Ils disaient qu’il existait des civilisations vivant sur la face cachée de la lune et des villes sur le soleil. Après avoir trouvé quelques douzaines d’absurdités, j’en ai conclu, en toute confiance, que les Vedas étaient des produits humains.
Voici comment je voyais la chose : Dieu a créé le monde naturel dans lequel nous voyons une cohérence et aucune contradiction. Si ce même Dieu a communiqué avec nous sous forme écrite, alors ça devait être semblable : cohérent et sans contradiction.
Je me suis dirigé vers les textes bouddhistes, puis vers le Coran de l’Islam et à travers toutes les grandes religions du monde. Dans chaque cas, après plusieurs heures d’étude, j’ai amassé assez de contradictions scientifiques et historiques pour me convaincre que chaque livre était d’origine humaine.
J’avais le pressentiment que la Bible serait le plus difficile, c’est pourquoi je l’ai gardée pour la fin. Après avoir lu seulement deux chapitres, j’ai vu que la Bible était différente de la poésie ésotérique des autres livres. La Bible était directe et spécifique. Elle donnait des noms, des dates et des lieux. Ma difficulté avec les autres livres était de trouver des choses à vérifier. Mais chaque page de la Bible contenait des faits à éprouver . Le Coran avait une douzaine de prédictions ; la Bible en a 3 500 ! Mon carnet de notes s’est rempli de déclarations historiques et scientifiques qui se sont avérées exactes. Au bout de deux ans, mon carnet de note réservé aux erreurs établies demeurait vide. J’admets avoir trouvé de nombreux problèmes irrésolus, des choses que je ne comprends toujours pas. Mais ceci ne m’a pas dérangé, car c’est exactement ce qu’on trouve dans la nature!
La Bible seule a prédit correctement la naissance et les actions de personnes –Sirus, Josias et le Messie- parfois des centaines d’années avant leur naissance. Plus de 200 prédictions détaillent le retour des Juifs en Israël, que j’ai vérifiées à l’aide d’articles du London Times et du Jerusalem Post.
Si nous considérons seulement 13 des prédictions de la Bible, quelle est la probabilité pour qu’elles soient toutes dues au hasard ? La réponse est moins d’une chance sur 10 à la puissance 138.
Mon ami, ce nombre est si grand que cela signifie que la Bible est plus certaine que la plupart de nos lois physiques! Ceci m’a choqué et m’a fait tomber par terre.
À 1h07 du matin, j’ai orienté ma vie vers Jésus Christ. J’ai su que j’avais offensé Dieu par mon orgueil é et j’ai accepté le pardon rendu accessible en Christ. Je Lui ai donné le contrôle de ma vie, sachant que je devais partager cette vie nouvelle avec mon partenaire de labo, le jour suivant. Chose amusante : dès que j’ai pris mon engagement, j’ai ardemment anticipé cette conversation. Très tôt, j’ai eu plus de plaisir à parler aux gens de Jésus Christ que de découvrir des quasars aux abords de l’univers.
Dieu a donné beaucoup de preuves à notre génération. Encore mieux, Il dit à trois reprises dans la Bible : « Éprouve-Moi et Je te le prouverai, démontrerai ! » C’est ce qu’a fait ce scientifique. Et je suis convaincu que la science prouve, et prouve clairement que nous interagissons avec le Dieu de la Bible. "

Copyright 2001 Power to Change. Traduit par Aurélien Hathout.

Diffusé avec permission sur le site http://www.ilyaplus.com

mardi 5 mars 2013

Comment considérer l'amour de Dieu ?

La façon dont la main du Père agit envers nous doit toujours être considérée à la lumière de l'amour qui remplit son cœur.
Auteur anonyme

