Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
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mardi 9 août 2011
lundi 8 août 2011
dimanche 7 août 2011
Dieu est notre Créateur

Prof. Michael P. Girouard
Girouard, professeur de biologie à l'Université de Louisiane du Sud, croit que la vie n'a pas pu apparaître par hasard, et que les structures les plus complexes et parfaites des protéines et de la cellule, les unités fondamentales de la vie, ont été créées par Dieu. Il a déclaré : « La constitution des êtres vivants est bien plus compliquée que les résultats obtenus dans les expériences de laboratoire. Quand on se tourne vers les lois de la chimie et de la physique pour une explication, c'est ce que nous apprenons : il doit sûrement y avoir une Intelligence, un Créateur ; un Créateur qui a ordonné ces lois. C'est l'explication la plus scientifique. Les lois de la physique et de la chimie nous révèlent avec assurance que l'évolution et la formation des êtres vivants à partir de matière inerte sont impossibles. Par respect envers ces découvertes scientifiques, cela ne termine pas seulement mon discours, mais cela signe aussi la fin de l'évolution. »
samedi 6 août 2011
Je lui confie tout
Bernadette Blesson
Quand Dieu rallume la flamme vacillante de notre vie, il brûle aussi ce qui nous entrave. [ publié dans le magazine Croire et Servir n° 65 - avril 2008 ]
Benjamine d’une famille de six enfants, j’aimais aller à l’église et j’appréciais beaucoup les cantiques. Cependant, mes parents étaient animistes et mon père m’interdisait d’y aller. Il me faisait surveiller par les autres membres de la famille. Cette situation m’a découragée et j’ai grandi sans plus m’intéresser à la religion. J’avais les mêmes croyances que mes parents.
Une partie de moi s’était éteinte
En 1989, ma mère est décédée. Étant le dernier enfant, j’étais très liée à elle. Ma sœur, âgée de vingt ans de plus que moi, m’a fait la promesse de «remplacer» notre mère. Elle a tenu sa parole avec excellence. Elle était là lorsque j’avais besoin d’elle. En 2003, ma sœur est tombée gravement malade. Elle est décédée des suites de cette maladie. Ce décès prématuré a déchiré mon âme. Une partie de moi s’est éteinte avec ma sœur. Ma peine était grande. Aucune parole ne pouvait me consoler; un voile noir avait recouvert toute ma vie.
Un jour, j’ai pris une Bible que j’avais depuis des années chez moi et que je ne lisais pas. Cela m’a procuré une grande paix intérieure. Surprise de ce que je ressentais, j’en ai parlé à ma belle-sœur chrétienne pratiquante. Elle a loué le nom du Seigneur Jésus en disant qu’il est amour. Ensuite, elle m’a expliqué que Dieu m’a envoyé son Saint-Esprit qui est consolateur pour que je retrouve la paix. Il fallait simplement que je me laisse guider. C’est à ce moment que Christ est devenu le maître et le sauveur de ma vie.
Depuis ce moment, je veux rester dans la présence de Dieu et je lui confie tout. Voici deux exemples parmi bien d’autres de ce qu’il a fait pour moi.
Libérée des «masques» et du tabac
Dans ma région, à l’ouest de la Côte d’Ivoire, les «masques» représentent un grand pouvoir pour les animistes. Autrefois j’en avais plusieurs chez moi. Un soir, pendant que je priais, j’ai senti une présence pesante. J’ai eu très peur et j’ai demandé conseil à un pasteur africain, qui a jeûné et prié avec moi et ma belle-sœur (qui est en Afrique) pendant cinq jours. Après j’ai été délivrée et je me suis débarrassée de ces masques.
J’avais pris l’habitude de fumer à tel point que, quand les tabacs étaient fermés autour de chez moi, je demandais à mon fils d’aller à Paris chercher des cigarettes pour satisfaire mon désir. Un jour, pendant que je priais, une voix m’a dit:«Mais comment peux-tu demander au Saint Esprit de venir en toi, habiter ton cœur, alors que tu souilles ton corps?» J’ai alors compris qu’il fallait que je fasse quelque chose: je devais arrêter de fumer. Du jour au lendemain, je n’ai plus ressenti cette envie et je ne ressentais aucun manque.
