Floyd McCLUNG, Découvrez votre destinée, JEM, Burtigny, 1988.
Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
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dimanche 31 juillet 2011
Appelés à servir
Floyd McCLUNG, Découvrez votre destinée, JEM, Burtigny, 1988.
samedi 30 juillet 2011
« Comment résumeriez-vous votre vie en quelques mots ? »
L'évangéliste et pasteur Billy Graham (1918), qui consacra sa vie à servir Dieu, fut interviewé alors qu’il était très malade un jour. Lorsqu’on lui posa la question : « Comment résumeriez-vous votre vie en quelques mots ? », il répondit simplement, « Je suis un pécheur ayant besoin de la grâce et du pardon de Jésus. »
vendredi 29 juillet 2011
Le retour du Christ
«
Si je crois au retour de Christ, c’est également à cause des signes
annonciateurs que mentionne l’Écriture (la Bible). Je ne suis pas
prophète et n’ajoute pas un grand crédit à ceux qui tentent de fixer une
date précise pour le retour de Christ ; la Bible dit que nous n’en savons ni le jour ni l’heure. »
Éditions Vida (épuisé),
page 165.
jeudi 28 juillet 2011
Les efforts perpétuels
La vraie liberté de l'Homme ne réside pas dans un pouvoir sans entrave à diriger sa vie, que ce soit dans un sens politique ou dans un sens stoïque. Elle se trouve dans une vie avec Dieu, conforme à l'intention originelle de Dieu pour l'Homme. Il ne l'acquiert qu'en renonçant à lui-même. Paradoxalement, l'Homme libre ne s'appartient pas à lui-même. Il appartient à celui qui l'a affranchi."
J. Blunk
mercredi 27 juillet 2011
Motivé pour faire sa volonté ?
mardi 26 juillet 2011
La vie éternelle à ceux qui croient en Lui
"Oui, Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique. Ainsi, tous ceux qui croient en lui ne se perdront pas loin de Dieu, mais ils vivront avec lui pour toujours" (Jean 3.16).
Dans nos moments les plus heureux, nous ne voulons pas mourir.
Le désir de mourir se fait sentir uniquement quand nos souffrances nous semblent insupportables. Ce que nous souhaitons réellement, dans ces moments-là, n’est pas la mort, mais un soulagement. Nous voudrions tant que les bons moments reviennent. Nous voudrions que la douleur s’en aille. Nous voudrions que nos biens aimés reviennent du tombeau. Nous voulons la vie et le bonheur…
Nous nous trompons nous-mêmes quand nous donnons un côté romantique à la mort, en la considérant comme l'apogée d'une vie bien vécue. Elle est une ennemie. Nous lui donnons des noms doux comme si c’était un moindre mal. Pourtant elle nous coupe des merveilleux plaisirs de ce monde. Le bourreau qui fournit le coup de grâce dans notre douleur ne veille pas à la réalisation de nos aspirations, mais marque la fin de l'espoir. Les aspirations du cœur humain sont vivre et être heureux.
Dieu nous a fait ainsi : "Il a donné aussi aux humains le désir de connaître à la fois le passé et l’avenir" (Ecclésiaste 3.11). Nous sommes créés à l’image de Dieu, et Dieu qui aime la vie, vit éternellement. Et nous vivrons éternellement. L’opposé de la vie éternelle est la condamnation éternelle. C’est l’enfer. Jésus en parle mieux que quiconque, et il a expliqué clairement, que rejeter la vie éternelle qu’il offrait, aurait comme conséquence de devoir affronter la colère de Dieu : "Celui qui croit au Fils a la vie avec Dieu pour toujours. Celui qui refuse de croire au Fils ne verra pas cette vie, mais la colère de Dieu restera sur lui" (Jean 3.36).