lundi 4 mars 2013

Lettre à l'empereur


Athénagoras, né à Athènes, était un philosophe qui vivait dans la dernière moitié du deuxième siècle. Il se proposait d'écrire contre les chrétiens, et dans ce but, il se mit à lire leurs livres.
Dieu, par cette lecture, lui ouvrit les yeux, et il devint chrétien. Au lieu d'attaquer les disciples du Seigneur, il les défendit et présenta, en l'an 177 à l'empereur Marc Aurèle un écrit qui dit entre autres choses :
"Pourquoi seriez-vous offensés simplement par le nom que nous portons ? Le nom seul ne mérite pas votre haine ; c'est le crime qui est digne de châtiment. Si nous sommes convaincus d'un forfait grand ou petit, punissez-nous, mais non pas uniquement à cause du nom de chrétien. Nul chrétien n'est criminel, à moins qu'il n'agisse d'une manière contraire à ce qu'il prétend être". Plus loin, mettant en contraste la conduite des chrétiens et celle des païens, il dit : "Chez nous, vous trouverez des ignorants , des manoeuvres, de vieilles femmes qui ne pourraient peut-être pas prouver par des raisonnements la vérité de notre doctrine ; mais par leurs oeuvres ils montrent l'effet bienfaisant qu'elle produit quand on est persuadé qu'elle est vraie. Ils ne font pas des discours, mais des bonnes oeuvres. Quand on les frappe, ils ne rendent pas les coups ; ils n'intentent pas de procès à ceux qui les dépouillent ; ils donnent à ceux qui leur demandent, et aiment leur prochain comme eux-mêmes". Quel beau témoignage !

dimanche 3 mars 2013

Le secret de la croissance chrétienne


Le pasteur Jack Hayford a écrit : «Il n'y a pas de plus grand secret de croissance et de victoire, ou de résistance et de triomphe dans la vie de tous les jours, que de commencer chaque nouvelle journée avec Jésus.»

samedi 2 mars 2013

Tristan Bernard parle de notre monde


C'est Dieu qui a créé le monde, mais c'est le Diable qui le fait vivre.
L'humanité qui devrait avoir six mille ans d'expérience retombe en enfance à chaque génération.
Tristan Bernard (1866-1947), écrivain français

vendredi 1 mars 2013

Un simple parachute ?

L’homme regarde à Dieu comme l’aviateur regarde un parachute : il n’est là que pour les cas d’urgence et il espère ne jamais avoir à s’en servir.
C.S. Lewis

jeudi 28 février 2013

C.S. Lewis parle de la résurrection de Jésus

L’écrivain anglais C.S. Lewis (1898-1963) a écrit à propos de la Résurrection de Jésus :
« Le premier événement de l’Histoire du christianisme, c’est qu’un groupe d’hommes et de femmes proclament qu’ils ont vu la Résurrection. S’ils étaient morts sans convaincre d’autres personnes et sans leur faire croire à cet 'Evangile', aucun des évangiles n’aurait été écrit. »

mercredi 27 février 2013

La souffrance et l'amour

Jésus a révélé l'amour qui peut endurer la souffrance, qui préfère aimer même s'il faut souffrir plutôt que de ne pas souffrir et de ne pas aimer.
Louis Evely

mardi 26 février 2013

Walk the line, un film sur Johnny Cash

Johnny Cash, le film
Hollywood a rendu hommage à une autre immense légende de la musique américaine, le chanteur Johnny Cash (1932-2003), que le cinéma célèbre aujourd’hui avec Walk the Line.
Des champs de coton, où il aidait ses parents, au devant de la scène, nous assistons à la naissance, consécration, chute puis rédemption d’un enfant de la crise devenu une des grandes figures de la musique américaine.
Dans son livre, Johnny Cash, revient lui-même sur un demi siècle de carrière. Il nous fait vivre sa période de gloire des années 1960-1970. puis la traversée du désert dans les années 1980, l’idylle avec la scène rock alternative et les formidables succès des dernières années qui l’ont replacé en tête des hit-parades et dans le cœur d’un large public. Une carrière mouvementée, à la croisée des genres et des générations.
Tout comme son itinéraire spirituel. Il s’exprime à cœur ouvert sans passer sous silence les aspects les plus sombres de sa vie : « J’étais aussi loin de Dieu que je pouvais l’être. Cette scission vis-à-vis de Lui, la plus profonde et la plus dévastatrice de toutes les formes de solitude que j’ai éprouvées au cours des ans, me paraissent désormais complète. Elle ne l’était pas. Je croyais l’avoir abandonné, mais Lui ne l’avait pas abandonné. Je sentis que quelque chose de très puissant était en train de m’arriver, une sensation de paix absolue, de clarté, de sobriété … lentement après plusieurs échecs et rechutes j’ai retrouvé force et santé mentale, rétablissant aussi le lien qui m’unissait à Dieu … Ma plus grande joie fut de ne plus me sentir coupé de lui. Aujourd’hui, Il est mon Conseiller et le Roc Eternel sur lequel je me tiens debout. »
Après « avoir accordé ses actes à ses convictions » il en parlera haut et fort et chantera sa foi chrétienne retrouvée au travers de plusieurs albums de Gospel. Ses producteurs « auraient préféré me voir en prison que dans une église ». Mais il n’a jamais regretté d’avoir « parler clair ». Peut-on préférer « dix ou vingt ans de ventes de disques au salut éternel ? ».


