Ce site est référencé sur le
Top Chrétien Francophone

Rechercher dans ce blog

Nombre total de pages vues

samedi 31 janvier 2015

Intégrité intégrale


Si nous prenons soin de nous-même et marchons comme l'intégrité, tu devrais avoir confiance que Dieu va s'occuper de ceux qui pèchent contre toi. Par dessus tout, ne donnez pas naissance au péché lui-même; au contraire, prier plutôt pour ceux qui vous persécute. Dieu changera un jour votre persécution en adoration.
Warren Wiersbe 

If you take care of yourself and walk with integrity, you may be confident that God will deal with those who sin against you. Above all, don't give birth to sin yourself; rather, pray for those who persecute you. God will one day turn your persecution into praise. 
Warren Wiersbe 


vendredi 30 janvier 2015

La puissance de Jésus face à nos obstacles

Comme le péché, la nature humaine, et le diable sont vivants, Jésus aussi est vivant ; quelle que soit leur puissance pour nous ruiner, celle de Jésus est encore plus grande pour nous sauver. C’est en notre faveur qu’Il dispose de la suprématie et de l’omnipotence.
Auteur anonyme

jeudi 29 janvier 2015

L'adoration envers Dieu (1)


Mais avec le Christ, nous avons accès à une relation individuelle, car, comme dans l'Ancien Testament, il s'agissait plutôt d'une relation d'adoration et de crainte, une relation verticale. Dans le Nouveau Testament, par contre, nous regardons en face un Jésus qui nous est familier, une relation horizontale. C'est cette combinaison qui fait la Croix.
Bono, chanteur du groupe de rock U2

But with Christ, we have access in a one-to-one relationship, for, as in the Old Testament, it was more one of worship and awe, a vertical relationship. The New Testament, on the other hand, we look across at a Jesus who looks familiar, horizontal. The combination is what makes the Cross.
Bono, singer of the rock band U2

mercredi 28 janvier 2015

Une pensée sur le ciel (7)



Un pasteur a écrit : "L'entrée au ciel ne dépend en aucune manière de ce que nous faisons, mais de ce que Christ a fait !"

mardi 27 janvier 2015

Un poéme sur l'amour de Dieu


C’est un amour absolument divin.
Tu n’es rien.

Il n’y a rien en toi et moi qui a attiré sa faveur.
Tu ne mérites rien que l’enfer.

Dieu t’a choisi de toute éternité.
Il déverse sa lumière et son amour sur toi.

Il t’attire à Lui de façon spéciale.
Il te soutient tout au long du pèlerinage.

Il te corrige si tu dévies.
Il a fixé sur toi son amour.


Auteur inconnu

lundi 26 janvier 2015

Instrument du Salut


Verset 16 du chapitre 1 de l’épître de Paul aux Romains :
"Car je n’ai point honte de l’Evangile de Christ : c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit."
Paul de Tarse

dimanche 25 janvier 2015

Dieu résout les problémes


Voici, Dieu est puissant et ne méprise personne.
Job 36. 5
Approchez-vous de Dieu, et il s'approchera de vous.
Jacques 4. 8


Pour résoudre nos problèmes

Albert Einstein a passé aux États-Unis les dernières années de sa vie. Il travaillait à New York et habitait à Princeton, faisant chaque jour la navette en train entre les deux villes.
On raconte qu'un soir, à son arrivée en gare de Princeton, il fut abordé par un garçon qui attendait depuis un bon moment l'arrivée du train. L'enfant s'approcha timidement du grand homme en lui demandant de bien vouloir lui expliquer un problème de maths qui faisait partie de ses devoirs scolaires.
Bien que fatigué après une journée chargée, le professeur consentit en souriant. C'est ainsi que là, sur un banc du quai, au milieu de la foule qui allait et venait, le physicien le plus célèbre du monde voulut bien consacrer un quart d'heure à aider un enfant à faire ses devoirs !
Vous le trouvez peut-être bien effronté ce gamin qui s'est permis d'aborder avec un si petit problème quelqu'un d'aussi éminent. Mais l'enfant savait qu'il s'adressait à celui qui, mieux que personne, était capable de lui aider s'il voulait bien. Et il n'a pas été déçu.
Nous avons accès auprès d'un Dieu puissant puisqu'il a résolu le plus grand de tous nos problèmes, celui du péché. Ne peut-il pas, à plus forte raison, nous aider dans les détails de notre vie quotidienne ?
N'hésitons pas à nous approcher de lui par la prière. Nous savons qu'il nous écoute.
Source : La Bonne Semence

