Par une journée suffocante de l'été 386 en Afrique du Nord, le jeune Augustin est assis dans le jardin de son ami Alypius. Brillant professeur de rhétorique, il sent que sa vie immorale le conduit à une impasse et sa conscience est tourmentée. Dans le jardin voisin, un enfant est en train de chanter : « Prends et lis... Prends et lis. » Augustin a pris un rouleau de parchemin sur la table basse à côté de lui. Il tient dans les mains une copie de la lettre de l'apôtre Paul aux chrétiens de Rome. Il se met à lire. Ses yeux s'arrêtent sur cette phrase : « Conduisons-nous honnêtement, comme en plein jour, sans orgies ni ivrogneries, sans immoralité ni débauches, sans querelles ni jalousie. Mais revêtez le Seigneur Jésus Christ. » (Romains 13. 13-14). La conclusion est claire : il lui faut abandonner sa mauvaise conduite et suivre le Christ. Ce jour-là, le jeune homme se convertit et devient celui qu'on a appelé Saint Augustin. Les prières de sa mère sont exaucées.
Sous les apparences exaltantes du progrès des sciences et des techniques, notre siècle cache un réel désespoir, notamment parmi la jeunesse, qui compte un taux élevé de suicides et de très fortes expressions de violence, signes d'un mal-être profond. La solution est-elle dans les plaisirs, les loisirs, dans le travail ou dans un quelconque idéal... ? Le seul espoir de l'homme qui a reconnu sa faillite morale, est en Jésus Christ, le Sauveur que Dieu lui a donné.
Sous les apparences exaltantes du progrès des sciences et des techniques, notre siècle cache un réel désespoir, notamment parmi la jeunesse, qui compte un taux élevé de suicides et de très fortes expressions de violence, signes d'un mal-être profond. La solution est-elle dans les plaisirs, les loisirs, dans le travail ou dans un quelconque idéal... ? Le seul espoir de l'homme qui a reconnu sa faillite morale, est en Jésus Christ, le Sauveur que Dieu lui a donné.
1 commentaire:
Cet épisode contant la conversion d'un des Pères de l'Eglise m'était inconnu. Au moment opportun où l'on se pose des questions existentielles, Dieu nous envoie un signe sous n'importe quelle forme comme ici à Augustin pour nous amener à changer d'état en épousant la voie de son Fils plane, sans risques. Amen !
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