Un chrétien soucieux de faire connaître l’Évangile, avait installé à la sortie des usines Peugeot à Sochaux, une petite table avec des Bibles et des Evangiles.
Un cercle de curieux venait de se former quand survint un grand gaillard qui, prenant notre ami au collet, se mit à lui dire : "Moi, je crois ce que je vois ! Fais-moi voir ton Dieu et je croirai mais pas avant !"
Notre ami, ayant supplié Dieu de l'inspirer, accepta le défi et, avec sa permission, dirigea le visage de son contradicteur face au soleil. L'incrédule ferma les yeux, trop ébloui par les rayons ardents.
- Tu voudrais voir Dieu, mais tu n'es même pas capable de regarder quelques instants le soleil qu'il a créé.
Un cercle de curieux venait de se former quand survint un grand gaillard qui, prenant notre ami au collet, se mit à lui dire : "Moi, je crois ce que je vois ! Fais-moi voir ton Dieu et je croirai mais pas avant !"
Notre ami, ayant supplié Dieu de l'inspirer, accepta le défi et, avec sa permission, dirigea le visage de son contradicteur face au soleil. L'incrédule ferma les yeux, trop ébloui par les rayons ardents.
- Tu voudrais voir Dieu, mais tu n'es même pas capable de regarder quelques instants le soleil qu'il a créé.
Source : Topchrétien
1 commentaire:
Face à l'ouvrier moqueur qui ne croit que ce qu'il voit, le chrétien avait le sens de la répartie qui fait mouche : tant qu'on se cantonne à ne croire que les choses visibles on empêche la personne de Dieu de se dévoiler à nous via les résultats d'une prière qui remonte à lui par son Fils Jésus notre Avocat sur cette terre. Ne dressons pas des murs entre Lui et nous sinon tout comme fixer le soleil en face nous ne supporterons pas sa Lumière seulement visible par les croyants.
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