samedi 24 janvier 2015

Un chrétien au tribunal chinois


Un chrétien chinois arrêté pour sa foi comparaît devant un tribunal, après être resté longtemps en prison.
« Croyez-vous toujours au christianisme ? demande le juge d'un ton ironique.
Ce n'est pas au christianisme que je crois...
Ah bon ?
Je crois Jésus Christ, non une religion, mais une personne.
Ne jouez pas sur les mots, dit-il en colère.
Pas du tout ! répond le chrétien. Vous pouvez fermer les églises, emprisonner ou tuer les chrétiens, empêcher toute religion et même brûler les bibles, mais pouvez-vous toucher à Jésus Christ ? Il est vivant éternellement ; il vit dans mon cœur, vous ne pouvez pas me l'enlever ! Si vous me tuez, je serai avec lui pour toujours. »
Ne soyez pas étonnés de cette distinction. La religion, en effet, est un ensemble de rites, une organisation influencée par un contexte social et culturel, marquée par des erreurs et des faiblesses humaines. Mais la foi est une relation vraie et personnelle avec un Dieu vivant. C'est aussi connaître Jésus Christ, le Fils de Dieu, l'aimer et vivre pour lui.
Source : La Bonne Semence

vendredi 23 janvier 2015

Derrière le rideau de fer

Pendant longtemps, en Russie, on considérait les chrétiens comme des citoyens de second ordre. La foi était reléguée au rang de superstitions dépassées. Mais aujourd'hui, beaucoup d'athées demandent aux croyants de leur parler de l'évangile de Jésus Christ.
Un pasteur tenait une réunion en plein air en Sibérie et plus de mille personnes l'écoutaient. Beaucoup devinrent chrétiens. Une institutrice s'avança et se mit à prier : « Oh ! Seigneur, pardonne-moi. » Puis elle raconta au pasteur : « Pendant des années j'ai dit aux enfants qu'il n'y avait pas de Dieu, mais dans mon cœur je savais que c'était faux. Désormais, je dirai aux enfants que Dieu existe vraiment et qu'il pardonne les péchés de tous ceux qui croient en Jésus. »Un autre jour, une femme très cultivée, professeur dans une université, vint trouver le même pasteur à la fin d'une réunion. Elle était très troublée. Après un moment d'hésitation elle fut obligée de reconnaître : « J'ai combattu votre Dieu, la Bible et les chrétiens pendant 20 ans. J'avais tort... Maintenant je voudrais en savoir davantage sur la Vérité. » Le pasteur lui parla de Jésus, celui qui est « le chemin, la vérité, la vie » (Jean 14. 6). Elle écouta avec attention, avec avidité, et lorsqu'elle le quitta, elle était déjà sur le chemin lumineux qui conduit à la paix avec Dieu et à la vie éternelle près de lui dans le ciel.

jeudi 22 janvier 2015

Témoignage d'un prisonnier pendant la guerre (partie 2)


A la fin de la guerre, je fus relâché comme les autres prisonniers. Dès cet instant, je me mis à la recherche de mon tortionnaire.
La plupart des officiers qui avaient commandé les camps de déportation avaient été fusillés, mais j'appris que mon homme avait réussi à prendre la fuite grâce à un astucieux déguisement. Pendant une dizaine d'années, je poursuivis mes recherches, et découvris finalement le lieu où il habitait.
Accompagné d'un ami, je me rendis chez lui. Au premier abord il ne sembla pas me reconnaître.

- Vous souvenez-vous de Noël 1944 ? Dis-je. Je suis le matricule 175 !
- Il devint blême et se mit à trembler. Sa femme qui se tenait à côté de lui, fut saisie d'une peur panique.
- Etes-vous venu ... vous venger ?
- Il y a dix ans que je vous cherche! répondis-je.
- J'ouvris un paquet que nous avions apporté, en sortis un grand gâteau, et demandai à la femme de nous faire du café. Ensuite, tous les quatre, nous bûmes le café et mangeâmes le gâteau. Le visage inondé de larmes, l'homme me demanda pardon.
- Je vous ai pardonné à cause de Jésus-Christ à l'instant même où vous m'aviez persécuté, lui dis-je.
Environ deux ans plus tard, cet homme et sa femme mirent leur confiance en Jésus-Christ et devinrent, avec leur famille, des personnes rayonnantes et aimantes !
Source : http://pensees.precieuses.over-blog.com

mercredi 21 janvier 2015

Témoignage d'un prisonnier pendant la guerre (partie 1)


"Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent "
(Mt 5.43)
Si l'enseignement révolutionnaire de Jésus-Christ était appliqué partout dans le monde, notre planète pourrait devenir une oasis de paix. Le récit vrai qui suit remonte à la Seconde Guerre mondiale.

