L’écrivain anglais C.S. Lewis (1898-1963) dans son ouvrage Christian Behaviour, dit ceci :
« L’espérance est une des vertus théologiques. Cela veut dire que si nous nous réjouissons continuellement à la pensée du monde éternel, ce n’est pas, comme certaines personnes le pensent, une forme de fuite ou une tentative de prendre nos désirs pour la réalité, mais une des attitudes que la chrétien est censé avoir. Cela ne signifie pas que nous devions laisser le monde tel qu’il est. Si vous étudiez l’histoire, vous verrez que les chrétiens qui ont fait le plus pour le monde présent étaient ceux qui pensaient le plus au monde à venir. C’est depuis que les chrétiens ont cessé de se préoccuper de l’autre monde qu’ils sont devenus aussi peu efficaces pour ce monde. Visez le ciel et vous atteindrez la terre. Visez la terre et vous n’arriverez nulle part. »
Ce monde connaît le pessimisme, la mélancolie et les frustrations. La seule lumière resplendissant d’espérance pour les croyants, c’est la promesse de Jésus-Christ : « Lorsque je m’en serai allé et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai ». (Jean 14,3).
Jésus accomplira cette promesse. Quelle espérance pour celui qui croit en Jésus qui sait qu’il n’est que de passage sur cette terre. As-tu cette espérance ?
Article écrit par Samuel, un membre du GBU d’Orléans
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