Et cette réalité demeure éternellement. Jésus disait : "Ils partiront pour recevoir une punition qui dure toujours. Mais ceux qui ont obéi à Dieu partiront pour recevoir la vie avec Dieu pour toujours" (Matthieu 25.46). C’est une indicible réalité qui montre l'importance du péché de traiter Dieu avec indifférence et mépris. Ainsi Jésus avertit : "Si ton œil te fait tomber dans le péché, arrache-le. Pour toi, il vaut mieux entrer dans le Royaume de Dieu avec un seul œil. C’est mieux que de garder les deux yeux, et d’être jeté dans le lieu de souffrance. Là, les vers ne meurent pas et la souffrance brûle toujours comme un feu" (Marc 9.47-48).
Ainsi la vie éternelle n’est pas simplement une extension de cette vie avec son lot de souffrance et de plaisir. Comme l’enfer est le pire résultat de cette vie, ainsi la vie éternelle en est la meilleure. Elle est le bonheur suprême et sans cesse croissant, où tous les péchés et les tristesses auront disparu. Tous ce qui est mal et nocif dans cette création déchue sera enlevé. Tout ce qui est bon - tout ce qui apporte la vérité et un bonheur éternel - sera préservé, purifié et rendu plus intense.
Nous serons changés pour être capable d’une dimension de bonheur que nous ne pouvions concevoir dans cette vie : "Il y a des choses que les yeux ne voient pas. Les oreilles ne les entendent pas, les êtres humains n’y ont jamais pensé. Eh bien, ces choses-là, Dieu les a préparées en faveur de ceux qui ont de l’amour pour lui" (1 Corinthiens 2.9). Cela est vrai pour chaque moment de la vie, maintenant et toujours. Car ceux qui mettent leur confiance en Christ savent que le meilleur est à venir. Nous allons voir la gloire de Dieu qui nous satisfait pleinement.
"Et la vie pour toujours, c’est te connaître, toi, le seul vrai Dieu, et connaître celui que tu as envoyé, Jésus-Christ" (Jean 17.3). C'est pour cela que Christ a souffert et qu'il est mort.
John Piper
lundi 25 juillet 2011
La conséquence de la Résurrection de Jésus
Un auteur inconnu raconte d'une manière très descriptive les changements survenus dans la vie des apôtres: « Le jour de la crucifixion, ils étaient pleins de tristesse; le premier jour de la semaine, de joie. A la crucifixion ils étaient désespérés; le premier jour de la semaine, leur cœur rayonnait de certitude et d'espoir.
Quand le message de la résurrection leur parvint pour la première fois, ils étaient incrédules et difficiles à persuader, mais une fois convaincus, ils ne doutèrent plus jamais.
A quoi attribuer le changement prodigieux opéré chez ces hommes en si peu de temps? Le simple enlèvement du corps hors du tombeau n'aurait jamais pu transformer leur esprit et leur caractère.
Trois jours ne suffisent pas pour faire naître une légende les affectant à ce point. Le processus de développement d'une légende demande du temps. C'est un fait psychologique qui exige une explication complète.
Pensez à l'absurdité psychologique consistant à imaginer une petite bande de poltrons vaincus, tapis un jour dans une chambre haute et transformés quelques jours plus tard en une compagnie qu'aucune persécution ne pouvait réduire au silence.
Puis tenter d'attribuer ce changement spectaculaire à rien de plus convaincant qu'un misérable mensonge qu'ils auraient essayé d'imposer au monde! Cela n'aurait tout simplement aucun sens.»
« Bien plus qu’un charpentier » par Josh McDowell
© Campus pour Christ, p. 26
dimanche 24 juillet 2011
Le vieux chrétien et ses enfants
d’après “ Le laboureur et ses enfants ” de Jean de La Fontaine.
samedi 23 juillet 2011
Vieillir avec grâce
Si même notre homme extérieur dépérit, toutefois l'homme intérieur est renouvelé de jour en jour... Nous avons un édifice de la part de Dieu, une maison qui n'est pas faite de main, éternelle, dans les cieux. 2 Corinthiens 4. 16 ; 5. 1
vendredi 22 juillet 2011
“C'est pour la liberté que Christ nous a libérés”
« Après avoir pardonné, vous entrez dans un processus. C'est un effort conjugué de Dieu et de vous-même. On n'oublie pas tout avec un claquement de doigts, même si la délivrance est parfois immédiate.