Il continuera de chanter ses anciennes « chansons de hors-la-loi » que son public réclamait mais avec des gospels où il donnait tout ce qu’il avait en lui.
Cash demeure à jamais une des figures emblématiques de la musique américaine mais également un authentique Gospel à la grâce de Dieu.

lundi 25 février 2013

Mettre Jésus à l'épreuve

Un jour, au moment de la réunion d’ouverture d’une campagne d’évangélisation du pasteur américain Billy Graham, un ivrogne invétéré vint le voir et lui dit :
« Monsieur Graham, je doute qu’il y ait un mot de vrai dans tout ce que vous dites, mais je vais mettre votre Christ à l’épreuve, et s’Il accomplit tant soit peu que vous dites, je reviendrai et je signerais pour la vie. »
Quelques semaines plus tard, il me dit qu’il ne comprenait pas bien pourquoi, chaque fois qu’il commençait à boire, il lui semblait que quelque chose l’arrêtait. Jésus-Christ lui avait donné la victoire. Il retourna dans sa famille, où il vit maintenant pour Jésus. En d’autres termes, il fit demi-tour, changea de direction et de manière de penser – il s’était converti.

Source : Billy Graham, La Paix avec Dieu, Editions GM pages 122-123

dimanche 24 février 2013

Espérer en Jésus



"Quand la nuit me cache Son visage, je place ma confiance dans Sa grâce immuable. Quand tout autour de mon âme semble s’effondrer, c’est Lui qui demeure mon seul espoir. Quand tout s’enfuit loin de moi, je sais que Sa présence m’est assurée. Je garde les pieds fermement fixés sur le Christ, le rocher de mon salut, car tout le reste n’est que sable mouvant !"
Edward More

samedi 23 février 2013

C.S. Lewis parle de Jésus


Dans son livre: Voilà pourquoi je suis chrétien, C.S. Lewis écrit:
"J'essaie ici d'empêcher quiconque de dire la chose la plus stupide qu'une personne puisse dire sur Lui (Jésus-Christ): "Je suis prêt à accepter que Jésus soit un grand enseignant moral, mais je ne reconnais pas qu'il se dise Dieu."
Ceci est la seule chose à ne pas dire. Un homme ordinaire qui aurait dit le genre de choses que Jésus a dites ne serait pas reconnu comme un grand enseignant moral. Il serait plutôt un lunatique – similaire à un homme qui prétendrait être un œuf poché – ou bien il serait le Satan de l'enfer. À vous de choisir. Soit que cet homme était, et est, le Fils de Dieu, ou bien qu'Il était un homme fou ou bien pire encore …
Vous pouvez le traiter de fou, vous pouvez lui cracher dessus et le tuer en tant que démon; ou vous pouvez tomber à ses pieds et le reconnaître comme Seigneur et Dieu. Mais n'en venons pas à un non-sens protecteur en le définissant comme un grand enseignant humain. Il ne nous a pas laissé cette option. Et Il n'en avait pas l'intention."

vendredi 22 février 2013

Comment atteindre Son objectif ?

