Tu te poses des questions sur Dieu ? Tu as entendu parler de Jésus ? Quant à la Bible, tu sais que c'est un livre chrétien. Tu veux en découvrir sur ces trois sujets et bien d'autres encore. Ce blog te propose de réfléchir sur ces sujets et plein d'autres encore. Fais-toi ta propre opinion sur les textes de ce blog. Et surtout n'hésite pas à laisser un commentaire pour les articles. Ton avis compte. Ce blog est géré par le Groupe Biblique Universitaire d'Angers.
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mercredi 31 août 2011
«Tout le monde dit: Le diable n'existe pas»
mardi 30 août 2011
La derniére lettre d'un chrétien exécuté par les nazis
lundi 29 août 2011
L'importance de la résurrection (partie 2)
James I. Packer accentue encore l'importance capitale de la résurrection du Christ pour la foi et la théologie chrétiennes : « L'événement de Pâques, ainsi qu'ils (les chrétiens) l'affirment, a démontré la divinité de Jésus, a témoigné de l'accomplissement de l'oeuvre d'expiation pour les péchés ; il confirme sa domination cosmique présente et son prochain retour en tant que juge ; il nous assure que son pardon et sa présence personnels, que sa puissance dans la vie de chacun sont des faits ; et il garantit à chaque croyant la réincarnation par la résurrection dans le monde à venir. »
Antony Flew, philosophe athée et auteur de The Presumption of Atheism, qui rejette la résurrection comme événement historique, admet que c'est sur la base de cet événement que le christianisme se maintiendra ou qu'il tombera. Il accepte la définition donnée par le Nouveau Testament de la résurrection qui est la « résurrection d'entre les morts » d'une manière physique et dit que pour être un authentique croyant il faut accepter la résurrection corporelle. Il affirme qu'une « caractéristique distinctive du véritable chrétien » est l'acceptation du fait « que la résurrection s'est produite de manière littérale ».
dimanche 28 août 2011
samedi 27 août 2011
Ouvrier incrédule chez Peugeot
Un cercle de curieux venait de se former quand survint un grand gaillard qui, prenant notre ami au collet, se mit à lui dire : "Moi, je crois ce que je vois ! Fais-moi voir ton Dieu et je croirai mais pas avant !"
Notre ami, ayant supplié Dieu de l'inspirer, accepta le défi et, avec sa permission, dirigea le visage de son contradicteur face au soleil. L'incrédule ferma les yeux, trop ébloui par les rayons ardents.
- Tu voudrais voir Dieu, mais tu n'es même pas capable de regarder quelques instants le soleil qu'il a créé.
vendredi 26 août 2011
Le péché, c'est quoi ?
" Le péché c'est vouloir ne plus dépendre de Dieu, affirmer que notre destinée se réalise par nos seuls efforts, sans l'aide divine. C'est prétendre discerner seul ce qui est bien de ce qui est mal, et que l'on peut accéder au salut par soi-même."
jeudi 25 août 2011
Jésus selon Jean Dutourd
Jean Dutourd (1920-2011). Écrivain français, romancier et pamphlétaire à la verve corrosive. Membre de l'Académie française en 1978.
"Pour me résumer: Jésus-Christ est mon Dieu, dont je proclame la mort, dont je célèbre la résurrection et dont j'attends la venue dans la gloire."
Jean DUTOURD
mercredi 24 août 2011
Les effets négatifs du péché
mardi 23 août 2011
Les régles de la nature
"Nous devons tirer nos règles de comportement du monde naturel. Nous devons respecter, avec l'humilité des Sages, les limites de la nature et le mystère qu'elles cachent, en reconnaissant qu'il y a quelque chose dans l'ordre du vivant qui dépasse très évidemment toute notre compétence."
lundi 22 août 2011
Se libérer de nos inquiétudes
Un pasteur a écrit : "C'est extraordinaire de voir comment on peut se libérer de nos inquiétudes en comptant nos bénédictions. Immédiatement notre attention se distance de nos besoins pour se rapprocher de la grâce et de l'amour de Dieu."