Aujourd’hui, je prie pour tous les membres de ma famille pour qu’ils acceptent Christ eux aussi afin que leur vie soit elle aussi sauvée.
vendredi 5 août 2011
Dieu a prouvé son amour
Quelqu'un a écrit : "L'amour de Dieu, ce n'est pas seulement des mots - c'est un acte. L'amour de Dieu se nomme : Jésus ! En Jésus, nous voyons Dieu à coeur ouvert. Dieu a donné son fils Jésus en sacrifice, afin que nous ayons la paix, afin que nos fautes soient effacées. Ainsi, jour après jour, nous pouvons vivre du pardon de Dieu. A travers Jésus, nous sommes estimés et honorés de la part de Dieu. Il prend soin de nous et s'inquiète de nous. Il pense à nous et s'occupe de toutes les choses de notre vie. Christ est le vivant et le ressuscité. Il vient à nous, au milieu de notre solitude, et nous ne sommes plus seuls. Il nous écoute et parle avec nous."
jeudi 4 août 2011
Le pouvoir de l'argent
mercredi 3 août 2011
Un jeune compositeur de cantiques.
Ernest von Willich était un jeune garçon de douze ans, fils unique de M. Ehrenfried de Willich, et petit-fils du grand théologien Friederich Schleiermacher. C'était un enfant plein de vie et richement doué. Ses parents l'avaient conduit à la campagne, chez une tante, pour y passer ses vacances, et l'y avaient laissé jouissant du grand air, de, la belle nature et de la liberté. Mais tout à coup il perdit son entrain. Son exubérance de vie fit place à une lassitude extrême. Bientôt il se plaignit que le genou lui faisait mal. Comme on ne remarquait ni enflure, ni ecchymose sur le membre endolori, la bonne tante fit étendre son jeune malade sur un sofa, lui apporta des livres et lui recommanda le rester bien tranquille, espérant que cela ne tarderait pas à aller mieux. Mais au lieu de cela, les douleurs devinrent si violentes qu'il fallut l'emmener immédiatement à B., chez ses parents. le médecin, appelé en toute hâte, ne put se prononcer dès l'abord sur la nature du mal mystérieux qui venait de se déclarer si brusquement. Il ordonna que le jeune Ernest demeurât étendu dans une immobilité complète.
Sur le lit de maladie dont il ne devait jamais se relever, Ernest von Willich, qui avait été jusqu'alors un garçon rempli d'entrain et de vie, montra une douceur et une patience remarquables. Il souffrait ce pendant beaucoup. Au bout de quelques semaines, il se forma sur le genou malade, puis sur d'autres parties du corps, des tumeurs qui percèrent plus tard et préparèrent au pauvre malade d'indicibles tortures. Il vint même un moment où les parents affligés ne surent plus comment prendre ce pauvre corps et dans quelle position le coucher.
Et cependant, au milieu de ses souffrances atroces, l'enfant gardait une inaltérable confiance en Dieu. Jamais il ne sortait de sa bouche un murmure ou une parole d'impatience. Le bâton et la houlette du bon Berger le rassuraient ; il était plus calme, plus, résigné que, tous les siens, et il ne cessait de consoler ses parents profondément, affligés. Il semblait qu'on vit grandir son âme à mesure que le mal détruisait son pauvre corps.
Quand la souffrance lui laissait un peu de répit, Ernest de Willich se plaisait à composer des cantiques. Rien ne lui faisait plus de bien que d'exprimer de la sorte sa confiance dans le Sauveur. Puis, quand les heures de crise devenaient plus cruelles, loin de se laisser aller, il trouvait dans les vers que lui avait dictés sa foi, un motif de plus de lutter, de persévérer et de croire. Ces poésies touchantes soutenaient aussi ses parents affligés, quand ils sentaient leur courage défaillir, et, plus tard, quand leur fils unique eut fermée les yeux pour toujours, ce précieux monument de sa foi leur demeura comme une consolation.
Une de ces poésies a été mise en. musique par l'oncle d'Ernest de Willich, le maître de chapelle Radecke, et est devenue l'hymne favorite de l'empereur Frédéric. En voici la traduction:
Quand Dieu nous donne une croix, Supportons-la sans murmure; Regardons au Roi des rois
Qui console sans mesure. Quoi qu'il m'arrive, ô Seigneur, Avec Toi, plus de frayeur.
Faible est souvent notre cœur, Rempli de désespérance, Quand s'éteint toute lueur
De joyeuse confiance; Mais, Seigneur, dans ton chemin Je suis heureux sous ta main.
Quand j'espère dans la foi, Quand je t'invoque, à mon Père, Quand ta main se tend vers moi,
Plus d'angoisse et de misère; Sur toi repose mon cœur Quoi qu'il m'arrive, ô Seigneur!
L'auguste malade aimait à se la faire chanter. Dans la grande et mystérieuse épreuve qui l'avait frappé, elle descendait sur son cœur comme une brise céleste, et Dieu se servit ainsi du cantique d'un enfant mourant, comme d'un messager pour porter la consolation et la paix dans la chambre de maladie d'un empereur.
