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jeudi 10 janvier 2013

" Avec toute la science du monde, nous avons toujours besoin de croire en Dieu."


Werner von Braun (1912-1977), le père de nos fusées spatiales géantes, a dit :
" Les matérialistes du 19ème Siècle et leurs héritiers marxistes du 20éme Siècle ont essayés de nous dire que le science, en nous faisant comprendre l'origine du monde nous permet de vivre sans croire à un Créateur.
Pourtant, jusqu'à présent, la science a posé plus de problèmes qu'elle n'en a résolu. Plus nous comprenons les structures complexes de l'atome, la nature de la vie et l'ordre des galaxies, plus nous nous émerveillons devant le miracle de la création de Dieu.
Notre besoin de Dieu n'est pas la crainte comme seul origine. L'homme a besoin de croire comme il a besoin de boire et de respirer. Avec toute la science du monde, nous avons toujours besoin de croire en Dieu."

mercredi 9 janvier 2013

Le fondement de la foi chrétienne

La foi chrétienne se fonde sur des faits : la venue du Fils de Dieu, Jésus ; sa mort et sa résurrection. Sinon elle ne serait que superstition et présomption.
Auteur inconnu

mardi 8 janvier 2013

Comment Haendel composa "Le Messie"


Georg Friedrich Haendel (1685-1759) fut un compositeur d'origine allemande. Devenu citoyen britannique il se nommait lui-même George Frideric Handel.

Il composa le plus célèbre oratorio, le "MESSIE" en 1742.

Une nuit de 1741, Georges Frédéric Haendel errait sans but dans les rues de Londres, pendant 40 ans il avait écrit une musique majestueuse pour l’aristocratie anglaise et celle du continent, des rois, des reines, l’avaient comblé de faveurs. Puis les gens de cour se détournèrent de lui, des rivaux jaloux empêchèrent que fussent joués ses opéras. Et le compositeur tomba dans la gêne...
Chaque soir il partait pour un de ces vagabondages. Dans son esprit tourmenté s’affrontait l’espoir, fondé sur ses gloires passées, et la crainte d’un avenir incertain. A mesure qu’il s’endettait, l’étincelle créatrice le désertait. Il approchait de la soixantaine, et il se sentait las, découragé.

En rentrant chez lui cette nuit-là, il trouva un paquet sur son pupitre. C’était un oratorio sacré de Charles Jennens, ce poète de deuxième ordre. Haendel grogna entre ses dents. Une lettre était jointe au livret. Jennens y disait : "Le Seigneur nous en a donné l’ordre." Haendel, d’une main distraite, feuilleta le livret. Tout à coup, un passage retint son regard:
«Il était méprisé et rejeté des hommes... Il cherchait quelqu’un qui eut pitié de lui, mais ne trouvait personne pour le réconforter... »

Haendel poursuivit sa lecture et, plus il avançait, plus il se voyait en présence de son propre cas :
«Il croyait en Dieu... Dieu ne laissera pas son âme dans le séjour des morts... Il lui donnera la paix...»
Les mots commençaient à prendre vie, à resplendir de sens.

Il s’exclama : Oui, je sais que mon Rédempteur est vivant ! Joie ! Joie ! Alléluia !
Et voilà qu’il sentit se ranimer la flamme de jadis. Dans son esprit, de merveilleuses mélodies se pressaient, tumultueuses. Saisissant une plume, il se mit à écrire, et les feuilles se couvrirent de notes... Le lendemain, son vieux domestique le trouva toujours penché sur son pupitre. Il ne toucha pas au repas du midi ni à celui du soir, ni à aucun repas les jours suivants. Il écrivait sans arrêt, et parfois il courait précipitamment au clavecin. Par moments, il arpentait la pièce en agitant les bras, chantant : «Alléluia ! Alléluia !» les joues rouges de fièvre.

«Je ne l’ai jamais vu comme ça, confiait le malheureux serviteur à un ami de son maître, il me regarde et ne semble pas me voir. Il dit qu’il a vu les portes du Ciel s’ouvrir, et que Dieu lui-même était présent... Je crains qu’il ne Soit en train de devenir fou.»
Pendant 24 jours, Haendel travailla ainsi, comme un forcené, sans presque prendre de repos ni de nourriture. Puis il tomba sur son lit épuisé.
Sur son pupitre, S’étageaient les feuillets du Messie le plus grand oratorio qui ait jamais été composé. Cet oratorio, avec ses choeurs majestueux atteint son apogée avec le célèbre «ALLELUIA !»