En 1944, je fus condamné à mort par une cour martiale. Toutefois, comme j'avais une femme et quatre enfants, ma peine fut changée en un emprisonnement dans un camp spécial. Neuf mois après, je ne pesais plus que 39 kilos et mon corps était couvert d'ulcères. J'avais le bras gauche cassé et on laissait la fracture guérir sans aucun soin. Le soir de Noël, alors que je me trouvais dans la baraque des prisonniers, en compagnie d'autres, le commandant me fit appeler. Lorsque je me présentais, je le trouvais attablé devant un plantureux repas de réveillon. Il m'obligea à me tenir au garde-à-vous pendant tout le temps qu'il mangeait et mit une heure à tout manger. C'était une façon de me torturer, car cet homme savait que j'étais chrétien et que je parlais de Jésus-Christ à mes compagnons de misère. Dans mon cœur, j'entendis une voix méchante qui me dit:
- Crois-tu toujours au Psaume 23: "Le Seigneur est mon berger, je ne manquerai de rien " ?
J'élevais mon coeur dans la prière, et je dis en toute confiance:
- Oui, j'y crois !
Un soldat entra, apportant une tasse de café fumant et des gâteaux. Puis le commandant se tourna vers moi et dit:
-Ta femme est une très bonne cuisinière. Depuis sept mois, elle t'envoie chaque mois un colis de pâtisserie, que j'apprécie énormément chaque fois!
Je savais que ma femme et mes quatre enfants, au cours de cette guerre, manquaient de nourriture, et que ma femme devait avoir pris sur ses maigres rations la farine et le beurre pour faire des gâteaux. Cet homme se gavait donc de la nourriture dont mes enfants étaient privés. Cette même voix méchante parla de nouveau à mon âme :- Déteste! Hais-le! Maudis-le!
Une fois de plus, je priais Dieu et je ne ressentis pas la moindre haine pour lui dans mon coeur.
Mais combien je désirais qu'il me donnât, ne fût-ce qu'un tout petit morceau de gâteau, pas pour le manger, mais tout simplement pour le regarder et me rappeler les visages de mes enfants! Hélas, l'homme mangea tout et me lança de nouveaux sarcasmes.
- Commandant, lui dis-je, comme vous êtes pauvre! Moi je me considère riche, parce que je crois en Dieu, et Jésus-Christ m'a sauvé de mes péchés. A ces mots il entra dans une violente colère, me lança une bordée d'injures et me renvoya à la baraque.
Source : http://pensees.precieuses.over-blog.com

mardi 20 janvier 2015

Tolstoi parle de Jésus-Christ


Le grand écrivain russe Léon Tolstoï (1828-1910) écrivit en 1883 :


"Voici 55 ans que je suis venu au monde, et à l'exception des 14 ou 15 années de mon enfance, j'ai vécu plus de 35 ans en nihiliste au sens premier de ce mot qui ne veut pas dire socialiste, ni révolutionnaire comme on le croit d'habitude : non, je l'ai été en ce sens que toute foi me faisait défaut.

Il y a 5 ans, j'ai cru à l'enseignement du Christ, et ma vie a soudainement changé : j'ai cessé de désirer ce que j'avais désiré auparavant, et je me suis mis à désirer ce qui ne m'avait point attiré auparavant. Ce qui jusque-là m'avait semblé bon m'a paru mauvais, ce qui m'avait semblé mauvais m'a paru bon. J'étais comme un homme qui, sorti pour accomplir une besogne, se rend compte chemin faisant qu'il n'en a point besoin et s'en retourne chez lui. Tout ce qui était à sa droite est à présent à sa gauche et tout ce qui était à sa gauche est à présent à sa droite ; son désir premier, celui de s'éloigner de sa maison a laissé place à celui de s'en rapprocher. L'orientation de ma vie, mes désirs ont changé : le bien et le mal ont interverti leur place.
Je n'ai nulle intention de commenter la doctrine du Christ ; je désire simplement raconter comment ce qu'elle a de simple, de clair, d'accessible, d'indubitable, d'universel s'est ouvert à moi et comment cette prise de conscience a retourné mon âme me donnant sérénité et bonheur."

lundi 19 janvier 2015

La vie humaine, selon Voltaire


Nous naissons, nous vivons, bergère,
Nous mourons sans savoir comment ;
Chacun est parti du néant :
Où va-t-il ? Dieu le sait, ma chère.