Sur le lit de maladie dont il ne devait jamais se relever, Ernest von Willich, qui avait été jusqu'alors un garçon rempli d'entrain et de vie, montra une douceur et une patience remarquables. Il souffrait ce pendant beaucoup. Au bout de quelques semaines, il se forma sur le genou malade, puis sur d'autres parties du corps, des tumeurs qui percèrent plus tard et préparèrent au pauvre malade d'indicibles tortures. Il vint même un moment où les parents affligés ne surent plus comment prendre ce pauvre corps et dans quelle position le coucher.
Et cependant, au milieu de ses souffrances atroces, l'enfant gardait une inaltérable confiance en Dieu. Jamais il ne sortait de sa bouche un murmure ou une parole d'impatience. Le bâton et la houlette du bon Berger le rassuraient ; il était plus calme, plus, résigné que, tous les siens, et il ne cessait de consoler ses parents profondément, affligés. Il semblait qu'on vit grandir son âme à mesure que le mal détruisait son pauvre corps.
Quand la souffrance lui laissait un peu de répit, Ernest de Willich se plaisait à composer des cantiques. Rien ne lui faisait plus de bien que d'exprimer de la sorte sa confiance dans le Sauveur. Puis, quand les heures de crise devenaient plus cruelles, loin de se laisser aller, il trouvait dans les vers que lui avait dictés sa foi, un motif de plus de lutter, de persévérer et de croire. Ces poésies touchantes soutenaient aussi ses parents affligés, quand ils sentaient leur courage défaillir, et, plus tard, quand leur fils unique eut fermée les yeux pour toujours, ce précieux monument de sa foi leur demeura comme une consolation.
Une de ces poésies a été mise en. musique par l'oncle d'Ernest de Willich, le maître de chapelle Radecke, et est devenue l'hymne favorite de l'empereur Frédéric. En voici la traduction:
Quand Dieu nous donne une croix, Supportons-la sans murmure; Regardons au Roi des rois
Qui console sans mesure. Quoi qu'il m'arrive, ô Seigneur, Avec Toi, plus de frayeur.
Faible est souvent notre cœur, Rempli de désespérance, Quand s'éteint toute lueur
De joyeuse confiance; Mais, Seigneur, dans ton chemin Je suis heureux sous ta main.
Quand j'espère dans la foi, Quand je t'invoque, à mon Père, Quand ta main se tend vers moi,
Plus d'angoisse et de misère; Sur toi repose mon cœur Quoi qu'il m'arrive, ô Seigneur!
L'auguste malade aimait à se la faire chanter. Dans la grande et mystérieuse épreuve qui l'avait frappé, elle descendait sur son cœur comme une brise céleste, et Dieu se servit ainsi du cantique d'un enfant mourant, comme d'un messager pour porter la consolation et la paix dans la chambre de maladie d'un empereur.
mardi 2 août 2011
Remettre sa vie entre les mains de Dieu
Si ce n’est pas votre propre gloire que vous recherchez, Dieu ne fixera aucune limite à ce qu’Il peut faire à travers nous.
Alors âgé de plus de 90 ans, George Müller s’adressa à une assemblée des pasteurs et autres serviteurs chrétiens : «
Bien que je mes sois converti en novembre 1825, ce n’est que quatre ans
plus tard, en 1829, que je remis ma vie totalement entre les mains de
Dieu. Là, j’ai compris que je venais de me dépouiller à la fois de ma
passion pour l’argent, de ma course effrénée à la gloire personnelle, de
la position que j’occupais dans la vie mais aussi de tous les plaisirs
du monde.
Dieu, et Lui seul, devint alors mon tout. En Lui, je trouvais
tout ce dont j’avais besoin, et je ne désirais rien d’autre. Jusqu’à ce
jour, par la Grâce, j’ai compris qu’Il m’accordait toujours toute chose
en quantité suffisante, et ma nouvelle condition à fait de moi un homme
totalement heureux. J’ai ainsi appris à ne m‘intéresser qu’aux choses
d’en haut ».
lundi 1 août 2011
dimanche 31 juillet 2011
Appelés à servir

"
Notre tendance humaine nous pousse à éviter ce qui est banal pour nous
tourner vers le spectaculaire, mais ce n'est pas le style de Dieu. Un
caractère chrétien démontré par les fruits de l'Esprit peut être tout
aussi simplement visible dans les petites tâches que dans les grandes.
La meilleure façon de découvrir la volonté de Dieu pour nos vies [est]
de servir là où nous sommes. Beaucoup d'entre nous rencontrent des gens
qui déclarent être appelés à faire de grandes choses pour Dieu.
Néanmoins, en attendant que ces grandes choses se produisent, ils ne
font rien. Ils ne sont pas disposés à faire quoi que ce soit qui serait
"inférieur" à leur appel. Mais ce n'est pas le style de Dieu, il veut
que nous commencions par être fidèles dans les petites choses ."
Floyd McCLUNG, Découvrez votre destinée, JEM, Burtigny, 1988.