Comme Londres ignorait ses oeuvres à cette époque-là, Haendel porta son «Messie» en Irlande au Lord lieutenant-gouverneur. L’oratorio devait être exécuté pour la première fois le 15 avril 1742. Une foule immense commença d’affluer devant le théâtre longtemps avant l’ouverture. L’accueil de ce premier auditoire fut triomphal. C’était au grand théâtre de Dublin.

Puis Londres à son tour désira entendre «Le Messie». L’exécution eut lieu au théâtre de Covent Garden le 25 mars 1745. Il y eut un moment pathétique: au chœur de l'Alléluia, le roi Georges II se leva et resta debout, et toute l’assistance se leva et resta debout jusqu’à la finale.

Jésus, le Roi des rois avait manifestement inspiré son humble serviteur Georges-Frédéric HAENDEL.

source : www.blogdei.com

lundi 7 janvier 2013

Délivrance

Quelqu'un a dit : "Jésus est venu sur Terre pour délivrer l'homme de deux choses : le péché et la religion."

dimanche 6 janvier 2013

Deux pensées augustiniennes



Il y a dans le cœur de chaque homme, un vide en forme de Dieu.
Nos cœurs sont agités jusqu'à ce qu'ils trouvent leur repos en Dieu.
Saint Augustin (théologien catholique)

samedi 5 janvier 2013

La prière, c'est simplement



Le prédicateur E.W. Kenyon a écrit : « La prière, c’est simplement de discuter avec lui, de connaître son point de vue, sa volonté, ses plans et la mise à exécution de ses plans avec sa grâce, sa capacité et sa sagesse. »

vendredi 4 janvier 2013

Une question déconcertante



Poser la question de l'existence de Dieu, c'est comme dire : "As-tu un nez ?" Peux tu respirer ? Dors-tu ? C'est aussi simple que ça. Nous existons avec l'idée de Dieu, et c'est naturel pour nous." (Tamil Nadu, Inde)

jeudi 3 janvier 2013

Un scientifique loue Dieu


WERNER VON BRAUN (Inventeur de fusées d’exploration spatiale) a dit ceci : « Par dessus tout à Dieu revient l’honneur d’avoir créé le grand univers, que l’homme et sa science pénètrent et étudient de jour en jour avec une profonde vénération ».

mercredi 2 janvier 2013

Emile Faguet, académicien, et la Bible.


Voila ce qu'a écrit dans l'Initiation littéraire les lignes suivantes d'Emile Faguet (1847-1916) au sujet de la Bible.
« A se tenir au seul point de vue littéraire, les écrits bibliques sont un des plus beaux monuments de la pensée humaine. Sentiment de la grandeur et même de l'infini dans la Genèse ; sensibilité profonde et simple dans l'histoire de Joseph ; éloquence et sentiment religieux exquis dans Job et les Psaumes; lyrisme emporte, incroyable puissance dans les Prophètes.

Par dessus tout, cette grandeur, cette majesté simple, ce sublime aisé et naturel qui semble le privilège du peuple d'Israël. Voilà ce qui fait, d'une façon presque continue, l'étonnante beauté de la Bible et ce qui explique que des peuples entiers y puisent le courage, la sérénité, la hauteur d'âme et un singulier ferment de bon génie pratique. »

mardi 1 janvier 2013

Célébrer l'amour de Dieu

Thomas Emswiler a écrit : L'adoration est la célébration et l'affirmation de l'amour de Dieu dans le monde.

lundi 31 décembre 2012

Ultime prière


(Jésus dit : ) Priez pour ceux qui vous persécutent. Matthieu 5. 44
Ultime prière
À la fin de la seconde guerre mondiale, un chrétien traversait à bicyclette une “zone occupée” dans la région d'Argenton-sur-Creuse, pour rejoindre sa famille. Alors qu'il traversait un village, il fut arrêté par l'armée allemande. Là, un soldat allemand avait été abattu au cours de la nuit précédente, et des représailles avaient été décidées par l'occupant : dix personnes rencontrées au hasard dans le village furent alignées contre un mur en face d'un peloton d'exécution. Parmi ces personnes se trouvait ce chrétien, de passage à cet instant-là.
Il demanda l'autorisation de prier avant l'exécution, autorisation qui lui fut accordée, l'officier allemand se faisant traduire la prière.
Il pria à haute voix pour les victimes qui allaient perdre la vie, pour les soldats qui allaient exécuter l'ordre, et pour l'officier qui allait donner cet ordre. Lorsqu'il eut achevé sa prière, l'officier fit déposer les armes et donna l'ordre au peloton de quitter les lieux.
Merveilleuse réponse à la prière fervente de celui qui faisait entièrement confiance à son Dieu ! Les bénéficiaires de cette intercession ont-ils été touchés par la grâce de Dieu ? Cette scène a-t-elle été pour eux le moyen de connaître le salut de Dieu offert à tous les hommes ?
“Invoque-moi au jour de la détresse : je te délivrerai, et tu me glorifieras” (Psaume 50. 15)
Source : La Bonne Semence