[Voltaire] (1694-1778)

Célèbre écrivain français

dimanche 18 janvier 2015

L'action de Dieu en nous (2)

Si Dieu n’est pas le Seigneur DE TOUT
Il n’est pas le Seigneur DU TOUT !
Hudson Taylor

samedi 17 janvier 2015

Demain ne nous appartient pas


"Sachons prendre nos décisions aujourd'hui, et nous décider maintenant, car "la route de demain conduit à la ville de jamais.
Personne ne peut préjuger du lendemain (Jacques 4.13-14)."

Source : Topchrétien

vendredi 16 janvier 2015

La présence tangible de Dieu dans la vie des hommes

La présence tangible de Dieu dans la vie de nombreux hommes et femmes vient confirmer avec force la réalité de son existence. La foi et la consécration à Jésus-Christ entraînent de profonds changements dans l'individu et ultérieurement dans la communauté.
Ernest Gordon fut aumônier à l'université de Princeton. Il nous en donne une preuve dans "Le pont de la rivière Kwai", où il raconte l'émouvante histoire d'hommes, prisonniers de guerre des japonais en Malaisie.
Réduits pendant la Seconde Guerre Mondiale à l'état de bêtes, ils étaient allés jusqu'à voler la nourriture de leurs enfants aussi affamés qu'eux.
Ils décidèrent alors dans leur détresse de lire le Nouveau Testament.

Gordon, diplômé d'université, dirigeait leur étude. De son propre aveu, et tout comme ses compagnons, il était un incrédule. A mesure que le Nouveau Testament leur révélait la personne de Jésus-Christ dans toute Sa force et Sa beauté, ils changèrent d'attitude et crurent en lui.
La manière dont ces hommes méprisables se transformèrent et créèrent une communauté où régnait l'amour est une preuve convaincante de la présence effective de Dieu en Jésus-Christ.
Cette expérience de la réalité de Dieu s'avère être à l'heure actuelle celle de beaucoup de gens, bien que les circonstances en soient moins dramatiques.

Source : Paul Little
Echec au doute, page 21
Editions LLB


jeudi 15 janvier 2015

Les promesses de Dieu

Abraham fut fortifié dans la foi, donnant gloire à Dieu, dans l'entière conviction que ce que Dieu a promis, il est puissant aussi pour l'accomplir.
Romains 4. 20-21
Celui qui a promis est fidèle.
Hébreux 10. 23
Lui-même a dit : “Je ne te laisserai pas et je ne t'abandonnerai pas”.
Hébreux 13. 5
Promesses de Dieu
Pour celui qui cherche la paix intérieure : “Quiconque demande reçoit ; et celui qui cherche, trouve ; et à celui qui frappe, il sera ouvert” (Luc 11. 10).
Pour celui qui a des problèmes : “Ne vous inquiétez de rien, mais, en toutes choses, exposez vos requêtes à Dieu par des prières et des supplications avec des actions de grâces ; et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées dans le Christ Jésus” (Philippiens 4. 6-7).
Pour celui qui est malade : “Nous savons que toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein” (Romains 8. 28).
Pour celui qui cherche sa voie avec prière : “Je t'instruirai, et je t'enseignerai le chemin où tu dois marcher ; je te conseillerai, ayant mon oeil sur toi” (Psaume 32. 8).
A celui qui est placé devant la mort, Jésus dit : “Moi, je suis la résurrection et la vie : celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra” (Jean 11. 25-26).
Pour celui qui se sent en danger : “L'Eternel gardera ta sortie et ton entrée, dès maintenant et à toujours” (Psaume 121. 8).
Pour celui qui se sait coupable : “Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité” (1 Jean 1. 9).
Pour tous : Jésus dit : “Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos ” (Matthieu 11. 28).

mercredi 14 janvier 2015

Une grande liberté


" Dieu nous laisse toutes les libertés; même celle de nous enfermer dans notre misère.
Auteur anonyme

mardi 13 janvier 2015

La mort, solution au dilemme humain ?