Floyd McCLUNG, Découvrez votre destinée, JEM, Burtigny, 1988.
samedi 30 juillet 2011
« Comment résumeriez-vous votre vie en quelques mots ? »
L'évangéliste et pasteur Billy Graham (1918), qui consacra sa vie à servir Dieu, fut interviewé alors qu’il était très malade un jour. Lorsqu’on lui posa la question : « Comment résumeriez-vous votre vie en quelques mots ? », il répondit simplement, « Je suis un pécheur ayant besoin de la grâce et du pardon de Jésus. »
vendredi 29 juillet 2011
Le retour du Christ

«
Si je crois au retour de Christ, c’est également à cause des signes
annonciateurs que mentionne l’Écriture (la Bible). Je ne suis pas
prophète et n’ajoute pas un grand crédit à ceux qui tentent de fixer une
date précise pour le retour de Christ ; la Bible dit que nous n’en savons ni le jour ni l’heure. »
James D.Kennedy
Pourquoi je crois, Éditions Vida (épuisé),
page 165.
jeudi 28 juillet 2011
Les efforts perpétuels
" Les efforts perpétuels de l'homme pour
se prendre en main, aussi intense soient-ils, aboutissent à
l'asservissement le plus intolérable qui l'empêche d'atteindre
l'objectif qui lui était fixé.
La vraie liberté de l'Homme ne réside pas dans un pouvoir sans entrave à diriger sa vie, que ce soit dans un sens politique ou dans un sens stoïque. Elle se trouve dans une vie avec Dieu, conforme à l'intention originelle de Dieu pour l'Homme. Il ne l'acquiert qu'en renonçant à lui-même. Paradoxalement, l'Homme libre ne s'appartient pas à lui-même. Il appartient à celui qui l'a affranchi."
J. Blunk
La vraie liberté de l'Homme ne réside pas dans un pouvoir sans entrave à diriger sa vie, que ce soit dans un sens politique ou dans un sens stoïque. Elle se trouve dans une vie avec Dieu, conforme à l'intention originelle de Dieu pour l'Homme. Il ne l'acquiert qu'en renonçant à lui-même. Paradoxalement, l'Homme libre ne s'appartient pas à lui-même. Il appartient à celui qui l'a affranchi."
J. Blunk
mercredi 27 juillet 2011
Motivé pour faire sa volonté ?
« Si notre objectif est de découvrir la volonté de Dieu et de l'accomplir est pur, notre prière aura pour résultat une redirection de notre motivation et un renforcement de notre objectif. La prière dirigée par l'Esprit est le moyen principal d'être orienté. A travers la prière, nous pouvons vérifier toute direction reçue. En l'absence de prière authentique dans l'Esprit, il y a peu d'expérience de l'orientation du Saint-Esprit. »
mardi 26 juillet 2011
La vie éternelle à ceux qui croient en Lui
"Oui, Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique. Ainsi, tous ceux qui croient en lui ne se perdront pas loin de Dieu, mais ils vivront avec lui pour toujours" (Jean 3.16).
Dans nos moments les plus heureux, nous ne voulons pas mourir.
Le désir de mourir se fait sentir uniquement quand nos souffrances nous semblent insupportables. Ce que nous souhaitons réellement, dans ces moments-là, n’est pas la mort, mais un soulagement. Nous voudrions tant que les bons moments reviennent. Nous voudrions que la douleur s’en aille. Nous voudrions que nos biens aimés reviennent du tombeau. Nous voulons la vie et le bonheur…
Nous nous trompons nous-mêmes quand nous donnons un côté romantique à la mort, en la considérant comme l'apogée d'une vie bien vécue. Elle est une ennemie. Nous lui donnons des noms doux comme si c’était un moindre mal. Pourtant elle nous coupe des merveilleux plaisirs de ce monde. Le bourreau qui fournit le coup de grâce dans notre douleur ne veille pas à la réalisation de nos aspirations, mais marque la fin de l'espoir. Les aspirations du cœur humain sont vivre et être heureux.
Dieu nous a fait ainsi : "Il a donné aussi aux humains le désir de connaître à la fois le passé et l’avenir" (Ecclésiaste 3.11). Nous sommes créés à l’image de Dieu, et Dieu qui aime la vie, vit éternellement. Et nous vivrons éternellement. L’opposé de la vie éternelle est la condamnation éternelle. C’est l’enfer. Jésus en parle mieux que quiconque, et il a expliqué clairement, que rejeter la vie éternelle qu’il offrait, aurait comme conséquence de devoir affronter la colère de Dieu : "Celui qui croit au Fils a la vie avec Dieu pour toujours. Celui qui refuse de croire au Fils ne verra pas cette vie, mais la colère de Dieu restera sur lui" (Jean 3.36).