Par exemple, certains arrêtent de fumer sans trop d'effort, alors que d'autres ont besoin de patchs de nicotine pendant longtemps encore ! Les vieilles habitudes ont la vie dure, et renoncer à l'amertume signifie :
1. Renouveler votre décision de pardonner aussi longtemps que des pensées de vengeance traversent votre esprit.
2. Rester dans la paix jusqu'à ce que la place libérée par l'amertume, les regrets et les désirs de vengeance soit entièrement prise par le Saint-Esprit.
3. Abandonner d'anciennes relations nuisibles, ainsi que les personnes qui vous reparlent sans cesse de vos vieilles blessures. Changer soi-même parmi des gens qui ne changent pas peut leur montrer la nécessité de changer eux-mêmes, mais cela peut aussi les effrayer.
4. Songer que tout comme le salut est une expérience immédiate suivie d'un processus de sanctification, le pardon est un acte immédiat qui doit être suivi d'un processus de guérison.
5. Vivre une vie dégagée de tout ressentiment.
C'est un choix qui en appelle une série d'autres. Mais chaque fois, le choix devient plus facile et nous éloigne un peu plus du ressentiment.
Paul a dit : “C'est pour la liberté que Christ nous a libérés” (Galates 5.1). Chaque fois que nous libérons quelqu'un, nous devenons plus libres. C'est un principe spirituel garanti qui a fait ses preuves et qui est confirmé par les Écritures ».
jeudi 21 juillet 2011
mercredi 20 juillet 2011
Un Dieu qui lave les pieds
« [Jésus] versa de l'eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint..» Jean 13.5
Des questions au sujet de l’existence de Dieu ont souvent troublé Herbert Arthur Hodges (1905-1976), brillant jeune professeur de philosophie à l’Université d’Oxford. Un jour, tandis qu’il se promenait dans la rue, il est passé devant un magasin d’art. Son attention a été attirée par un tableau bien simple exposé dans la vitrine. Il montrait Jésus s’agenouillant pour laver les pieds de ses disciples.
Hodges connaissait l’histoire relatée dans Jean 13 : Dieu incarné lavant des pieds humains. Mais soudain, la signification profonde de cette scène a saisi le cœur de ce jeune philosophie. Dieu- Dieu ! – qui s’humilie pour accomplir la tâche la plus vile ! Il s’est dit : Si Dieu est ainsi, alors ce Dieu sera mon Dieu ! La vue de ce tableau est un des événements qui ont amené Hodges à abandonner sa vie au Dieu véritable : le Dieu qui lave les pieds.
En lisant Jean 13 attentivement, nous voyons que Dieu est bien le Dieu qui lave les pieds. Son amour sacrificiel insondable pour nous devrait nous pousser, nous aussi, à nous abandonner à lui.
Auteur inconnu
mardi 19 juillet 2011
lundi 18 juillet 2011
dimanche 17 juillet 2011
J’avais soif de spirituel
Guillaume : "J’ai cherché la vérité dans la philosophie et les spiritualités orientales. Toute ma vie, on ne m’avait parlé que d'élever son âme pour devenir dieu..." [ publié dans le magazine Croire et vivre n° 67 - juin 2008 ]
J'ai eu une petite enfance heureuse dans une belle maison à la campagne, près de Bordeaux. J'avais des parents, la santé et tout semblait bien parti. Malheureusement, l'enfer a commencé au moment de mon adolescence. Mes parents ont raté l'affaire dans laquelle ils s'étaient lancés et la conséquence, c'est qu'ils ont divorcé. Mon père a sombré dans l'alcool et la misère, tout seul, puis un long et dégradant cancer l'a retranché de ce monde. J'étais en troisième.