dimanche 21 août 2011
Relations
samedi 20 août 2011
Identifié avec Christ
vendredi 19 août 2011
Un poéme de Sören Kierkegaard
jeudi 18 août 2011
Jean Calvin et Martin Luther parle de la création du monde
« Si Moïse a écrit que Dieu a créé les cieux et la terre et tout ce qui s’y trouve en six jours, ne lui fais pas dire autre chose et ne t’aventure pas à commenter le récit en affirmant que les six jours n’en étaient qu’un seul. Si tu ne peux pas comprendre comment cette œuvre a pu se faire en six jours, alors accorde au Saint-Esprit l’honneur d’être plus érudit que toi. Car il t’est demandé de ne pas oublier que ce que tu lis dans l’Ecriture, Dieu Lui-même l’a écrit. Et parce que c’est Dieu qui parle, il n’y a pas lieu pour toi de faire dire à Sa parole ce que toi, tu aimerais qu’elle dise. »
mercredi 17 août 2011
mardi 16 août 2011
lundi 15 août 2011
dimanche 14 août 2011
La foi chrétienne authentique
" Les fondements objectifs de l'assurance du croyant (chrétien) devant Dieu sont en Christ, et dans sa mort et sa résurrection pour nous, de sorte que l'assurance chrétienne n'est autre qu'une conséquence de la foi authentique. Il faut distinguer la foi authentique de la foi qui ne l'est pas. La foi chrétienne qui n'est pas authentique ne donne droit à aucune assurance devant Dieu; la vrai foi est justifiée par la validité de son objet (la conviction que Jésus est venu en chair) mais aussi par la transformation qu'elle effectue dans l'individu : les chrétiens authentiques apprennent à s'aimer les uns, les autres et à obéir à la vérité. L'assurance chrétienne n'est pas un bien abstrait, elle est intimement liée à une relation permanente et transformatrice avec le Dieu de l'alliance, qui s'est révélé en Jésus-Christ."
samedi 13 août 2011
Besoin de Dieu
vendredi 12 août 2011
"Je dis ce que Dieu a fait pour moi."
jeudi 11 août 2011
Apportez vos factures!
Un chrétien irlandais, riche propriétaire, fit un jour une proposition étonnante aux employés de son domaine. Aux endroits de passage, il afficha ce message : « lundi prochain de 10h à 12h, je serai dans mon bureau. Je suis prêt à payer toutes les dettes de mes ouvriers. Apportez toutes vos factures impayées ». Au jour fixé, une foule de gens est massée devant la porte du bureau.
mercredi 10 août 2011
Méditer la Bible
mardi 9 août 2011
lundi 8 août 2011
dimanche 7 août 2011
Dieu est notre Créateur
Prof. Michael P. Girouard
samedi 6 août 2011
Je lui confie tout
Bernadette Blesson
Quand Dieu rallume la flamme vacillante de notre vie, il brûle aussi ce qui nous entrave. [ publié dans le magazine Croire et Servir n° 65 - avril 2008 ]
Benjamine d’une famille de six enfants, j’aimais aller à l’église et j’appréciais beaucoup les cantiques. Cependant, mes parents étaient animistes et mon père m’interdisait d’y aller. Il me faisait surveiller par les autres membres de la famille. Cette situation m’a découragée et j’ai grandi sans plus m’intéresser à la religion. J’avais les mêmes croyances que mes parents.
Une partie de moi s’était éteinte
En 1989, ma mère est décédée. Étant le dernier enfant, j’étais très liée à elle. Ma sœur, âgée de vingt ans de plus que moi, m’a fait la promesse de «remplacer» notre mère. Elle a tenu sa parole avec excellence. Elle était là lorsque j’avais besoin d’elle. En 2003, ma sœur est tombée gravement malade. Elle est décédée des suites de cette maladie. Ce décès prématuré a déchiré mon âme. Une partie de moi s’est éteinte avec ma sœur. Ma peine était grande. Aucune parole ne pouvait me consoler; un voile noir avait recouvert toute ma vie.
Un jour, j’ai pris une Bible que j’avais depuis des années chez moi et que je ne lisais pas. Cela m’a procuré une grande paix intérieure. Surprise de ce que je ressentais, j’en ai parlé à ma belle-sœur chrétienne pratiquante. Elle a loué le nom du Seigneur Jésus en disant qu’il est amour. Ensuite, elle m’a expliqué que Dieu m’a envoyé son Saint-Esprit qui est consolateur pour que je retrouve la paix. Il fallait simplement que je me laisse guider. C’est à ce moment que Christ est devenu le maître et le sauveur de ma vie.
Depuis ce moment, je veux rester dans la présence de Dieu et je lui confie tout. Voici deux exemples parmi bien d’autres de ce qu’il a fait pour moi.
Libérée des «masques» et du tabac
Dans ma région, à l’ouest de la Côte d’Ivoire, les «masques» représentent un grand pouvoir pour les animistes. Autrefois j’en avais plusieurs chez moi. Un soir, pendant que je priais, j’ai senti une présence pesante. J’ai eu très peur et j’ai demandé conseil à un pasteur africain, qui a jeûné et prié avec moi et ma belle-sœur (qui est en Afrique) pendant cinq jours. Après j’ai été délivrée et je me suis débarrassée de ces masques.