Et cette réalité demeure éternellement. Jésus disait : "Ils partiront pour recevoir une punition qui dure toujours. Mais ceux qui ont obéi à Dieu partiront pour recevoir la vie avec Dieu pour toujours" (Matthieu 25.46). C’est une indicible réalité qui montre l'importance du péché de traiter Dieu avec indifférence et mépris. Ainsi Jésus avertit : "Si ton œil te fait tomber dans le péché, arrache-le. Pour toi, il vaut mieux entrer dans le Royaume de Dieu avec un seul œil. C’est mieux que de garder les deux yeux, et d’être jeté dans le lieu de souffrance. Là, les vers ne meurent pas et la souffrance brûle toujours comme un feu" (Marc 9.47-48).
Ainsi la vie éternelle n’est pas simplement une extension de cette vie avec son lot de souffrance et de plaisir. Comme l’enfer est le pire résultat de cette vie, ainsi la vie éternelle en est la meilleure. Elle est le bonheur suprême et sans cesse croissant, où tous les péchés et les tristesses auront disparu. Tous ce qui est mal et nocif dans cette création déchue sera enlevé. Tout ce qui est bon - tout ce qui apporte la vérité et un bonheur éternel - sera préservé, purifié et rendu plus intense.
Nous serons changés pour être capable d’une dimension de bonheur que nous ne pouvions concevoir dans cette vie : "Il y a des choses que les yeux ne voient pas. Les oreilles ne les entendent pas, les êtres humains n’y ont jamais pensé. Eh bien, ces choses-là, Dieu les a préparées en faveur de ceux qui ont de l’amour pour lui" (1 Corinthiens 2.9). Cela est vrai pour chaque moment de la vie, maintenant et toujours. Car ceux qui mettent leur confiance en Christ savent que le meilleur est à venir. Nous allons voir la gloire de Dieu qui nous satisfait pleinement.
"Et la vie pour toujours, c’est te connaître, toi, le seul vrai Dieu, et connaître celui que tu as envoyé, Jésus-Christ" (Jean 17.3). C'est pour cela que Christ a souffert et qu'il est mort.
Pourquoi nous ne pas le saisir comme notre trésor, et vivre ?
John Piper
John Piper
lundi 25 juillet 2011
La conséquence de la Résurrection de Jésus
Un auteur inconnu raconte d'une manière très descriptive les changements survenus dans la vie des apôtres: « Le jour de la crucifixion, ils étaient pleins de tristesse; le premier jour de la semaine, de joie. A la crucifixion ils étaient désespérés; le premier jour de la semaine, leur cœur rayonnait de certitude et d'espoir.
Quand le message de la résurrection leur parvint pour la première fois, ils étaient incrédules et difficiles à persuader, mais une fois convaincus, ils ne doutèrent plus jamais.
A quoi attribuer le changement prodigieux opéré chez ces hommes en si peu de temps? Le simple enlèvement du corps hors du tombeau n'aurait jamais pu transformer leur esprit et leur caractère.
Trois jours ne suffisent pas pour faire naître une légende les affectant à ce point. Le processus de développement d'une légende demande du temps. C'est un fait psychologique qui exige une explication complète.
Pensez au peut-on au caractère des témoins, ces hommes et ces femmes qui donnèrent au monde l'enseignement éthique le plus élevé qu’il n’ait jamais connu et qui, même au dire de leurs ennemis, le pratiquaient dans leur propre vie.
Pensez à l'absurdité psychologique consistant à imaginer une petite bande de poltrons vaincus, tapis un jour dans une chambre haute et transformés quelques jours plus tard en une compagnie qu'aucune persécution ne pouvait réduire au silence.
Puis tenter d'attribuer ce changement spectaculaire à rien de plus convaincant qu'un misérable mensonge qu'ils auraient essayé d'imposer au monde! Cela n'aurait tout simplement aucun sens.»
Pensez à l'absurdité psychologique consistant à imaginer une petite bande de poltrons vaincus, tapis un jour dans une chambre haute et transformés quelques jours plus tard en une compagnie qu'aucune persécution ne pouvait réduire au silence.
Puis tenter d'attribuer ce changement spectaculaire à rien de plus convaincant qu'un misérable mensonge qu'ils auraient essayé d'imposer au monde! Cela n'aurait tout simplement aucun sens.»
« Bien plus qu’un charpentier » par Josh McDowell
© Campus pour Christ, p. 26
dimanche 24 juillet 2011
Le vieux chrétien et ses enfants
Je fais ma joie de ta parole comme celui qui trouve un grand trésor : Psaume 119.162
Un vieux chrétien, sentant sa mort prochaine,
Fit venir ses enfants, leur parla dans sa peine :
“ Gardez-vous, leur dit-il de jeter cette Bible
Que nous ont laissée nos parents.
Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas à quelle page,
Mais avec un peu de courage
Vous le trouverez
Sans trop vous fatiguer.
Peut-être pas demain,
Mais j’en suis certain,
Vous découvrirez le secret,
Sans déception ni regret.
Tournez ses pages,
Lisez, comparez, réfléchissez,
Cherchez et relisez son message.
Ne laissez nulle place
Où vos yeux ne passent et repassent. ”
Le père mort, et dans l’espoir de découvrir de quoi mieux vivre,
Les enfants épluchent le Livre
Du début à la fin.
Du soir au matin
Ils assimilent ce texte saint,
Si bien qu’au bout d’un certain temps
Ils s’écrient en chantant :
“ Le trésor, c’est Jésus, le Fils de Dieu,
Mort pour nous ouvrir les cieux. ”
D’argent, point de caché ;
Mais le père fut sage
De les avoir incités à chercher dans ces pages
Le secret du pardon de leurs péchés.
Charles Rickd’après “ Le laboureur et ses enfants ” de Jean de La Fontaine.
Libellés :
la mort de Jésus sur la Croix
samedi 23 juillet 2011
Vieillir avec grâce
Si même notre homme extérieur dépérit, toutefois l'homme intérieur est renouvelé de jour en jour... Nous avons un édifice de la part de Dieu, une maison qui n'est pas faite de main, éternelle, dans les cieux. 2 Corinthiens 4. 16 ; 5. 1
« Pour envisager la vieillesse avec sérénité, il faut posséder la joie que donne la foi », disait Saint Augustin.
La vieillesse du professeur d'histoire de la philosophie Ernest Naville (1816-1909) illustre cette affirmation. Cet universitaire suisse se préoccupait de moins en moins de lui-même, dans sa joie de se rapprocher de l'éternité :
« Je commence chacune de mes journées, écrivait-il, comme si ce devait être la dernière.
Lorsque nous passons par les ombres d'ici-bas, pensons à la maison du Père, à cette rencontre avec le Christ crucifié, ressuscité, glorifié ; ce sera un rayon de lumière dans les ténèbres de la vie...
Mais pour que la maison du Père nous soit ouverte, il faut que nous ayons d'abord été purifiés de nos péchés. Le Crucifié nous a apporté le pardon. Le Ressuscité veut nous envoyer la force pour vaincre le mal ; il la demande pour nous.
Pourquoi Jésus de Nazareth est-il sorti vivant du tombeau ? Parce qu'il est le Prince de la vie. Sa résurrection garantit la nôtre ; elle nous enseigne que la mort est une des grandes fonctions de la vie, le passage à un mode d'existence supérieur à notre existence actuelle ; c'est la fin du pèlerinage de la terre et l'entrée dans la véritable patrie...
La sortie du tombeau n'est pas seulement la preuve de la mission de Jésus, c'est le triomphe sur la mort pour ceux qui sont unis à Lui, c'est la mise en évidence de la vie et de l'immortalité. »
Source : La Bonne Semence
vendredi 22 juillet 2011
“C'est pour la liberté que Christ nous a libérés”
« Après avoir pardonné, vous entrez dans un processus. C'est un effort conjugué de Dieu et de vous-même. On n'oublie pas tout avec un claquement de doigts, même si la délivrance est parfois immédiate.
Par exemple, certains arrêtent de fumer sans trop d'effort, alors que d'autres ont besoin de patchs de nicotine pendant longtemps encore ! Les vieilles habitudes ont la vie dure, et renoncer à l'amertume signifie :
1. Renouveler votre décision de pardonner aussi longtemps que des pensées de vengeance traversent votre esprit.
2. Rester dans la paix jusqu'à ce que la place libérée par l'amertume, les regrets et les désirs de vengeance soit entièrement prise par le Saint-Esprit.
3. Abandonner d'anciennes relations nuisibles, ainsi que les personnes qui vous reparlent sans cesse de vos vieilles blessures. Changer soi-même parmi des gens qui ne changent pas peut leur montrer la nécessité de changer eux-mêmes, mais cela peut aussi les effrayer.
4. Songer que tout comme le salut est une expérience immédiate suivie d'un processus de sanctification, le pardon est un acte immédiat qui doit être suivi d'un processus de guérison.
5. Vivre une vie dégagée de tout ressentiment.
C'est un choix qui en appelle une série d'autres. Mais chaque fois, le choix devient plus facile et nous éloigne un peu plus du ressentiment.
Paul a dit : “C'est pour la liberté que Christ nous a libérés” (Galates 5.1). Chaque fois que nous libérons quelqu'un, nous devenons plus libres. C'est un principe spirituel garanti qui a fait ses preuves et qui est confirmé par les Écritures ».