« Je crois que Dieu a une volonté et un plan individuel pour chaque vie mais que leur application dépend d'une véritable reddition de ma volonté entre ses mains en vue de la réalisation de son objectif, de la façon et à l'endroit qu'il jugera meilleurs pour nous. Mais cela n'implique pas qu'il ne nous laisse pas une liberté de choix considérable dans le cadre même de sa volonté morale. De même, il annule nos erreurs confessés afin qu'elles n'entravent pas sa volonté. » 
J. Oswald SANDERS

jeudi 21 février 2013

Témoignage du pasteur Guy Bergamini (partie 4)


Elisabeth trouva aussi le Berger de son âme. Tout ce que la drogue lui avait pris, le Seigneur de la vie le lui rendit.
Sa santé s’améliora rapidement et malgré une intervention chirurgicale grave, qui devait la laisser stérile à cause des dégâts de la drogue dans ses organes, Jésus l’a guérie.
De l’abîme, Il nous a sauvés.
Notre vie lui appartient pour toujours.
Il l’a racheté à un si grand prix.
Notre seul message est celui-ci : « Jésus est venu chercher et sauver celui qui est perdu ».

mercredi 20 février 2013

Témoignage du pasteur Guy Bergamini (partie 3)


J’étais stupéfait et nerveux à son égard mais ses larmes et ses paroles me touchèrent. Avant de la laisser sur place elle me glissa un morceau de papier où était griffonné son adresse accompagné de ces mots : quand tu veux.
Je trouvai mon dealer à l’endroit convenu en lui reprochant son absence que celui-ci contesta. En effet, on m’assura qu’il était bien là mais que ne l’avais pas vu. Bizarre ! Je compris plus tard, que Dieu, m’avait aveuglé pour ne pas rater un rendez-vous bien plus important.
Le 12 juillet 1972, en fin d’après-midi, nous nous sommes, avec E. retrouvés à l’adresse indiquée. Pendant les trois jours précédents et toute la journée, ces mots résonnaient en moi : « Jésus t’aime, Il est le chemin, la vérité la vie, la paix… » L’amour manifesté par cette femme me travaillait : Pourquoi pleurait-elle pour moi ? Quelqu’un pouvait-il m’aimer, moi, le délinquant, le haineux ? Ce soir là j’ai découvert le message, l’amour inconditionnel et le pardon immense de Jésus. J’ai compris le sens de sa mort sur la croix. J’ai été brisé par son amour pour moi. « Quelqu’un m’avait tellement aimé qu’il avait préféré donner sa vie pour moi. ». A ses pieds, je fus convaincu, lavé et purifié. Une vie nouvelle, une régénération parfaite commença. La paix entra dans mon cœur pour la première fois de ma vie. Ce jour là, je suis devenu l’enfant d’un Père merveilleux. Il me guérit instantanément des chaînes de la drogue. Sa puissance de vie triompha de ma haine, de mon amertume et de mon désir de mort. Jésus fit de moi une nouvelle créature. Combien de fois avais-je aspiré à être différent ? Combien de fois j’avais maudit ceux qui m’avaient donné la vie ?

mardi 19 février 2013

Témoignage du pasteur Guy Bergamini (partie 2)



Un rayon de soleil apparut sur ma route, lorsque pour la première fois, l’amour frappa la porte de mon cœur. J’avais un parcours de relations sexuelles mais l’amour m’était bien inconnu. Ce sentiment, pour moi, n’existait pas. E. une jeune immigrée, d’origine hongroise et serbe, s’attacha à moi.
Malheureusement, il fallait compter avec une maîtresse insensible… la drogue. Rapidement, E. fut prise, elle aussi, dans ses filets et la descente fut vertigineuse. En quelques mois, sa santé, sa scolarité, ses relations familiales, se dégradèrent. Nous vivions dans l’angoisse et la dépression. La pensée de me séparer d’elle hantait mon esprit, la culpabilité me rongeait et je voulais mettre un terme à cette misère.
Nous étions en pleine crise, lorsqu’un soir d’été, pour la première fois, je levai les yeux vers le ciel. Il était splendide. Les étoiles brillaient dans une nuit magnifique et la paix habitait le cosmos. Un souhait est monté des profondeurs de mon être tout en me frappant la poitrine : « Ah, si la paix qui là-haut pouvait être la dedans. ».
Je vivais du slogan peace and love, mais je ne savais rien, ni de la paix ni de l’amour. Tout n’était que haine, amertume, douleurs, honte, violence.
Mon seul refuge était la drogue, et je ne voulais en rien, en cette fin de semaine de juillet, manquer le rendez-vous avec mon dealer. Le trafic était intense entre les frontières suisses et allemandes où j’habitais.
Il nous fallait faire le plein. On ne « dealait » pas à cette époque avec aussi de facilité qu’aujourd’hui, mais à l’heure du rendez-vous, je n’ai vu pas l’ombre du dealer. Agacés, avec E. nous avons quitté les lieux pour marcher dans le centre ville et là, sur une place occupée par des dizaines de jeunes aux cheveux longs et guitares sèches, une femme en petit tailleur, s’approcha de moi et m’interpella avec ces paroles :
« Jeune homme, Jésus vous aime. Vous vous appelez Guy et Il m’a envoyé ici pour vous. Il est le chemin, la vérité et la vie. » Des larmes coulaient sur ses joues. « Il vous aime, il est la réponse que vous cherchez depuis si longtemps. Il peut vous apporter la paix que vous cherchez dans votre monde de drogue. »