Les écrivains modernes décrivent le pessimisme de notre époque. Plusieurs d’entre eux disent qu’il n’y a pas de solution au dilemme humain.
Ernest Hemingway, dans Mort dans l’après-midi, écrit : « Il n’y a aucun remède pour quoi que ce soit dans la vie … la mort est le remède souverain pour tous les malheurs ». Eugene O’Neill, dans Le Long Voyage vers la Nuit, exprime l’attitude philosophique de notre époque : « La seule signification de la vie, c’est la mort, dit-il, aussi regardez-là avec courage et même avec amour de l’inévitable. La mort devient semblable à une couverture par une nuit froide »
" Avant de mourir, tout homme devrait chercher à apprendre de quoi ils fuient, vers quoi et pourquoi." a dit James Thurber.
Source : Billy Graham, pasteur américain
Un monde en flammes
Editions GM, page 66

lundi 12 janvier 2015

Une analyse de "Assis sur le rebord du monde" (Francis Cabrel) (partie 1)


Un midrash de la création 
Dans notre société contemporaine, nous trouvons souvent une inspiration d'ordre spirituel et même religieux là où on ne s'y attend aucunement. Par exemple, certains poèmes et chansons abordent des thèmes faisant écho à une quête de sens et à un appel parfois indirect à ce qui a de meilleur en chacune et chacun d'entre nous. Ainsi la chanson Assis sur le rebord du monde de Francis Cabrel développe une réflexion à partir de l'imaginaire entretenu autour des récits de création. Il s'agit même d'un véritable midrash des mythes de création circulant dans la culture occidentale. De l'hébreu signifiant « examiner » ou « expliquer », le midrash se veut un commentaire parfois teinté d'éléments merveilleux et même parfois une réinterprétation des livres bibliques. Le midrash a pour objectif de faciliter l'application et la compréhension des récits bibliques. À l'époque de Jésus, c'était pourrait-on dire une forme « d'actualisation ». Or, c'est exactement ce que nous propose Francis Cabrel par le biais de cette chanson. Les images de Dieu présentes dans la culture occidentale Dans notre culture, les représentations populaires que l'on se fait de Dieu sont essentiellement issues de deux sources : des récits bibliques et de certains courants philosophiques gréco-romains. Les représentations de Dieu peuvent être regroupées selon deux catégories : la première est de considérer Dieu comme un « moteur primordial », celui qui met tout en mouvement. Ce Dieu n'entretient aucune relation avec l'univers et ne s'intéresse nullement au devenir du monde. La seconde catégorie qui reprend des éléments de la première décrite ci-dessus, accentue davantage la différence entre la création et Dieu. Dans cette perspective, ce dernier possède des attributs tels que la toute-puissance et l'omniscience. Selon ce concept de la divinité, Dieu met tout en mouvement créant le cosmos à partir du néant. Cette image du Dieu créateur diffère grandement des représentations bibliques telles que nous les retrouvons dans les récits de création de la Genèse (1-3). En effet, dans les textes de la Genèse, nous observons davantage un Dieu qui revêt une autre forme : celle du potier, du sculpteur ou de l'architecte. Par exemple, dans le premier récit de création (Genèse 1,1-2,4a), Dieu se comporte comme un architecte en ordonnant le chaos. Il est à noter que l'acte de création consiste à ordonner le chaos plutôt que de tirer l'être du néant. Quant au deuxième récit de création (Genèse 2,4bss.), Dieu façonne les animaux et les êtres humains; il plante un jardin. L'objectif de ces passages cherche à mettre en relief la dépendance du monde face à un Dieu insufflant la vie plutôt que de traiter de la création comme tel. Dans la perspective biblique, la création ne se limite pas à une origine mais constitue un processus. Par exemple, la naissance du peuple d'Israël par le biais de l'Alliance (Ex 19-24) forme une véritable création qui incarne en quelque sorte un « projet » divin. Il est possible de relire la vie, la mort et la résurrection de Jésus de Nazareth comme un acte de création et de re-création selon l'« espérance divine » sur les êtres humains : une humanité pleinement solidaire avec Dieu et l'ensemble de la Terre. http://www.interbible.org/interBible/source/culture/2005/clt_050121.htm.

dimanche 11 janvier 2015

Le coeur de l'homme selon Albert Einstein


Einstein écrivait, en 1948 : "Le seul vrai problème de tous les temps se trouve dans le cœur et les pensées des hommes. Il ne s'agit pas d'un problème physique mais d'un problème moral. Il est plus facile de modifier la composition du plutonium que le mauvais esprit d'un individu. Ce n'est pas la puissance d'explosion d'une bombe atomique qui nous effraye, mais la puissance de méchanceté du cœur humain, sa force d'explosion pour le mal."