Kristin Armstrong
jeudi 21 juillet 2011
mercredi 20 juillet 2011
Un Dieu qui lave les pieds

Lisez : Jean 13.1-5
« [Jésus] versa de l'eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint..» Jean 13.5
Des questions au sujet de l’existence de Dieu ont souvent troublé Herbert Arthur Hodges (1905-1976), brillant jeune professeur de philosophie à l’Université d’Oxford. Un jour, tandis qu’il se promenait dans la rue, il est passé devant un magasin d’art. Son attention a été attirée par un tableau bien simple exposé dans la vitrine. Il montrait Jésus s’agenouillant pour laver les pieds de ses disciples.
Hodges connaissait l’histoire relatée dans Jean 13 : Dieu incarné lavant des pieds humains. Mais soudain, la signification profonde de cette scène a saisi le cœur de ce jeune philosophie. Dieu- Dieu ! – qui s’humilie pour accomplir la tâche la plus vile ! Il s’est dit : Si Dieu est ainsi, alors ce Dieu sera mon Dieu ! La vue de ce tableau est un des événements qui ont amené Hodges à abandonner sa vie au Dieu véritable : le Dieu qui lave les pieds.
En lisant Jean 13 attentivement, nous voyons que Dieu est bien le Dieu qui lave les pieds. Son amour sacrificiel insondable pour nous devrait nous pousser, nous aussi, à nous abandonner à lui.
Auteur inconnu
« [Jésus] versa de l'eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint..» Jean 13.5
Des questions au sujet de l’existence de Dieu ont souvent troublé Herbert Arthur Hodges (1905-1976), brillant jeune professeur de philosophie à l’Université d’Oxford. Un jour, tandis qu’il se promenait dans la rue, il est passé devant un magasin d’art. Son attention a été attirée par un tableau bien simple exposé dans la vitrine. Il montrait Jésus s’agenouillant pour laver les pieds de ses disciples.
Hodges connaissait l’histoire relatée dans Jean 13 : Dieu incarné lavant des pieds humains. Mais soudain, la signification profonde de cette scène a saisi le cœur de ce jeune philosophie. Dieu- Dieu ! – qui s’humilie pour accomplir la tâche la plus vile ! Il s’est dit : Si Dieu est ainsi, alors ce Dieu sera mon Dieu ! La vue de ce tableau est un des événements qui ont amené Hodges à abandonner sa vie au Dieu véritable : le Dieu qui lave les pieds.
En lisant Jean 13 attentivement, nous voyons que Dieu est bien le Dieu qui lave les pieds. Son amour sacrificiel insondable pour nous devrait nous pousser, nous aussi, à nous abandonner à lui.
Auteur inconnu
mardi 19 juillet 2011
lundi 18 juillet 2011
dimanche 17 juillet 2011
J’avais soif de spirituel
Guillaume : "J’ai cherché la vérité dans la philosophie et les spiritualités orientales. Toute ma vie, on ne m’avait parlé que d'élever son âme pour devenir dieu..." [ publié dans le magazine Croire et vivre n° 67 - juin 2008 ]
J'ai eu une petite enfance heureuse dans une belle maison à la campagne, près de Bordeaux. J'avais des parents, la santé et tout semblait bien parti. Malheureusement, l'enfer a commencé au moment de mon adolescence. Mes parents ont raté l'affaire dans laquelle ils s'étaient lancés et la conséquence, c'est qu'ils ont divorcé. Mon père a sombré dans l'alcool et la misère, tout seul, puis un long et dégradant cancer l'a retranché de ce monde. J'étais en troisième.
Comme une éponge
J'étais catholique par étiquette: j'avais fait du catéchisme et allais à la messe tous les dimanches, mais sans en retenir la moindre parcelle. Parallèlement, ma mère m'emmenait tous les samedis après-midi à une séance de médium et de guérisseur! Sans que je m'en rende compte, j'ai commencé à m'imprégner de l'atmosphère. En fait, j'étais une éponge et tout ce que j'ai vécu pendant mon adolescence s'est incrusté en moi.
Pratiquant les arts martiaux, je me suis plongé dans la culture orientale, que je finissais par mieux connaître que celle de mon pays. Mais à partir de ces années, ma vie est devenue de plus en plus horrible. La nuit, j'étais terrifié. J'ai découvert l'angoisse. La solitude et le chagrin m'ont également assailli.
Alors j'ai cherché la vérité à travers tout ce qui se présentait à moi : philosophie, ésotérisme, spiritualités. À 16 ans, je voulais partir dans un ashram en Inde pour trouver un maître. En pleine crise d'identité, je recherchais partout la réincarnation pour comprendre ce que j'avais fait pour mériter tant de souffrances. Mais bien loin d'être exaltants, tous les chemins que j'ai pu prendre se sont révélés être un labyrinthe. Quand j'ai pris conscience de cela, la folie avait commencé à poindre dans ma vie; je me réservais le suicide comme dernière porte. Mais je m'étais promis avant ça de me battre jusqu'au bout pour trouver l'éveil et être en paix.