lundi 18 février 2013

Témoignage du pasteur Guy Bergamini (partie 1)


« Il n’y a pas de Dieu, il n’y a pas de Dieu » criait ma mère, folle de chagrin lorsque mon beau-frère est revenu de l’hôpital, annonçant la mort de ma jeune sœur Liliane, âgée de 11 ans, mon aînée de trois ans.
Ce dimanche soir, une embolie l’emporta. Atteinte de leucémie, depuis plusieurs mois, la maladie a eu raison de sa jeunesse. Je la vois encore, assise sur son fauteuil roulant, les yeux révulsés, bégayant ses dernières paroles « je m’en vais, je vois Jésus, Jésus… »
D’une certaine manière, j’étais content. Elle n’aurait plus à souffrir, pas seulement de la maladie qui la rongeait mais aussi de toutes les souffrances morales et psychologiques que notre père, alcoolique et violent, nous faisait tous souffrir. Je n’ai aucun souvenir d’un moment de tendresse avec lui.
Nous subissions fréquemment des coups, des agressions verbales, des insultes. La vie était dure, sans argent, et nous étions obligés de travailler dans une grande épicerie, après l’école, pour payer les crédits. Ma mère faisait des ménages.
L’atmosphère de la maison se détériora davantage après la mort de ma sœur et ce, jusqu’au divorce de mes parents. Nous vivions dans un quartier où nombre d’immigrés italiens habitaient.
La plupart travaillaient comme mon père à l’usine Peugeot automobiles. Chaque samedi, la même rengaine, il mettait son costume, passait chez le coiffeur et commençait la tournée des bars et des cabarets de la ville.
Combien de fois, tout jeune, j’allais la nuit le rechercher, ivre mort, effondré sur un trottoir.Rapidement, à mon adolescence, la famille se disloqua.
Après des démêlés avec la justice, mon frère aîné parti pour l’Algérie, dans les commandos de Marine.
Pour ma part, la scolarité devient rapidement épique. Une vraie montagne russe. Dès l’âge de 14 ans, j’ai commencé à traîner, pas grand-chose ne m’intéressait sinon la musique des Rolling Stones, la marijuana et les filles.
Pendant trois ans mon adolescence se passa dans la violence et la petite délinquance. La haine contre toute autorité ravageait mon cœur. Mon père en paya les frais, lorsqu’un soir, ivre et violent, il s’attaqua à moi avec un couteau. Ce soir là, j’ai attenté à ses jours et je suis parti de la maison pour toujours.
Je vivais dans une petite chambre chez ma grande sœur et chez des amis. A cette période, j’ai eu peur et je n’osais pas envisager mon avenir. Je vivais au jour le jour avec une bande de hippies, accroché à la drogue et à la musique. Je courrais de festival pop en festival, de pays en pays, en espérant aller un jour aux Indes.

