FRIEDRICH NIETZSCHE (1844-1900) fut un philosophe allemand athée. Voici ce qu'il déclara vers 1899, peu avant d'être atteint de démence :
“Au Dieu inconnu... à qui j’ai consacré au plus profond du cœur des autels, que ta voix me rappelle sans cesse. Et que maintenant s’enflamme la Parole gravée : Au Dieu inconnu. Je lui appartiens, même si à l’heure actuelle je fais partie du clan des impies, je lui appartiens - et je sens au milieu de la lutte les collets qui me lient à Lui, nonobstant mon désir de fuir, ils me forcent à le servir. .. O Toi, l’Inconcevable, à moi apparenté ! Je veux te connaître, te servir.” (F. Nietzsche, Dem unbekannten Gott, nach K. Löwith, Zeit-u. Unzeit-gemässes, Frankf.a.M.,1956,240)
“Au Dieu inconnu... à qui j’ai consacré au plus profond du cœur des autels, que ta voix me rappelle sans cesse. Et que maintenant s’enflamme la Parole gravée : Au Dieu inconnu. Je lui appartiens, même si à l’heure actuelle je fais partie du clan des impies, je lui appartiens - et je sens au milieu de la lutte les collets qui me lient à Lui, nonobstant mon désir de fuir, ils me forcent à le servir. .. O Toi, l’Inconcevable, à moi apparenté ! Je veux te connaître, te servir.” (F. Nietzsche, Dem unbekannten Gott, nach K. Löwith, Zeit-u. Unzeit-gemässes, Frankf.a.M.,1956,240)
Source : http://www.atoi2devoir.com/
1 commentaire:
Ne nous laissons pas perturber par le Satan qui se plaît à bouger les choses dans le monde pour faire naître des obstacles devant nous si nous avons des objectifs à atteindre de quelque ordre que ce soit. Avec Dieu, comme le souligne fort justement Marc-Aurèle ce grand empereur, tout est bien... s'il existe et il l'est mes amis ! Marc-Aurèle en a fait l'expérience pendant une campagne difficile contre les Germains, expé relatée dans son journal. Dieu se manifeste à nous à tout moment soucieux de nous démontrer son amour pour nous que nous croyons ou non en lui. A nous de l'accepter ou pas, nous sommes des êtres libres et pensants, que Dieu ne force pas. C'est un choix du coeur personnel à faire comme aurait pu le prendre l'empereur Marc-Aurèle après avoir constaté avec grand étonnement que le Dieu des chrétiens au contraire des dieux romains était intervenu dans sa campagne à un moment critique.
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