Comme une éponge
J'étais catholique par étiquette: j'avais fait du catéchisme et allais à la messe tous les dimanches, mais sans en retenir la moindre parcelle. Parallèlement, ma mère m'emmenait tous les samedis après-midi à une séance de médium et de guérisseur! Sans que je m'en rende compte, j'ai commencé à m'imprégner de l'atmosphère. En fait, j'étais une éponge et tout ce que j'ai vécu pendant mon adolescence s'est incrusté en moi.
Pratiquant les arts martiaux, je me suis plongé dans la culture orientale, que je finissais par mieux connaître que celle de mon pays. Mais à partir de ces années, ma vie est devenue de plus en plus horrible. La nuit, j'étais terrifié. J'ai découvert l'angoisse. La solitude et le chagrin m'ont également assailli.
Alors j'ai cherché la vérité à travers tout ce qui se présentait à moi : philosophie, ésotérisme, spiritualités. À 16 ans, je voulais partir dans un ashram en Inde pour trouver un maître. En pleine crise d'identité, je recherchais partout la réincarnation pour comprendre ce que j'avais fait pour mériter tant de souffrances. Mais bien loin d'être exaltants, tous les chemins que j'ai pu prendre se sont révélés être un labyrinthe. Quand j'ai pris conscience de cela, la folie avait commencé à poindre dans ma vie; je me réservais le suicide comme dernière porte. Mais je m'étais promis avant ça de me battre jusqu'au bout pour trouver l'éveil et être en paix.
Une solution venue d’où je ne l’attendais pas
Un jour, on m'a offert une petite bible de poche. Je n'avais jamais lu ce livre et il me rebutait, sans que je sache trop pourquoi. Cette année-là, en même temps, je me suis fait un ami chrétien. Il a été le premier à me parler de Jésus-Christ, qui était très différent de celui que je croyais connaître. Alors, intrigué, je suis allé à un groupe d'étudiants chrétiens. Au début je me suis moqué d'eux. Comment voulaient-ils m'apprendre quelque chose avec un seul livre, à moi qui en avais lu des centaines? Mais j'étais prêt à essayer ça encore. Qu'avais-je à perdre? Je voyais ma vie comme un immense champ de bataille et de ruines et je ne savais plus vers qui me tourner.
Alors je me suis mis à lire la Bible. Au début, c'était très dur; je n'y comprenais rien. Surtout, c'était très différent de tout ce que j'avais pu lire auparavant. Puis j'ai décidé de rencontrer un pasteur. Il m'a expliqué alors le pardon pour la présence du mal en moi que Dieu voulait m'offrir et la nouveauté de vie que Jésus-Christ donne. Et un jour, j'ai pris conscience que j'étais effectivement pécheur (c'est-à-dire que j'avais le mal en moi). J'ai compris que c'était cela qui m'empêchait d'accéder à la vérité. J'ai accueilli le Christ venu me sauver, mourir à ma place et me réconcilier avec Dieu. Et l'éveil que je cherchais s'est produit. La paix que je voulais trouver s'est présentée à moi. Depuis, j'apprends à découvrir la grâce de Dieu, à connaître Jésus et à l'aimer.
Toute ma vie, on ne m'avait parlé que de hauteurs, d'être appelé à devenir dieu. Mais j'ai rencontré la vérité au plus bas.
samedi 16 juillet 2011
La prière d'un pasteur
Je me confie en toi, Seigneur car je sais que tu es un Dieu fidèle pour tous ceux qui se confient en toi. Quand je suis dans les ténèbres,tu es ma vie; quand je suis en prison,tu es avec moi; quand les hommes me maudissent,tu me bénis; quand ils m'affligent,tu me rassures: quand ils me battent,tu me relèves; et même si je marche dans la vallée sombre, tu seras toujours avec moi.
