Il donne de la nourriture à ceux qui le craignent.
Psaume 111. 5
Avant qu'ils crient, je répondrai, et pendant qu'ils parlent, j'exaucerai.
Esaïe 65. 24
Psaume 111. 5
Avant qu'ils crient, je répondrai, et pendant qu'ils parlent, j'exaucerai.
Esaïe 65. 24
Dans une maison isolée des Highlands écossais vivait une veuve sans ressources, mais soutenue dans sa solitude par la compagnie de son Dieu.
C'était en plein hiver, et les provisions manquaient. La réserve de flocons d'avoine nécessaire au « porridge » quotidien était épuisée. Elle se mit au lit, confiante que le lendemain il serait pourvu à sa subsistance. Mais le matin, une tempête de neige faisait rage au dehors, les chemins se bloquaient, pas moyen de chercher du secours.
Elle alluma son feu, mit l'eau et le sel dans la casserole... « Maintenant, se dit-elle, je vais aller demander le reste au Seigneur. » Elle entra dans sa chambre, se mit à genoux et, après avoir remercié Dieu du soin qu'il avait toujours eu d'elle, elle lui dit combien elle était démunie.
Pendant qu'elle priait, il lui sembla entendre frapper. Oui, des coups retentissaient avec toujours plus de vigueur. Elle ouvre et reconnaît, toute couverte de neige, la fille d'un fermier voisin qui entre et jette un sac à terre.
« Je ne sais pas ce qui a pris à mon père ce matin, dit-elle, mais il ne m'a pas laissée tranquille jusqu'à ce que je parte pour vous apporter ces provisions et... »
Mais soudain elle interrompt son discours et regarde avec stupeur la vieille croyante qui, sans l'écouter davantage, les mains jointes, déjà remerciait son Dieu à haute voix.
C'était en plein hiver, et les provisions manquaient. La réserve de flocons d'avoine nécessaire au « porridge » quotidien était épuisée. Elle se mit au lit, confiante que le lendemain il serait pourvu à sa subsistance. Mais le matin, une tempête de neige faisait rage au dehors, les chemins se bloquaient, pas moyen de chercher du secours.
Elle alluma son feu, mit l'eau et le sel dans la casserole... « Maintenant, se dit-elle, je vais aller demander le reste au Seigneur. » Elle entra dans sa chambre, se mit à genoux et, après avoir remercié Dieu du soin qu'il avait toujours eu d'elle, elle lui dit combien elle était démunie.
Pendant qu'elle priait, il lui sembla entendre frapper. Oui, des coups retentissaient avec toujours plus de vigueur. Elle ouvre et reconnaît, toute couverte de neige, la fille d'un fermier voisin qui entre et jette un sac à terre.
« Je ne sais pas ce qui a pris à mon père ce matin, dit-elle, mais il ne m'a pas laissée tranquille jusqu'à ce que je parte pour vous apporter ces provisions et... »
Mais soudain elle interrompt son discours et regarde avec stupeur la vieille croyante qui, sans l'écouter davantage, les mains jointes, déjà remerciait son Dieu à haute voix.
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