dimanche 30 décembre 2012

Une guérison divine

Une personne écrivit ces paroles de gratitude sur l'une de ses feuilles de réponse pour un institut de cours bibliques par correspondance : "J'étais un alcoolique. Un jour, alors que j'étais ivre, je remarquai une carte dans le caniveau qui annonçait votre cours sur la Bible. Je la ramassai, la remplis et reçus ma première vraie connaissance de Jésus-Christ. Peu de temps après avoir pris le cours sur la Bible, je donnai mon cœur à Dieu et n'eus plus envie du whisky. "

samedi 29 décembre 2012

Une lettre de Dieu pour moi



“Élevée dans une famille chrétienne, j'allais au culte avec mes parents, je priais, je lisais la Bible. Mon père me disait souvent que l'on est chrétien, non pas parce que les parents sont chrétiens, mais par une foi personnelle. Cependant je me posais souvent cette question : Si mes parents avaient été hindous ou bouddhistes, ou musulmans, est-ce que je serais aussi hindoue ou bouddhiste, ou musulmane, ou bien chrétienne ?
 
Finalement, j'ai prié Dieu de se révéler à moi dans les dix minutes qui suivaient ! En vain, rien ne s'est passé. Je me suis souvenue alors de ce que disait mon grand-père : “Dieu se révèle au travers de la Bible”. Alors j'ai ouvert ma Bible au hasard, et j'ai lu un passage que je ne connaissais pas au chapitre 43 d'Ésaïe. Cette lecture m'a terrassée. Le “maintenant” de la première phrase m'a fait l'effet d'un coup de poing sur la table. Je voulais une réponse maintenant, et Dieu répondait en employant le même mot. Je voulais savoir qui était Dieu, il me disait : “Avant moi aucun Dieu n'a été formé, et après moi il n'y en aura pas” (v. 10). Et puis il me confirmait la bonne nouvelle dont j'avais entendu parler : Je te rachète…, tu es à moi…, je suis ton sauveur…, je t'aime…, en dehors de moi il n'y a pas de sauveur… Devant cette réponse j'ai eu le sentiment incroyablement surprenant d'avoir été entendue au plus profond de mon être ; j'ai pleuré d'avoir été touchée aussi “juste” et je me suis agenouillée devant Dieu. Ce texte a été comme une lettre d'amour de Dieu pour moi.”

Anne-Élisabeth

vendredi 28 décembre 2012

Un processus d'espoir



Dieu fait une promesse; - la foi y croit; l'espérance en jouit d'avance; la patience l'attend.

Auteur inconnu 

jeudi 27 décembre 2012

Le péché selon Paul Claudel



«Le péché ne compose pas, il décompose.»
extrait de Journal
[ Paul Claudel] écrivain français




mercredi 26 décembre 2012

Le chrétien face à la mort

A l'approche de la mort, la plupart des illusions s'évanouissent. Si le christianisme était lui aussi une illusion, on pourrait s'attendre à la voir tomber à l'heure fatale. Or il n'en est rien.
Au contraire, toute l'histoire atteste que les chrétiens savent "bien" mourir. Certes d'autres affrontent courageusement la mort. Les chrétiens ne détiennent pas le monopole du courage.
Mais il y a une certaine logique "chrétienne" en face de la mort. Le chrétien est persuadé que la mort est un ennemi déjà vaincu. Il a cette confiance que puisque Jésus est ressuscité, il participera à sa nouvelle vie. Comme il a vécu avec Christ et qu'il l'a aimé dans son existence terrestre, l'appréhension de la mort ne l'effleure pas. Car l'amour parfait bannit la crainte. C'est pourquoi il n'est pas rare de rencontrer des chrétiens qui meurent dans la joie.
Michael Green
Le grand dérapage, page 17
Editions Farel

mardi 25 décembre 2012

Pourquoi Jésus est-il né ?

Jésus n’est pas venu pour nous donner une nouvelle religion; au contraire, il est venu pour donner à chaque être humain la possibilité de connaître Dieu. 
Frère Roger de Taizé

lundi 24 décembre 2012

Relations réelles ou virtuelles ?