Menno Simons (1496-1561)
vendredi 15 juillet 2011
L'amour de Dieu en nous
jeudi 14 juillet 2011
Une donnée historique primordiale
Il faut bien reconnaître que la croyance en Dieu a été jusqu'à aujourd'hui une donnée permanente de l'histoire des hommes.
mercredi 13 juillet 2011
mardi 12 juillet 2011
Le but de Satan avec les hommes
Arthur W. Pink
Satan is ever seeking to inject that poison into our hearts to distrust God's goodness - especially in connection with his commandments. That is what really lies behind all evil, lusting and disobedience. A discontent with our position and portion, a craving from something which God has wisely held from us. Reject any suggestion that God is unduly severe with you. Resist with the utmost abhorrence anything that causes you to doubt God's love and his lovingkindness toward you. Allow nothing to make you question the Father's love for his child.
lundi 11 juillet 2011
Quel attitude adopter face à la Bible ?
dimanche 10 juillet 2011
Le livre indestructible
Février 303 : l'empereur romain Dioclétien émet un décret qui constitue une déclaration de guerre, non pas à un de ses ennemis, mais à un livre : la Bible. Ce décret indique que toute personne possédant ce livre sera mise à mort ainsi que les membres de sa famille. Chaque Bible trouvée fut brûlée et de nombreux chrétiens périrent. Dioclétien était persuadé d'avoir atteint son objectif : extirper de la surface de l'empire le livre des chrétiens. Sur une Bible en lambeaux, il fit élever une colonne avec l'inscription : “Le nom des chrétiens a été éteint”.
samedi 9 juillet 2011
La joie de Jenny Lind
vendredi 8 juillet 2011
Un monde qui progresse
"Tout ce qui est fait de grand dans le monde est fondé sur l'espoir." Martin Luther King (1929-1968), pasteur baptiste et défenseur des droits civils aux Etats-Unis.
jeudi 7 juillet 2011
L'Evangile de Jésus selon Louis Leprince-Ringuet
Physicien, membre de l'Académie Française
« Je trouve dans le message du Christ une telle grandeur, une telle sagesse révolutionnaire dans l’amour des autres, dans le dépassement auquel il nous convie …
Je trouve une telle force dans l’Evangile pour briser les carapaces d’égoïsme, de routine, de lâcheté qui nous recouvrent à longueur de journée …
Je trouve une telle grandeur dans la possibilité pour chacun d’entre nous, même immobilisé sur un lit d’hôpital, d’intervenir en faveur des autres ...
Je trouve une telle vie dans l’attitude chrétienne d’espérance dans les épreuves qui jalonnent votre existence, auxquelles personne n’échappe, ni vous ni moi …
Je trouve un tel stimulant pour la recherche, la science, et aussi pour le progrès intellectuel et spirituel, qui me permettent d’aller vers plus de vérité.
Oui, je trouve dans le message de l’Evangile un tel potentiel de joie et d’audace, un tel sens de la vie, que ce message porte pour moi le sceau de la vérité.
La vie, avec tout ce qu’elle recèle de complexe, d’évolutif, de mouvant, de bon et de mauvais, mais aussi de ses espoirs et de ses ardeurs, est illuminée par la personne du Christ. »
C'est un témoignage si fort sur l'impact qu'a eu l'Evangile pour cette personne qui l'a découvert que j'ai souhaité vous le faire partager.
Sébastien, membre du GBU d'Angers
mercredi 6 juillet 2011
La raison de vivre d'un fabricant de boutons
Un chrétien, fabricant de boutons, fut interrogé par des non chrétiens: "Qui êtes-vous, et que faites-vous ?", lui demanda-t-on.
mardi 5 juillet 2011
Manque d’ambition.
Spurgeon s’étonne : « Un jour ? Et pourquoi pas aujourd’hui ? »
Réponse un peu embarrassée : « Avant, je voudrais vivre un peu ».
Charles Spurgeon réplique alors: « Vous manquez d’ambition, jeune homme. Moi, à votre place, je voudrais vivre pleinement tout de suite et non pas vivre un peu en attendant ».