J’avais pris l’habitude de fumer à tel point que, quand les tabacs étaient fermés autour de chez moi, je demandais à mon fils d’aller à Paris chercher des cigarettes pour satisfaire mon désir. Un jour, pendant que je priais, une voix m’a dit:«Mais comment peux-tu demander au Saint Esprit de venir en toi, habiter ton cœur, alors que tu souilles ton corps?» J’ai alors compris qu’il fallait que je fasse quelque chose: je devais arrêter de fumer. Du jour au lendemain, je n’ai plus ressenti cette envie et je ne ressentais aucun manque.
Aujourd’hui, je prie pour tous les membres de ma famille pour qu’ils acceptent Christ eux aussi afin que leur vie soit elle aussi sauvée.
vendredi 5 août 2011
Dieu a prouvé son amour
Quelqu'un a écrit : "L'amour de Dieu, ce n'est pas seulement des mots - c'est un acte. L'amour de Dieu se nomme : Jésus ! En Jésus, nous voyons Dieu à coeur ouvert. Dieu a donné son fils Jésus en sacrifice, afin que nous ayons la paix, afin que nos fautes soient effacées. Ainsi, jour après jour, nous pouvons vivre du pardon de Dieu. A travers Jésus, nous sommes estimés et honorés de la part de Dieu. Il prend soin de nous et s'inquiète de nous. Il pense à nous et s'occupe de toutes les choses de notre vie. Christ est le vivant et le ressuscité. Il vient à nous, au milieu de notre solitude, et nous ne sommes plus seuls. Il nous écoute et parle avec nous."
jeudi 4 août 2011
Le pouvoir de l'argent
mercredi 3 août 2011
Un jeune compositeur de cantiques.
Sur le lit de maladie dont il ne devait jamais se relever, Ernest von Willich, qui avait été jusqu'alors un garçon rempli d'entrain et de vie, montra une douceur et une patience remarquables. Il souffrait ce pendant beaucoup. Au bout de quelques semaines, il se forma sur le genou malade, puis sur d'autres parties du corps, des tumeurs qui percèrent plus tard et préparèrent au pauvre malade d'indicibles tortures. Il vint même un moment où les parents affligés ne surent plus comment prendre ce pauvre corps et dans quelle position le coucher.
Et cependant, au milieu de ses souffrances atroces, l'enfant gardait une inaltérable confiance en Dieu. Jamais il ne sortait de sa bouche un murmure ou une parole d'impatience. Le bâton et la houlette du bon Berger le rassuraient ; il était plus calme, plus, résigné que, tous les siens, et il ne cessait de consoler ses parents profondément, affligés. Il semblait qu'on vit grandir son âme à mesure que le mal détruisait son pauvre corps.
Quand la souffrance lui laissait un peu de répit, Ernest de Willich se plaisait à composer des cantiques. Rien ne lui faisait plus de bien que d'exprimer de la sorte sa confiance dans le Sauveur. Puis, quand les heures de crise devenaient plus cruelles, loin de se laisser aller, il trouvait dans les vers que lui avait dictés sa foi, un motif de plus de lutter, de persévérer et de croire. Ces poésies touchantes soutenaient aussi ses parents affligés, quand ils sentaient leur courage défaillir, et, plus tard, quand leur fils unique eut fermée les yeux pour toujours, ce précieux monument de sa foi leur demeura comme une consolation.
Une de ces poésies a été mise en. musique par l'oncle d'Ernest de Willich, le maître de chapelle Radecke, et est devenue l'hymne favorite de l'empereur Frédéric. En voici la traduction:
Quand Dieu nous donne une croix, Supportons-la sans murmure; Regardons au Roi des rois
Qui console sans mesure. Quoi qu'il m'arrive, ô Seigneur, Avec Toi, plus de frayeur.
Faible est souvent notre cœur, Rempli de désespérance, Quand s'éteint toute lueur
De joyeuse confiance; Mais, Seigneur, dans ton chemin Je suis heureux sous ta main.
Quand j'espère dans la foi, Quand je t'invoque, à mon Père, Quand ta main se tend vers moi,
Plus d'angoisse et de misère; Sur toi repose mon cœur Quoi qu'il m'arrive, ô Seigneur!
L'auguste malade aimait à se la faire chanter. Dans la grande et mystérieuse épreuve qui l'avait frappé, elle descendait sur son cœur comme une brise céleste, et Dieu se servit ainsi du cantique d'un enfant mourant, comme d'un messager pour porter la consolation et la paix dans la chambre de maladie d'un empereur.