Un pasteur a dit : " La technologie dirige tellement le monde que de nombreuses personnes tentent d’adoucir leur solitude au moyen d’interactions en ligne. Nous ne pouvons cependant nier le fait que, si nos amis ne se trouvent que sur les médias sociaux, nous ne connaissons pas la camaraderie telle que notre Créateur l’a voulue. Les amitiés saines ne se produisent pourtant pas comme par enchantement; elles exigent qu’on fasse des efforts. (...)
Dieu nous a créés pour que nous jouissions de véritables amitiés basées sur le respect, l’amour et l’engagement mutuels. Elles exigent non seulement qu’on y accorde du temps et du dévouement, mais que l’on fasse preuve de transparence en étant honnêtes, même au sujet de nos défauts. Nous devrons courir le risque de faire confiance, mais les relations saines en valent la peine." 

dimanche 23 décembre 2012

Le Livre par excellence

“C'est un livre qui renferme l'ensemble de toutes les pensées de Dieu et de tous ses plans au sujet de l'homme,
– un livre qui fait connaître en même temps ce que Dieu est, ce qu'Il a fait pour l'homme et quelle est la responsabilité de l'homme envers Lui…,
– un livre qui révèle ce que Dieu est moralement dans sa nature…,
– un livre qui dévoile les secrets du cœur humain et met à nu son état…,
– un livre qui commence où le passé touche à l'éternité, et qui conduit… au but où l'avenir se perd dans l'éternité selon Dieu.
– un livre enfin qui sonde tout à la parfaite lumière de Dieu, pleinement révélé, et nous fait connaître les fondements de nouvelles relations avec Lui… selon ce qu'il est en amour infini.” (Extrait de l'introduction à la Bible version J.N. Darby)

samedi 22 décembre 2012

Dans la main de Dieu

Nous sommes dans la main de Dieu, et cela est bon à sentir et bien consolant.

Samuel Chappuis

vendredi 21 décembre 2012

L'amour de Dieu selon Louis Bourdaloue

Louis Bourdaloue
«De tous les sentiments dont le cœur de l'homme est capable, il n'y a que l'amour de Dieu par où l'homme puisse rendre en quelque manière la pareille à Dieu.»
Louis Bourdaloue Prédicateur français (1632 - 1704)

jeudi 20 décembre 2012

Ce que la foi est et n'est pas.

Un pasteur a écrit : "La foi n'est pas seulement une adhésion intellectuelle. Elle est l'abandon de celui qui se sait perdu et qui fait entière confiance à son Sauveur.

La foi ne brille jamais d'un éclat aussi vif que lorsque tout est ténèbres autour d'elle. Quand l'horizon est chargé des nuages de l'épreuve, la foi porte ses regards plus loin, là où rayonnent sans ombre la grâce et la fidélité divines.

La foi n'est pas une compensation, c'est une plénitude.

La foi est un oiseau qui sent la lumière et qui chante quand le jour n'est pas encore levé."

mercredi 19 décembre 2012

Merci Seigneur

"En toutes circonstances, nous pouvons trouver une raison d'être reconnaissants."
Xavier LAVIE

mardi 18 décembre 2012

La découverte la plus importante



Kristen Skjeldal, skieur suédois


Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie.
1 Jean 5. 11-12
«Pour moi, le plus important…»
Nous sommes en février 1990, juste après le championnat de Norvège de ski de fond. Un skieur inconnu d'un petit village de la côte ouest du pays a gagné deux médailles d'or. Il est devenu le héros de cette compétition. Tous les journaux veulent en savoir plus au sujet de ce jeune homme qui a battu toutes les vedettes. Lors d'une interview, quelqu'un lui a demandé quelles étaient ses ambitions. Espérait-il gagner une médaille d'or aux prochains Jeux Olympiques ?
«Pour moi, le plus important est que les autres soient sauvés», répond Kristen Skjeldal. Le lendemain, tous les journaux montrent la photo de ce skieur chrétien qui lit la Bible, et qui porte bien son nom (en norvégien, Kristen signifie chrétien).
Ecoutons Kristen parler de sa foi : «Ce que j'ai appris lorsque j'étais enfant reste aujourd'hui encore la base de ma foi. Mais lorsque j'ai grandi, j'ai dû prendre ma propre décision. J'avais suivi mes parents, mais on ne peut pas vivre toute sa vie de la foi de ses aînés. Jésus prend soin de moi. Il ne m'a jamais abandonné. Il me donne tant. Sans lui ma vie serait vide.
Bien sûr, on peut vivre sur cette terre sans croire au Christ. Beaucoup le font, mais en ce qui me concerne, je crois à la vie éternelle dans le ciel, et celle-ci ne peut être atteinte que par Jésus Christ. Personne ne la mérite, mais Dieu nous l'offre comme un don. A nous de le saisir…»
Kristen Skjeldal