Source : Topchrétien

samedi 10 janvier 2015

L'auto-stoppeur et les policiers


Sur le quai de la gare, Alex attend le train. Sa mission est difficile : dans un pays où il est interdit de posséder une bible, il doit en transporter une pleine valise jusqu'à la ville voisine. Plein d'appréhension, il monte dans un wagon et range sa valise. Il cause peu, écoute beaucoup. En silence il prie.
Tout à coup une pensée s'impose à lui, comme si Dieu lui parlait : « Quitte le train au prochain arrêt ». Il raisonne : "Pourquoi descendre en rase campagne ?" Mais plus il réfléchit, plus la chose lui paraît claire. Alors il quitte le train à l'arrêt suivant et il rejoint à pied la route.
Soudain, un bruit de moteur. Automatiquement il lève le bras. La voiture ralentit et s'arrête. Stupéfait, mais cachant son effroi, Alex lit sur la portière : Police.
« - Où allez-vous, jeune homme ?
- Je vais à la ville voisine.
- Bien, montez vite, car nous sommes pressés. »Alex s'installe sur la banquette arrière serrant sa valise. Les policiers discutent entre eux. Alex écoute, heureux qu'on ne lui demande rien.
Soudain, alors qu'ils viennent de rentrer dans la ville, l'un d'eux dit à son collègue : « Dépêchons-nous, sinon nous ne serons pas à la gare à l'arrivée du train. Tu as raison. Ne manquons pas ce moment. J'imagine la tête du jeune homme lorsque nous le coffrerons à la descente du train avec sa valise pleine de bibles. »
Sans se retourner, le chauffeur demande au passager :
« Nous voici arrivés. Ou voulez-vous descendre ?
Au premier feu, s'il vous plaît ».
Alex descend, regarde la voiture s'éloigner et remercie Dieu pour cette merveilleuse délivrance !
Source : "La Bonne Semence"

vendredi 9 janvier 2015

Albert Jacquard dit pourquoi il ne croit pas en Dieu

"Je ne suis pas athée, mais agnostique.
Athée, cela veut dire : je sais que Dieu n'existe pas. Moi, je n'en sais strictement rien. Gnose signifie parler. Être agnostique, cela veut dire : si Dieu existe, je suis incapable de le dire, donc je n'en parle pas. Mais je peux évoquer l'idée que d'autres se font de Dieu."

Albert Jacquard.
Scientifique français né en 1925.

Entretien sur http://www.nouvellescles.com/

jeudi 8 janvier 2015

Comment prier ? (1)


"La prière n'est pas tellement un moyen par lequel la volonté de Dieu se courbe aux désirs de l'homme, mais c'est plutôt un moyen par lequel la volonté de l'homme se courbe devant les désirs de Dieu. Le vrai but de la prière n'est pas tellement d'obtenir ceci ou cela, mais plutôt d'amener la vie humaine en pleine et joyeuse conformité avec la volonté de Dieu."
 
Charles Brent (1862-1929), évêque anglican américain

mercredi 7 janvier 2015

La grâce de Louis VI


Au début de son règne, Louis VI reçut le vice-roi de Naples. Il lui fit visiter les galères. Pour honorer son passage, Louis VI donna l'autorisation au vice-roi de Naples de libérer un prisonnier, mais lequel ? Alors, il les questionna, mais tous se prétendirent justes, sauf un qui lui dit :
- Je suis un pauvre type, je paye, c'est normal.- Misérable, dit le Roi, quel malheur que tu sois avec ces braves gens, tu vas tous les contaminer... hâte-toi de sortir...L'homme fut gracié !
L'attitude de cet homme qui fut grâcié par Louis VI illustre la grâce de Dieu envers l'homme. Dieu est prêt à nous faire grâce des mauvaises actions et pensées dans notre vie seulement si nous avons l'attitude de cet homme. Cela revient à se reconnaître comme pécheur devant Dieu et ensuite Dieu pourra agir en nous en changeant ce qui ne va pas dans notre vie. La grâce de Dieu est proposée à chacun. A toi de l'accepter ou de la refuser.

mardi 6 janvier 2015

Nietzsche est mort, signé Dieu


Un slogan au moment de Mai 1968 disait :
« Dieu est mort », signé Nietzsche
« Nietzsche est mort », signé Dieu
Quelqu’un a écrit :
« Quand Nietzsche est mort, c’est Dieu qui a dit : Nietzsche est mort parce que Dieu demeure éternellement. »
Es -tu d'accord avec ces deux citations ?

lundi 5 janvier 2015

La science a-t-elle remplacé Dieu ?