dimanche 17 février 2013

Sauvée sous les bombes

Ainsi dit l'Eternel : Vous m'avez abandonné et moi je vous ai aussi abandonnés ... Et les chefs ... et le roi s'humilièrent, et dirent : L'Eternel est juste. Et quand l'Eternel vit qu'ils s'étaient humiliés (il dit :) Ils se sont humiliés, je ne les détruirai pas ; je leur donnerai un peu de délivrance.
2 Chroniques 12, 5 - 7
Une jeune étudiante allemande avait, plus d'une fois, entendu l'Evangile, mais son cœur était resté fermé. Elle voulait vivre sa vie et c'est ce qu'elle fit jusqu'au jour terrible du grand bombardement de Hambourg pendant la dernière guerre. En quelques heures, la ville fut transformée en fournaise.
Dans sa fuite éperdue, la jeune fille trouva, avec quelques autres personnes, un refuge dans l'église luthérienne d'un village voisin. Ces pauvres gens, qui avaient tout perdu, pleuraient et se lamentaient.
Le pasteur vint les voir, écouta leurs plaintes et comprit leur détresse. Puis, il demanda un peu de silence : "Mes chers amis, en passant p
armi vous, j'ai entendu au milieu de vos plaintes que je comprends, une phrase dont j'aimerais vous parler. Quelqu'un de vous a dit : Dieu nous a abandonnés. Ce n'est pas vrai. Vous vous trompez. Voici la vérité : c'est nous qui avons abandonné Dieu !"
En nous racontant cet épisode cinquante ans plus tard, celle qui l'a vécu ajoute : "C'est tout ce que j'ai retenu des paroles de ce pasteur. Mais cette phrase a été comme une flèche m'atteignant en plein cœur. Pardessus le fracas des bombes, la voix de Dieu s'adressait à moi et peut-être était-ce pour la dernière fois. J'ai répondu à son appel et je ne l'ai plus jamais quitté."

samedi 16 février 2013

"Par la foi, capitaine"


 
Quand le célèbre missionnaire en Chine, Hudson Taylor, s'est embarqué pour la première fois pour la Chine sur un voilier, ils rencontrèrent une situation très dangereuse. Le vent était complètement nul, et le bateau dérivait vers des îles où les autochtones pratiquaient le cannibalisme. Alors que le bateau s'approchait du rivage, on pouvait apercevoir les indigènes qui se rassemblaient sur les rives attendant l'occasion de faire un repas de tous ceux qui se trouvaient dans le bateau.
Le capitaine est venu vers M. Taylor et lui demanda de commencer à prier, de demander à Dieu d'envoyer du vent.
La réponse de Mr Taylor était fort intéressante, il dit : "Capitaine, je prierai si vous déployez les voiles par la foi, croyant que le vent viendra."
En premier, le capitaine refusa car il ne voulait pas être la risée de l'équipage en ordonnant de déployer les voiles, alors qu'il n'y avait point de vent. Mais Taylor a insisté, "Je ne commencerai pas à prier pour le vaisseau, à moins que vous ne prépariez les voiles !" Et c'est ainsi que le capitaine s'exécuta finalement.
Pendant que Taylor était en prière, on frappa à sa porte et le capitaine entra. Il demanda à Taylor, "Etes-vous encore en train de prier pour le vent ?" "Oui" Répondit Taylor. Le capitaine continua et dit, "Alors, arrêtez de prier, car nous avons plus de vent que nous ne pouvons contrôler !" Et c'est ainsi qu'ils furent saufs !

vendredi 15 février 2013

La foi selon Benjamin Franklin


Le moyen de voir par la foi, c'est de fermer les yeux à la raison.

Benjamin Franklin

Homme politique et physicien américain (1706-1790)
Inventeur du paratonnerre


Qu'en penses-tu ?

jeudi 14 février 2013

"Toi, suis-moi"














Le théologien, médecin et missionnaire protestant Albert Schweitzer (1875-1965) disait : " Jésus-Christ est celui, envoyé par Dieu, qui vient aujourd'hui à notre rencontre, comme il était venu à l'époque à la rencontre des disciples, et leur disait : " Toi, suis-moi ! "

mercredi 13 février 2013

L'unité chrétienne

"L'unité chrétienne féconde ne peut se manifester que dans un climat de respect absolu pour la Bible. Là où des traditions humaines supplantent l'Ecriture, (la Bible) là où des autorités humaines s'arrogent le droit de déchirer telle page du texte sacré, il ne saurait y avoir l'unité telle que le Seigneur Jésus l'a voulue."
Jules Marcel Nicole (1907-1997), pasteur et ancien directeur de l'Institut Biblique de Nogent sur Marne

mardi 12 février 2013

La sens de la vie selon Emmanuel Kant


« Donnez à un homme tout ce qu’il désire et pourtant même à ce moment-là il ressentira que tout n’est pas tout, autrement dit, nous avons été fait pour expérimenter et jouir de quelque chose de plus. »
Emmanuel Kant
Philosophe allemand (1724-1804)