lundi 17 décembre 2012

Une utopie irréaliste

Si pour devenir chrétien il fallait être parfait, il n’y aurait pas un chrétien sur la terre. 
Franck Thomas

dimanche 16 décembre 2012

Rien ne doit nous effrayer excepté le péché

Jean Chrysostome (347-407)
Un texte historique que m’avait transmis Samuel, un ami, et qui est proprement intéressant à lire… Le chrétien doit prier régulièrement Dieu pour qu’Il l’enveloppe de son Amour, cet Amour si pénétrant qui fait glisser tout péché dessus.
Sébastien
Quand Jean Chrysostome (un des pères de l'Eglise) fut arrêté par l'empereur de Rome, il fut demandé à ce chrétien Grec de renier sa foi, mais sans succès.
Alors l'empereur consulta ses conseillers afin de décider de ce qu'il ferait au prisonnier. "Le mettrons-nous dans un donjon ?" Demanda l'empereur. "Non", répondit un de ses conseillers. "Car il serait content d'y aller. Cet homme aime bien la tranquillité pour jouir des grâces de son Dieu."
"Alors il sera exécuté !" Dit l'empereur. "Non." Fut la réponse, "car il sera content là aussi de mourir. Il dit que dans l'éventualité de la mort, il se trouvera dans la présence de son Seigneur."
"Que ferons-nous alors ?" demanda le dirigeant. "Il n'y a qu'une chose qui attristera Chrysostome," dit le conseiller. "Pour faire souffrir Chrysostome, faites-le pécher. Rien d'autre ne l'effraye excepté le péché.

samedi 15 décembre 2012

Es-tu dans la vérité ?

Si on me demande si je suis dans la vérité, on ne me demande pas ce que je sais ; on veut savoir ce que je suis.  
Alexandre Vinet

vendredi 14 décembre 2012

Une pensée de Jimmy Carter à méditer

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«Nous devons vivre nos vies comme si le Christ allait venir cet après-midi.»
[ Jimmy Carter ] - Extrait d'un Discours - Mars 1976

Jimmy Carter (né en 1924), ancien président américain de 1977 à 1981, est un chrétien. Dans cette citation, il est question du retour de Jésus. Cette idée est présente dans le Nouveau Testament. Quand et où ? Ce n'est pas l'objet de mon propos.

A la lecture de cette citation, il m'est revenu en mémoire cette parabole de Jésus sur les vierges sages et les vierges folles (lire Matthieu 25, 1 à 13). Cette parabole nous encourage à rester éveillé et à être des témoins de Jésus, vivant pour Lui et Lui vivant en nous.
Soyons donc toujours prêt au retour de Jésus menant une vie conforme à ce qu'il nous a enseigné.

Samuel, membre du GBU d'Angers

jeudi 13 décembre 2012

Persévérez

Un homme d'affaires avait dépensé des milliers de francs à des sondages pour trouver du pétrole sur sa propriété. Découragé il vendit son terrain pour peu de chose. L'acquéreur reprit le travail et au bout de six heures surgit une bonne source ...
N'en est-il pas souvent ainsi avec nos prières ? Attendons-nous avec foi et persévérance le moment où Dieu veut délivrer ?

Extrait de l'Almanach Evangélique de 1932

mercredi 12 décembre 2012

Témoignage de Roger Auque, otage au Liban dans les années 80.


Rendu à la liberté le 27 novembre 1987, après 319 jours de captivité, Roger Auque a déclaré :
"Dès le 1er jour, je me suis trouvé à genoux, sans savoir prier. J’ai demandé en particulier à Dieu de protéger ma fiancée. Cela a duré plus de 2 mois. Un jour, mes ravisseurs m’ont apporté une quarantaine de livres et parmi ces livres, il y avait une Bible de poche. Cette Bible est devenue mon livre de prières. Mes gardiens ont accepté de me la laisser. Dans ce livre, je fis une sélection d’une trentaine de psaumes. J’en appris par cœur une dizaine qui me plaisaient particulièrement."
Je ne doutais pas qu’un jour je sortirai sain et sauf. J’avais lu dans la Bible que celui qui croit peut déplacer une montagne. Ma libération fut un miracle de Dieu".
Comme on lui demandait s’il regrettait ces 319 jours de captivité, il répondit :
"Je vais vous dire une chose qui vous surprendra : c’était nécessaire pour que je prenne conscience de Dieu et de son existence".
Source : Topchrétien.com