Une solution venue d’où je ne l’attendais pas
Un jour, on m'a offert une petite bible de poche. Je n'avais jamais lu ce livre et il me rebutait, sans que je sache trop pourquoi. Cette année-là, en même temps, je me suis fait un ami chrétien. Il a été le premier à me parler de Jésus-Christ, qui était très différent de celui que je croyais connaître. Alors, intrigué, je suis allé à un groupe d'étudiants chrétiens. Au début je me suis moqué d'eux. Comment voulaient-ils m'apprendre quelque chose avec un seul livre, à moi qui en avais lu des centaines? Mais j'étais prêt à essayer ça encore. Qu'avais-je à perdre? Je voyais ma vie comme un immense champ de bataille et de ruines et je ne savais plus vers qui me tourner.
Alors je me suis mis à lire la Bible. Au début, c'était très dur; je n'y comprenais rien. Surtout, c'était très différent de tout ce que j'avais pu lire auparavant. Puis j'ai décidé de rencontrer un pasteur. Il m'a expliqué alors le pardon pour la présence du mal en moi que Dieu voulait m'offrir et la nouveauté de vie que Jésus-Christ donne. Et un jour, j'ai pris conscience que j'étais effectivement pécheur (c'est-à-dire que j'avais le mal en moi). J'ai compris que c'était cela qui m'empêchait d'accéder à la vérité. J'ai accueilli le Christ venu me sauver, mourir à ma place et me réconcilier avec Dieu. Et l'éveil que je cherchais s'est produit. La paix que je voulais trouver s'est présentée à moi. Depuis, j'apprends à découvrir la grâce de Dieu, à connaître Jésus et à l'aimer.
Toute ma vie, on ne m'avait parlé que de hauteurs, d'être appelé à devenir dieu. Mais j'ai rencontré la vérité au plus bas.
Source : http://www.croireetvivre.com/
samedi 16 juillet 2011
La prière d'un pasteur
Je me confie en toi, Seigneur car je sais que tu es un Dieu fidèle pour tous ceux qui se confient en toi. Quand je suis dans les ténèbres,tu es ma vie; quand je suis en prison,tu es avec moi; quand les hommes me maudissent,tu me bénis; quand ils m'affligent,tu me rassures: quand ils me battent,tu me relèves; et même si je marche dans la vallée sombre, tu seras toujours avec moi.
Menno Simons (1496-1561)
vendredi 15 juillet 2011
L'amour de Dieu en nous
jeudi 14 juillet 2011
Une donnée historique primordiale
Il faut bien reconnaître que la croyance en Dieu a été jusqu'à aujourd'hui une donnée permanente de l'histoire des hommes.
Jean Bruhat, historien français (1905-1983)
mercredi 13 juillet 2011
mardi 12 juillet 2011
Le but de Satan avec les hommes

Satan recherche toujours à injecter le poison (du péché) dans nos cœurs pour discréditer la bonté de Dieu - spécialement en connexion avec ses commandements. Voilà ce qui se trouve derrière tout ce qui est mal, les désirs sexuels et la désobéissance. Un mécontentement avec notre position et notre partie, une envie irrésistible de quelque chose que Dieu a sagemment gardé pour nous. Rejettez toute suggestion que Dieu est excessivement sévére avec vous. résistez avec la plus grande aversion de tout ce qui vous amène à douter de l'amour de Dieu et de sa bienveillance envers vous. N'autorisez rien qui remet en question l'amour de Dieu le Père envers son enfant
Arthur W. Pink
Satan is ever seeking to inject that poison into our hearts to distrust God's goodness - especially in connection with his commandments. That is what really lies behind all evil, lusting and disobedience. A discontent with our position and portion, a craving from something which God has wisely held from us. Reject any suggestion that God is unduly severe with you. Resist with the utmost abhorrence anything that causes you to doubt God's love and his lovingkindness toward you. Allow nothing to make you question the Father's love for his child.
Arthur W. Pink
Arthur W. Pink
Satan is ever seeking to inject that poison into our hearts to distrust God's goodness - especially in connection with his commandments. That is what really lies behind all evil, lusting and disobedience. A discontent with our position and portion, a craving from something which God has wisely held from us. Reject any suggestion that God is unduly severe with you. Resist with the utmost abhorrence anything that causes you to doubt God's love and his lovingkindness toward you. Allow nothing to make you question the Father's love for his child.
lundi 11 juillet 2011
Quel attitude adopter face à la Bible ?
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