Une des critiques les plus populaires et destructrices contre la foi chrétienne affirme qu’il y a contradiction entre la Bible et la science. Cette idée peut prendre différentes formes. Exemples : « Aujourd’hui, la science explique tout, donc la foi n’est plus nécessaire », « La science aujourd’hui a remplacé Dieu », « Avant on plaçait le mot Dieu sur tout ce qu’on ne comprenait pas. Aujourd’hui, comme on comprend tout, plus besoin de Dieu », « Aujourd’hui, avec tous les progrès de la science, ce n’est plus possible de prendre la Bible au sérieux ».D’autres objections semblables résument l’idée que science et foi seraient incompatibles et irréconciliables. Mais y a-t-il vraiment contradiction entre la foi et la science ? On peut répondre en donnant une liste de savants croyants qui n’ont relevé aucune contradiction entre leur foi et la science.
Louis Pasteur qui a ouvert la voie à la médecine moderne disait : « Un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup y ramène ». La science véritable ne peut éloigner l’homme de Dieu. En effet Dieu est la science. Dieu est le Créateur de l’univers, objet des recherches scientifiques. En réalité la science étudie et découvre l’intelligence de Dieu. « C’est par l’intelligence que Dieu a affermi les cieux » (Prov. 3 : 19). Tous les savants qui étudient la voûte céleste sont en train de découvrir l’intelligence de Dieu. Beaucoup n’avouent pas cette évidence et la combatte. Mais ils sont confrontés à cette intelligence insondable. Les plus grands esprits scientifiques restent confondus devant cette création divine merveilleuse. « Dieu a étendu les cieux par son intelligence » (Jér. 10 : 12). Ces milliards de planètes disposées dans l’espace ne sont pas le fruit du hasard mais bien de l’intelligence de Dieu. « L’intelligence de Dieu n’a pas de limite » (Ps.147 : 5). Les plus grands esprits du 21ème siècle se perdent devant la grandeur, la puissance et la science de Dieu.
Albert Einstein disait peu avant sa mort : « Plus nous connaissons, moins nous comprenons ». Les limites de l’intelligence de Dieu restent inaccessibles. Les découvertes progressives de l’univers engendrent des questions de plus en plus complexes. Les réponses sont rarement définitives. La science est loin d’avoir tout découvert et n’a certainement pas remplacé Dieu. Si l’intelligence humaine cherche la vérité, elle ne peut que rencontrer l’intelligence de Dieu.
Isaac Newton, brillant physicien, mathématicien et astronome anglais, a dit : « La merveilleuse constitution de l’univers avec son harmonie incomparable n’a pu se faire que selon les plans d’un être omniscient et tout puissant. Cela demeure ma plus haute et ultime conviction ». L’astronaute américain James Irwin disait : « La plus grande chose dans l’histoire de l’humanité, ce n’est pas que l’homme ait marché sur la lune, mais que Dieu ait marché sur la terre en la personne de Jésus-Christ ». Max Planck, physicien allemand et prix Nobel, déclarait : « Pour le croyant Dieu se trouve au début ; pour le physicien, au terme de toute pensée ».Toute recherche dans le domaine de la physique conduit la pensée vers Dieu. La complexité des découvertes ne peut s’expliquer que par un Dieu infiniment grand qui a mis en place toute la création.
Johannes Kepler (astronome qui établit les lois des mouvements des planètes), James Simpson (découverte du chloroforme), Blaise Pascal (inventeur de la première machine à calculer) étaient de fervents croyants, Thomas Edison (ingénieur américain inventeur du phonographe et de la lampe à incandescence), écrivait dans le livre d’or au pied de la tour Eiffel : « J’admire tous les ingénieurs mais surtout le plus grand d’entre eux : Dieu » et beaucoup d’autres parmi les plus grands savants ont affirmé que la science ne récuse en rien l’idée de Dieu. On peut citer : Jean Henri Fabre (entomologiste français, surnommé l’ami des insectes), Alfred Kastler (prix Nobel de physique), Louis Leprince-Ringuet (spécialiste de l’étude des rayons cosmiques), Michael Faraday (physicien célèbre inventeur de la dynamo, à qui l’on doit la théorie de l’électrostatique, l’énoncé des lois de l’électrolyse et de l’induction électromagnétique) : « Si vous pensez avec assez de force, vous serez contraints par la science de croire en Dieu ».
Article écrit par Philippe Hubinon

dimanche 4 janvier 2015

La Bible selon Jacques Ellul



De tous les livres existants, la Bible est en définitive le seul qui résiste à tous les questionnements et qui apparaît porteur d'une plénitude de sens."
Jacques Ellul, historien (1912-1994)

samedi 3 janvier 2015

Des sportifs parlent de Jésus


Eddy Merckx, champion cycliste
"Je désire faire connaître Jésus à ceux qui ne le connaissent pas. Le Christ, pour moi, a une présence continuelle dans toute ma vie. Je crois profondément en Lui, en Son historicité, en Sa divinité.
Il n'est pas un personnage à comparer à d'autres personnages.
Le Christ est le Fils de Dieu; il est absurde de chercher à qui le comparer".


Steffi Graff
Championne de tennis, tenante du titre à Roland Garros en 1987
Je prie tous les jours. Ce dialogue avec Dieu me donne la paix et la sécurité.



Carl Lewis 1961
Ce célèbre athlète américain a été quadruple champion olympique en 1984 (100 m, 200 m, longueur et 4 x 100 m), double champion olympique en 1988 (100 m et longueur) et en 1992,4x100 m et longueur). En 1991, il a parcouru le 100 m en 9,86 secondes.
«Personne n’est parfait. Lorsque vous voudrez combler le vide de votre vie et que vous vous rendrez compte que seul Jésus-Christ peut le faire, alors le désir dévorant de l’accueillir en tant que Seigneur et Sauveur se réalisera.»
«J’ai gagné mes médailles d’or, elles sont là dans ma chambre. Elles ne sont plus qu’un peu de métal aujourd’hui. Mais Jésus, lui, n’a pas changé.»

vendredi 2 janvier 2015

Sigmund Freud parle de Dieu


"Le Bon Dieu ne m'inspire aucune terreur. Si lui et moi nous nous rencontrons un jour, j'aurais plus de reproches à lui faire que lui à moi."
Sigmund Freud
Célèbre psychanaliste autrichien

Pensez-vous comme Freud ? Si oui, pourquoi ?

jeudi 1 janvier 2015

LA CHASSE AUX CANARDS ...


Un juge américain qui se vantait d'être un « libre penseur » avait à son service un chauffeur noir. Il conduisait souvent son maître dans ses tournées de chasse, son sport favori.
Un Jour qu'ils filaient ensemble le long de la route, le maître dit à son serviteur :

« Dis donc, Sam, je n'y comprends rien de rien à ton espèce de christianisme. Moi qui suis incrédule, pour qui il n'existe ni Dieu, ni diable, ni ciel, ni enfer, moi qui ne crois ni à Christ, ni à la Bible, je suis parfaitement heureux de mon sort, tandis que toi qui prétends être chrétien, tu dis que le diable te tente, que tu as toutes sortes de difficultés et d'épreuves dans ta vie. Tu vois bien que je suis plus heureux que toi avec toute ta religion. »Le pauvre Sam était bien perplexe, et il dut avouer qu'il ne savait que répondre aux arguments de son maître.
Sur ce, ils arrivèrent sur le terrain de chasse, et le fusil du juge abattit ce jour-là plus d'un malheureux canard sauvage.

L'affaire de Sam était alors de courir ramasser le gibier. Tandis qu'il y allait, son maître lui cria de loin :

« Écoute Sam, ne t'occupe pas des canards morts, ils t'attendront bien ; dépêche-toi de poursuivre les blessés et attrape-les avant qu'ils se sauvent ».Sam obéit fidèlement aux injonctions de son maître, puis en lui présentant le gibier, il lui dit :

« Maitre, je crois que j'ai la réponse à votre question de tout à l’heure. La différence entre vous et moi c'est que vous êtes le canard mort, et le diable vous laisse tranquille parce qu'il sait bien qu'il vous aura quand il voudra ; tandis que moi, je suis le canard blessé, c'est pour ça qu'il me court après et me fait tant de misères ! »